Arbre à vent lumineux
Je sais que mon arbre à vent a suscité un certain nombre de réactions.
Allant du:
"Ben... ça sert à quoi?"
En passant par le "Bof".
..
Pour en arriver à:
"C'est rudement chouette vot' truc. On pourrait pas en avoir un nous aussi?"
Sauf que j'ai déjà décliné les différentes propositions. Parce que si j'ai eu plaisir à confectionner l'actuel arbre... devoir en fabriquer sur commande deviendrait vite fastidieux.
Quoi qu'il en soit, je vous propose ces images emmagasinées ce soir, après l'ajout de petites bornes de jardin multicolores...
Have fun!
Au Lion d'Or à Bais
Je suis passé ce matin dans le centre du bourg, et j'ai poussé la porte de l'Hôtel restaurant le Lion d'Or.
Je savais que ses propriétaires avaient longtemps exposé une ancienne carte postale.
Que j'ai évoquée avec eux.
Et ils sont allés illico chercher le cadre! Qu'ils m'ont prêté...
Je vous propose donc le cliché en question.
Sur le pas de la porte, se trouve Bernadette Douillet, née en 1924 et toujours vivante en ce mois d'août 2017. Elle habite d'ailleurs le bâtiment qui jouxte l'hôtel.
La carotte rouge insigne des bureaux de tabac...
Le panneau des cars! CDLM... Les Courriers De La Mayenne... avant de devenir STAO: Société des Transports Automobiles de l'Ouest.
Connaissez-vous l'histoire du petit drapeau à l'intention du conducteur du car, un certain monsieur Trou, de Pré en Pail?...
Qui, après avoir quitté Bais, me conduisait vers Izé, St Thomas, Trans, Courcité, Averton... avant je ne rejoigne ma destination: Villaines la Juhel, où résidaient mes grands-parents dans la rue du Bignon...
(Voir mon bouquin "Chroniques des années 50 en Mayenne")
http://bernardino.over-blog.net/article-chroniques-des-annees-50-en-mayenne-103232707.html
bernardino.over-blog.net Cela faisait déjà un bon moment que l'idée me trottait dans la tête... pas encore dans celle du gamin que j'étais... tenant le jet d'eau! Mais sait-on jamais? |
Actuellement transformé en terrasses, ce passage devant l'hôtel était un passage obligé en axe Nord/Sud, jusqu'à ce que soit percée l'avenue Auguste Janvier...
Ah, souvenirs, souvenirs...
Visite découverte de Bais
Ce jeudi 24 août, j'avais répondu à l'invitation... ci-dessous.
Nous étions 11 personnes à suivre la jeune conférencière dans cette visite découverte du village que j'habite depuis 1966... date de ma nomination à l'école de garçons.
L'église était le point de départ... église qui recèle de nombreuses particularités, telles que la tour-clocher, qui empiétait sur la rue principale déjà fort étroite, et unique rue sur l'axe Nord/Sud avant que ne soit percée l'avenue Auguste Janvier. Passage obligé donc!
A l'intérieur, de nombreuses peintures murales ont été mises à jour dans les années 80, suite aux travaux souhaités par le maire de l'époque Albert Chauveau.
Une attention particulière pour les vitraux, signés du maître-verrier Alleaume.
En levant la tête, on découvre un joli plafond en lattes de châtaignier.
Quant aux deux piliers situés côté gauche en entrant, ils méritent le détour avec leur mystérieux encorbellement différent des autres...
En sortant du côté des "bistrots", on s'arrête afin d'évoquer la pierre babillarde...
Un coup d'oeil aux nombreuses gargouilles...
Et direction la rue Henri Quentin, non sans remarquer au passage un certain nombre de maisons pittoresques.
Arrêt sur l'un des 3 lavoirs de Bais, restauré au siècle dernier...
Nous effectuons ensuite une lente migration vers "le haut du bourg" avec observation des nombreuses "traboules" qui filent vers l'Aron... dont l'une débouche sur un autre lavoir à l'abandon.
