Quand les murs parlent
Samedi matin, je me rends à l’hôpital de Laval, service ophtalmo…
En sortant de consultation, je m’arrête aux toilettes, et je découvre avec joie un écriteau ainsi libellé (j’ai respecté l’orthographe ainsi que la mise en page):
APRES CHAQUE PASSAGE POURRIEZ-VOUS
TIREZ LA CHASSE D’EAU.
Chargée de gérer une envie subite, une main anonyme a quand même pris le temps de rédiger ce commentaire au stylo bille bleu :
« Vaudrait mieux faire appel au plombier, parce que votre chasse, elle manque de pression ! »
Mais une phrase en "chasse" une autre... Car après avoir entouré le « Z » situé à la fin de TIREZ, une autre main avait laissé cet autre commentaire, relié au "Z" par une flèche:
« Moi, j’aurais mis un R à la fin de TIRER… »
Bref, ne tirez ni sur la secrétaire ayant rédigé ce panonceau, ni sur le plombier: ils font ce qu’ils peuvent !!!
Le tout, c'est que dans ces toilettes, on continue d'y trouver du papier, afin que les gens puissent... s'exprimer!!!!
Avec aisance(s), bien entendu...
Vous voyez que vouvoyer c'est pas si facile...
"Vous voyez que vouvoyer c'est peut-être pas si facile..."
Cette curieuse phrase m'est revenue en mémoire cette nuit, alors que j'écoutais tranquillement une émission de France Culture. On y évoquait Marguerite Duras, son oeuvre, et les relations avec son dernier compagnon nommé Yann Andréa
http://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Andr%C3%A9a
Ils se vouvoyaient... Et pourquoi pas?
Jusque-là, rien d'anormal à mes yeux.
Un peu plus tard, je "tombe" sur une autre émission où l'on évoque le trentième anniversaire de la mort du Sétois Georges Brassens (29/10/81). Et on diffuse un enregistrement dans lequel il chante en duo avec Charles Trénet... puis ils échangent quelques propos.
Qui suscitent ce commentaire du présentateur, goguenard:
"Ah, ces deux-là se vouvoient!!!"
J'ai eu comme l'impression qu'il trouvait cela ringard...
C'est alors que je me suis
souvenu d'une anecdote scolaire... où l'un de mes élèves, nouveau dans la classe, me tutoyait comme du bon pain.
Ce qui n'était pas dans les "traditions" du "Mammouth"! (C'est ainsi qu'un certain Ministre évoquait l'Education Nationale dont il avait la charge...)
A l'époque, la règle était de vouvoyer le Maître, n'est-il pas?
Il paraît que de nos jours, c'est majoritairement j'te tutoie et j't'appelle par ton prénom... Question de mode?
M'enfin...
Cela m'avait inspiré la saynète que je vous livre en annexe.
Que les enfants avaient mise en scène et interprétaient avec fougue... tout comme les autres extraits théâtraux qu'ils s'empressaient d'apprendre et de jouer...
Texte à dire, texte à lire, texte à jouer... Je n'avais aucun besoin de les motiver! Quand Plaisir rime avec Pédagogie... Et vice versa!
Mais auparavant, ce texte avait suscité chez mes petits élèves de CM2 une discussion fort intéressante, avec des questions du style:
- qui a-t-on le droit de tutoyer? (le droit)
- qui faut-il absolument vouvoyer? (le devoir)
La Morale en action... Droits et devoirs de chacun... .
Vaste sujet.
Alors, ringard le vouvoiement?
Quand on entend les "Grands"(?) de ce Monde se tutoyer a qui mieux mieux... faut p'têt pas être trop surpris.
Pour ma part, il est des gens que je ne m'aventurerai jamais à tutoyer.
Le vouvoiement impose une sorte de barrière qui délimite un minimum de respect...
Forme de noblesse dans les relations... ou de savoureux mépris parfois!
Je n'ai pourtant pas envie de revenir sur le fameux épisode du "Casse-toi pauvre c...!"
Mieux vaut en rire, peut-être!
Rire...
Comme l'écrivait le bon docteur Rabelais...
"Il vaut mieux traiter du rire que des larmes
Parce que rire est le propre de l’homme.
VIVEZ JOYEUX..."
Bonne lecture (à haute voix si possible, et en duo...)