Toujours en remontant, côté gauche de la route, deux niches avec statues s'offrent à nos regards.
Arrêt sur la place du Rochard, ancien "champ de foire", qui aurait été l'endroit où se trouvait une chapelle... un cimetière? Maintenant nivelée et rehaussée de hauts murs, cette place abrite le monument aux morts qui se trouvait naguère dans l'angle des routes du Mans et de Trans.
En contrebas on trouve l'arbre de la Liberté, planté en 1989, année bicentenaire de la Révolution.
Et on découvre le troisième lavoir de Bais.
Toujours en allant vers l'Est, nous arrivons devant l'imposant bâtiment bordant la route de Trans...
Datant du début du 20ème siècle et initialement prévu pour être une école de filles, il deviendra pour des raisons que j'ignore, l'école de garçons. Où j'occuperai également un des 3 logements de fonction de 1978 à 1988. Ce "privilège" me permettra de fournir quelques anecdotes aux participants, particulièrement sur le fait qu'on avait certes soigné la façade, mais qu'au niveau des instituteurs-locataires... c'était moins "brillant", puisque certaines pièces étaient totalement aveugles, sans fenêtres!
Ostentatoire bâtiment à la gloire de la République fière de sa loi de séparation entre l'Eglise et l'Etat... qui, après avoir accueilli le collège public jusqu'en 1978, et suite à la mutation des élèves en 1994 vers un groupe scolaire tout neuf, verra sa destination changer totalement dans les années qui suivirent.
Grimpons maintenant la ruelle de la Chapelle.... où on ne trouve pas trace d'une chapelle... Non sans avoir fait remarquer que la maison qui fait l'angle a abrité autrefois des artistes peintres dans le café de madame Gruau, que les peintures murales sont encore visibles, et qu'il serait judicieux de les "mettre en conserve" via des clichés.
Arrivée devant ce qui était un prieuré... dont les racines remonteraient au Moyen-âge.
Equipé d'un four banal; géré par des membres de la famille Montesson.
Son histoire mériterait d'être mieux connue.
En face se trouve une curieuse maison...
Et la visite se termine avec des échanges informels entre les onze participants à cette fort intéressante visite.
Afin d'étayer ses commentaires, notre charmante guide les a souvent illustrés avec de nombreuses reproductions d'anciennes cartes postales.
Un grand merci à elle, qui a su rendre vivants ses exposés, sans avoir constamment recours à ses notes.
Baidicéens, nous n'étions que deux dans ce petit groupe. Dommage!
Mais si par hasard une prochaine animation voit le jour, n'hésitez pas...
Vous ne serez pas déçu(es)!
La visite-découverte de Bais vaut le détour!
Géocaching en grandes pompes
Vendredi 21 août, 17h12... je reçois un mail ainsi libellé:
Attention... nouvelle cache en vue du côté de St Thomas. Mise en place par Touchette53160 Junior.
Bernard, tiens toi prêt!
Auquel je réponds:
"Ok! Je surveille."
Puis quelque temps plus tard, j'envoie:
Le commandant "Couche-tôt" décide donc de reporter sa mission au lendemain.
Sauf que je reçois illico un SMS disant:
La cache est publiée sur le site depuis 6h15 ce matin!...
Ah? Les deux applis de mon smartphone ne me disent absolument rien.
J'allume alors le PC, et là, sur le site geocaching.com, je découvre:
Avec ces renseignements:
Ah, cette fois, elle est bien parue!
Mais pourquoi mon smartphone se montre-t-il totalement muet?
Sans même trop prendre connaissance du renseignement fourni, j'embarque mon appareil photo, et je file vers ce petit pont, que je connais, mais que l'on distingue à peine de la route.
Sans l'aide d'une quelconque appli, et sachant que nous sommes dans une zone où ça capte très mal... je tourne... et je finis par descendre dans le pré. (communal)
Où des traces d'herbe fraîchement couchée me conduisent... au pied du pont.
Je soulève quelques cailloux... je lorgne dans la muraille... sans résultat.
Et comme touchette 53160 n'habite pas loin, je décide de lui rendre visite.
Je suis accueilli par un grand éclat de rire...
"Ben quoi, tu faisais la grasse matinée? On s'attendait à te voir débarquer bien plus tôt!"
J'explique alors mes déboires matériels.
On m'offre un café... et la question tombe:
"As-tu au moins compris l'indice additionnel, ainsi libellé:
Vos pieds seraient plus heureux dans des bottes.
Ben euh... j'avoue que je suis parti un peu vite!
Et Touchette53160 d'ajouter:
"S'il n'y a que ça, on peut te prêter des bottes, c'est pas ce qui manque sur l'exploitation!"
Commence alors une cocasse séance d'essais, au cours de laquelle on aura bien du mal à trouver chaussure à mon pied; non pas qu'il soit trop grand, mais mon petit 39 déclenche l'hilarité... comparé à une paire de bottes fière de son 47"
J'obtiendrai toutefois un 40 au pied gauche et un 42 au pied droit.
En grandes pompes, vous disais-je.
Ainsi "armé", il ne me reste plus qu'à retourner au pont, tantouiller dans la flotte... découvrir facilement la petite boîte, et signer le logbook en première position.
Sans oublier d'immortaliser l'événement en compagnie de mon alter ego Alphonse Lagapette et de son actuel camarade en géocaching qu'est l'objet voyageur la Chouffe.
Avec cette nouvelle boîte, je "score" 365 caches.
Merci à toutes celles et à tous ceux qui déposent ainsi des "trésors"... avec un clin d'oeil particulier à touchette53160 junior, qui semble avoir été complètement vaccinée au géocaching!
PS: il me semble que Touchette53160 Junior pourrait adopter cette formule:
Le géocaching, moi, ça me ..."botte"
L'arbre à vent
Le vent est parfois mon allié...
Lorsqu'il s'agit de faire évoluer mes planeurs en vol de pente, bien évidemment.
Mais ce n'est pas sa seule qualité.
Il me permet de mettre en ouvre des engins plus ou moins "utiles".
C'est ainsi que, grâce à ma petite machine Anet 8 qui permet de fabriquer des trucs en plastique, je construis petit à petit ce que j'appelle mon "arbre à vent".
Possédant depuis quelque temps un mât au sommet duquel trône un avion biplan... j'avais ensuite "greffé" une manche à air de style turbine, très colorée.
Et là, coup sur coup, j'ai installé quelques "branches" animées.
Les unes démarrent dès le premier souffle.
D'autres ont besoin que "Eole" se manifeste de façon plus soutenue.
Et quand on me demande:
"A quoi ça sert?"
A la façon du Papy Mougeot inventé par Coluche, je réponds malicieusement:
"A rien, c'est pour faire avancer le schmilblick!"
Les petits lapins
Quand on réside à la campagne...
Quand en prenant le petit déjeuner...
J'aperçois dans le pré voisin...
Vous ne voyez pas?
Allons, faites un effort!
Je vous propose donc un petit coup de zoom.
Toujours pas?
Ah, c'est vrai... Il faut avoir l'oeil un peu "rural"!
Et cette fois? c'est plus net?
Quelques toupets blancs qui gambadent!
Et voilà ce simple plaisir éprouvé par un campagnard... loin des villes et de leur tumulte.
Et se réveille alors un souvenir d'enfance, avec ce texte appris à l'école...