-----------Vous voyez? Vouvoyer?---------------------
Homme1: Vouvoyer les gens?
Homme2: Non, je ne vois rien.
Homme1: Mais je ne vous demande pas si vous voyez les gens!
Homme2: Ah! Alors, que me demandez-vous?
Homme1: Je vous demande si vous, vous vouvoyez les gens.
Homme2: Inutile de bégayer comme ça, je vous ai déjà dit que je ne voyais personne!
Homme1: Mais, décidément, vous ne comprenez rien! Je vous demande si vous dites "Vous" aux gens!
Homme2: Ah bon! Voyez! Quand vous expliquez clairement, ça va nettement mieux. Bon, tout dépend à qui je m'adresse: parfois je dis "Vous", parfois je dis "Tu".
Homme1: Alors tu tutoies.
Homme2: Pardon?
Homme1: Je te demande si toi, tu tutoies les gens.
Homme2: Cette fois, c'est vous qui ne comprenez rien. Je vous ai déjà dit que cela dépendait. Parfois je dis "Vous", parfois je dis "Tu".
Homme1: Alors si je vous comprends bien, vous, vous tutoyez les gens que vous ne vouvoyez pas.
Homme2: Evidemment!
Homme1: En ce qui vous concerne, dois-je vous vouvoyer, ou puis-je te tutoyer?
Homme2: On ne se connaît pas; mieux vaudrait que nous nous vouvoyions. Après, on verra, n'est-ce pas?
Homme1: Si tu veux, pardon, si vous voulez.
Homme2: Vous voyez, c'est pas facile…
Homme1: Non, désolé, mais je ne vois rien.
Homme2: Tant pis. Tais-toi.
(Se parlant à lui-même) Tue-toi à expliquer aux gens que vouvoyer, c'est difficile…
Homme1: Pardon?
Homme2: Tue-toi à tutoyer les gens…
Homme1: Mais je n'ai pas l'intention de tuer quelqu'un!
Homme2: Moi non plus ! Vous voyez que c'est facile de se comprendre! Pour une fois que nous sommes d'accord!
(Et ils se séparent)
Bernard Munoz
15/09/99
Z’avez pas vu ma bagnole ?
Lorsque le rat des champs que je suis se retrouve plongé dans l’univers quotidien du rat des villes, il lui arrive parfois de sourire.
Plantons le décor de ce samedi après-midi, où d'innombrables rats des villes se regroupent sur les parkings des grandes
surfaces.
Pour des raisons d’achat informatique envisagé par ma fille, j’ai donc dû me rendre chez Auchan… Vous savez bien, la vie Auchan… sympa, pour un rat des champs !
Mais une fois l’affaire traitée, je retourne très vite dans ma voiture qui, le hasard a bien fait les choses, se trouve stationnée pile dans l’alignement de l’entrée principale, au ras d’un grand poteau sur lequel sont fixés de puissants projecteurs. Difficile de la louper, n’est-ce pas ?
Et là, j’observe…
Quand soudain, je vois apparaître un petit groupe de trois personnes : la mère quadragénaire, sa mère sexagénaire, et la petite « dizagénaire ». Trois générations donc.
La plus jeune et la plus vieille portent à chaque bras un lourd sac Auchan. L’intermédiaire laisse pendouiller au bout de son bras gauche une roue avant de VTT, toute neuve, sans pneu.
Ellle agite frénétiquement au-dessus de sa tête sa main droite dont le pouce manipule une télécommande de voiture. Toutes les trois semblent très agitées. Je les vois ainsi passer une fois, puis une deuxième fois… puis une troisième fois… Toujours aussi nerveuses.
Manifestement, elles ne retrouvent pas leur véhicule, perdu sur cet immense parking où toutes les bagnoles se ressemblent.
« Mais où est donc passée notre voiture ? On l’a pourtant garée sur ce fichu parking ? Ouais! Mais où ??? »
Et moi de m’amuser à les voir se faufiler entre les véhicules, se séparer quelque peu afin de quadriller davantage le terrain, aller à droite, partir à gauche, revenir sur leurs pas... se retourner... se mettre sur la pointe des pieds afin de gagner de la hauteur...
Regardant si des feux ne se mettraient pas à clignoter, ou tendant l’oreille afin d’entendre le salvateur déclic des portes qui se déverrouillent…
Elles ont dû finir par retrouver leur auto… parce que je ne les ai pas revues.