Les petits Lapins, dans le bois,
Folâtrent sur l’herbe arrosée
Et, comme nous le vin d’Arbois,
Ils boivent la douce rosée.Gris foncé, gris clair, soupe au lait,
Ces vagabonds, dont se dégage
Comme une odeur de serpolet,
Tiennent à peu près ce langage:Nous sommes les petits Lapins,
Gens étrangers à l’écriture
Et chaussés des seuls escarpins
Que nous a donnés la Nature.Près du chêne pyramidal
Nous menons les épithalames,
Et nous ne suivons pas Stendhal
Sur le terrain des vieilles dames.N’ayant pas lu Dostoïewski,
Nous conservons des airs peu rogues
Et certes, ce n’est pas nous qui
Nous piquons d’être psychologues.Exempts de fiel, mais non d’humour
Et fuyant les ennuis moroses,
Tout le temps nous faisons l’amour,
Comme un rosier fleurit ses roses.Nous sommes les petits Lapins,
C’est le poil qui forme nos bottes,
Et, n’ayant pas de calepins,
Nous ne prenons jamais de notes.Nous ne cultivons guère Kant;
Son idéale turlutaine
Rarement nous attire. Quant
Au fabuliste La Fontaine,Il faut qu’on l’adore à genoux;
Mais nous préférons qu’on se taise,
Lorsque méchamment on veut nous
Raconter une pièce à thèse.Étant des guerriers du vieux jeu,
Prêts à combattre pour Hélène,
Chez nous on fredonne assez peu
Les airs venus de Mitylène.Préférant les simples chansons
Qui ravissent les violettes,
Sans plus d’affaire, nous laissons
Les raffinements aux belettes.Ce ne sont pas les gazons verts
Ni les fleurs, dont jamais nous rîmes
Et, qui pis est, au bout des vers
Nous ne dédaignons pas les rimes.En dépit de Schopenhauer,
Ce cruel malade qui tousse,
Vivre et savourer le doux air
Nous semble une chose fort douce,Et dans la bonne odeur des pins
Qu’on voit ombrageant ces clairières,
Nous sommes les tendres Lapins
Assis sur leurs petits derrières.27 novembre 1888.
De la facétie des traducteurs en ligne
Il faut que je vous raconte.
Ce matin, comme la plupart des matins, je m'en vais faire un détour vers le site géocaching.
Pour "admirer" le parcours de mes deux objets voyageurs, l'un se trouvant actuellement au Nord des Pays-Bas après avoir parcouru 3775km, et qui doit prochainement s'envoler vers les Seychelles début janvier, l'autre étant arrivé depuis peu en Aquitaine avec 4298km au compteur.
Mais quand j'ai voulu ouvrir le site des caches lui-même, quelle n'a pas été ma surprise de découvrir sur la commune de Saint Thomas de Courceriers, l'une d'entre elles nommée... Quatre à chanvre!
Vous ne voyez pas pourquoi?
C'est à mon avis fort simple!
Ayant récupéré le nom de cette cache qu'il croyait être en anglais, le "traducteur" automatique de Géocaching a interprété four à chanvre par... quatre à chanvre!!!
Four in british? C'est quatre en français.
Do you have understand?
Comique n'est-ce pas?
Comme quoi, si le géocaching compte dans ses rangs des personnages capables de proposer quelques petites surprises (hein Françoise?), le site lui-même n'est pas en reste!
Dois-je toutefois préciser que la "propriétaire" et gestionnaire de ces caches est une charmante britannique ayant déposé son sac de voyage depuis quelques années déjà dans la commune de Saint Thomas?
Peut-être que Géocaching a voulu lui adresser un clin d'oeil, n'est-ce pas Margaret?
Have fun!
Le jour se lève sur Saint Thomas de Courceriers
Mais en passant devant le four à chanvre, je dis à Annie:
Cette nuit, 4 heures du matin... je me lève pour boire, et grappiller quelques grains de raisin.
Et puis, poussé par la curiosité, j'allume mon smartphone... où j'apprends que la cache est enfin sortie... au four à chanvre!😉
Avec une note de Pirates53 qui, en tant que membre Premium (ce que je ne suis pas), a entendu son téléphone donner l'alerte, mais qui déplore être parti chez les Bretons...
Mais j'aurai juste droit à un tout petit créneau de 10 minutes, pas davantage, au cours duquel il me sera possible de signer le logbook, et d'actionner le déclic de mon numérique!
Les nuages venant occulter très rapidement le joyeux soleil...
Les épouvantails à Saint Thomas de Courceriers
Après avoir été présent lors de la mise en place de ces épouvantails dont le thème cette année était le cirque, je me devais de concrétiser le parcours...