Mais cette amusante anecdote m’a fait cogiter. Ah! J’ai omis de vous signaler que je me trouvais à « Petite Forêt » près de Valenciennes, non loin de l’endroit
où l’on fabrique des Toyota Yaris. D’où cette "fulgurante" idée :
Je m'en vais donc proposer à monsieur Toyota un gadget que j’aimerais voir ajouté à la longue liste des équipements électroniques dont nos voitures commencent à se gaver.
En appuyant sur la télécommande, celle-ci émettrait un bip bip devenant plus aigu si on se rapproche de sa bagnole, ou s’assourdissant si on s’en éloigne. Fastoche, non?
Je suis persuadé que ce dispositif rendrait service aux nombreuses personnes qui oublient de mémoriser l’endroit où est parquée leur chère bagnole!
Et je ne réclame même pas de copyright. Parce que le rat des champs que je suis est nettement au-dessus de ces mesquines tracasseries urbaines !!!!
PS1: en "bon" modéliste que je suis, et afin de loger mes grands planeurs, j'ai installé sur ma Toyota Avensis une grosse caisse de toit... repérable de très loin!!!! Qui a dit que j'avais besoin du gadget proposé? Un de mes amis n'écrivait-il pas: "Enfin Bernard, de quoi te plains tu ? Tu as déjà, comme moi d'ailleurs, un cercueil à planeurs sur le toit ! Je dois dire, distrait comme je suis, qu'il m'a souvent permis de retrouver ma pépémobile sur le parking de grandes surfaces ou ailleurs."
PS2: Curieusement, ce sujet pourtant anodin semble donc intéresser pas mal de gens!!!
Parmi les autres réactions qui me sont parvenues, je vous livre celle-ci, émanant d'un type dont le boulot est... médecin.
"Moi j'ai toujours rêvé d'une petite trappe sur le toit de la voiture qui s'ouvrirait avec la télécommande et qui laisserait échapper un
ballon rouge accroché par une ficelle à la voiture."
Un médecin rêveur, un type pas sérieux!
PS3: On m'a aussi fait remarquer que la télécommande des bagnoles n'avait une portée que de quelques mètres... Alors si elle ne possède pas une portée suffisante, que les "savants" se mettent à bosser sur un système plus performant... A quoi on les paie, hein? Il existe pourtant déjà des systèmes basés sur le GPS pour retrouver sa voiture. Par exemple: http://nonigpsplot.softonic.fr/windowsmobile ou encore ça: http://www.blog-n8.fr/applications/retrouvez-facilement-votre-voiture-grace-a-parking-2-07664/
et aussi ça: http://nonigpsplot.softonic.fr/pocketpc
Ou bien qu'on détourne nos radio-commandes en 2.4GHZ de leur fonction initiale: certaines ne sont-elles pas équipées d'un test de portée?
On m'a aussi proposé cette solution... écologique: "Quand je sors de ma bagnole, je colle une ventouse
débouche-wc sur le toit! Et ça, au moins, on le verra de loin, et d'autant mieux que je lui mettrai une rallonge au bout de laquelle flottera un rouleau de papier hygiénique...
Le seul hic, c'est si:
-tout le monde en fait autant...
-un mec dont les wc sont bouchés me pique ma ventouse! Et là, c'est moi qui risque d'être dans la m....."
PS4:
Et puis, crotte après tout... chacun a le droit de rêver... Non?
"N'oublions jamais que le droit au rêve ne prend toute sa valeur
qu'accompagné du droit à la lucidité."
(Georges Charpak et Henri Broch / Devenez sorciers devenez savants)
En avion...
Vous dire que j'aime les avions serait un pléonasme.
Vous dire que j'aime les voyages en avion serait un peu inexact.
En effet, j'ai horreur de tout ce qui précède et tout ce qui suit lesdits voyages.
Poireauter de longues minutes avant de savoir vers quelle porte il faudra se rendre... pour quelquefois apprendre qu'il y a eu changement de stratégie...
Passer à la fouille, enlever son ceinturon, ses godasses, sa montre... se faire "caresser" par un agent...
Non franchement, je peux comprendre, mais ça m'agace!
Et puis encore attendre... parce que souvent le bel avion a du retard.