Un dimanche ensoleillé, vent faible... un peu plus de courage que les semaines précédentes.
Il n'en fallait pas davantage pour que j'enfourche mon VTT à assistance électrique.
Au départ de Bais, on attaque la longue côte qui monte vers Trans... village que je n'aurai pas le loisir de traverser sans avoir mis pied à terre quelques 200 mètres avant la pancarte.
Et pourquoi me direz-vous?
Ben quoi, c'est évident! J'ai encore crevé!!!
Roue avant à plat... Je sors alors ma bombe miracle, et après avoir lu attentivement la notice... je procède à l'injection salvatrice.
Maintenance effectuée, je remonte vite en selle afin que la mousse se répartisse dans toute la chambre... Rien d'anormal?... alors je poursuis mon chemin, pour arriver à St Thomas.
Quelques clichés avec les personnages du bourg... et j'emprunte le petit circuit.
Où je passe devant la première cache déposée par Margaret et Françoise dans le cadre du Géocaching.
Le chemin ombragé descend doucement, avant d'atteindre la route où se dresse une femme métallique.
Retour au village, pour admirer le "chapiteau" avec ses drapeaux multicolores.
Descente ensuite vers le petit lavoir... où je croise des promeneurs effectuant eux aussi la balade des épouvantails.
Et je file vers le "grand circuit", où je prends de nombreux clichés.
Je débouche alors près du pont romain, où je rencontre des pêcheurs... d'écrevisses, avec lesquels je discute longuement.
Poursuivi par un chien un peu trop affectueux, je continue ma route... pour tomber sur des géocacheurs en train de loguer la cache "Le portail", et qui me font remarquer que le logbook d'origine a été remplacé. Etait-il trop humide? Echanges à propos de géocaching. Ils repartent vers leur voiture... et le chien les suit! Ouf...
Autres rencontre d'épouvantails...
Retrouvant la route goudronnée, je remonte vers le village, où je croise d'autres "acrobates"... Dont monsieur le Maire qui scie consciencieusement une de ses administrées sous l'oeil "protecteur" de Jésus en croix!
J'entame enfin le chemin du retour... satisfait que ma chambre ait tenu le coup....
Mais, et j'avais remarqué le détail à l'aller, je ne manque pas de m'arrêter près d'une haie remplie de prunes!
Sauf qu'en voulant descendre dans le fossé, je glisse sur cet amas gluant et à l'odeur fortement acidulée... chute dont mon pantalon va garder une magnifique trace.
Cela ne m'empêchera pas de déguster ces délicieux fruits jaunes, encore abondants sur les branches.
Remontant en selle j'achève mon circuit par le petit chemin creux de la Brosse.
J'ai effectué presque 24 km...
En tapant néanmoins très peu dans la batterie, puisque je reviens avec 4 barres sur 5.
Je ne pourrais cependant conclure sans faire mention de tous les artisans à l'origine des diverses animations pittoresques de ce village mayennais.
Grand merci à eux!
Géocaching dominical
Ce matin, je "zyeute" mon application cgéo, parce que mes amies de Saint Thomas m'avaient dit avoir une cache à placer de façon imminente.
Et bingo... elle est validée!
N'étant pas spécialement pressé, je rédige une note la concernant... précisant que si quelqu'un veut se montrer plus rapide.
Et puis Annie me demande d'aller chercher du pain...
Et si après avoir acquis ma baguette je filais vers ce fameux pont romain?
Le résultat? C'est que personne n'est passé avant moi.
Voilà donc ce que donne le logbook.
Pour ma 345ème découverte... en compagnie de l'objet voyageur La Chouffe, que je promène de cache en cache... et qui devrait prochainement s'envoler pour l'île de la Réunion.
Sachant que, parti de la ville d'Anvers en Belgique, il déjà plus de 53.000 km au compteur!
Et puis en fin de matinée, voici ce que je découvre sur le carnet de visite de cette fameuse cache...