Quand enfin on embarque.
On décolle, et après, on admire à travers le hublot...
Et quand on débarque... l'épreuve des tourniquets à bagages: j'y suis toujours allergique!
Pensez donc que toutes ces formalités occupent davantage de temps que le voyage lui-même...
Mais tout dernièrement, j'ai eu le plaisir de partir pour un week-end vers l'Alsace.
Décollage de Rennes à bord d'un MD83 et atterrissage à Strasbourg.
http://fr.wikipedia.org/wiki/McDonnell_Douglas_MD-80
Une grosse heure de vol par conditions météo sereines.
Sachant que la ligne droite entre ces deux aéroports passait au-dessus du Nord-Mayenne, je m'étais fixé un objectif: tenter d'apercevoir mon bocage vu du ciel.
A l'aller, j'ai eu la chance
d'être collé à un hublot côté droit ... Mais nous avons rapidement débouché au-dessus de la couche de nuages... Mer ouateuse éblouissante, sauf que pour voir en bas...
c'est râpé. Les trouées n'apparaîtront qu'en vue de la la Sologne et ses étangs.
Pour le retour, je joue des coudes afin de me placer à nouveau juste derrière un hublot. Côté droit ou côté gauche?
Allons-y pour la gauche.
L'air est aussi calme qu'à l'aller, mais le ciel est nettement plus pur.
Je me régale en contemplant les différentes formes du paysage:
des bois, des champs rectangulaires, puis du bocage, des marais, des villes... Une étonnante variété.
Et je scrute.
Quand le commandant de bord annonce.
"Atterrissage prévu dans 20 minutes à Rennes Saint-Jacques, nous
entamons la descente."
Le ciel s'est quelque peu encrassé...
Et tout à coup, une forme caractéristique, là, en bas!
Mais... c'est le bois du Tay, 7 km à l'ouest de chez moi!!!
Non? Si... J'hésite un peu... Je décide alors de suivre des yeux la route rectiligne qui file vers l'Est...
Et alors?
Je reconnais très exactement mon village: Bais.
Vite, je me saisis de mon caméscope de poche, et je filme... tout en faisant mes commentaires, à l'intention de mes compagnons de voyage, peut-être?
Je prends aussi quelques photos... Mais le contrejour me permettra-t-il de réaliser des clichés exploitables?
http://www.youtube.com/watch?v=y3jlLDe4y2k&feature=player_embedded#!
(Passer en HD plein écran)
Lorsque je revois ou que je ré-écoute la séquence... je crois entendre un gamin surexcité:
"Là, le bois du Tay... Et la route de Mayenne... Bais, et son plan d'eau... Authentique, ah, incroyable...Authentique...
Et là, le grand étang d'Aron!"
Je n'en crois pas mes yeux.
Je vais ainsi survoler Moulay au Sud de Mayenne, apercevoir le long ruban lumineux de la rivière Mayenne filant
vers le Sud. Dans la brume, on aperçoit Laval.
Au fur et à mesure de la descente, les détails au sol vont devenir de plus en plus identifiables. Saint Pierre la Cour et son usine Lafarge...
L'autoroute et ses échangeurs.
La banlieue de Rennes, l'usine Citroën...
Puis l'atterrisage... pas vraiment en douceur!
J'ai hâte de rentrer chez moi afin de savoir si mes prises de vues sont exploitables...
Hélas... aucune photo ne le sera. Mais j'aurai un peu plus de chance avec le film dont j'ai extrait quelques images, afin de vous faire comparer ce que j'ai vu du ciel et ce que Google Earth offre dans sa banque de données.
Je ne me suis pas trompé.
C'est bien Bais que nous avons survolé... Mais j'ai failli le rater.
Il s'en est fallu en effet de quelques secondes.
Parce que le sol défile vite quand on vole à 800km/h!!!
Toujours est-il que je ne suis pas près d'oublier ce vol!
Il restera pour moi un magnifique souvenir!
Windows et/ou Linux Ubuntu
Je viens de me faire titiller par un de mes collègues qui raillait les utilisateurs
de Linux.
Affirmant: "On m'a dit que que cet Opérateur Système (OS) nécessitait de mettre fréquemment les mains dans le cambouis, que c'était compliqué et surtout, que certains logiciels ne tournaient que sous Windows..."
Et que donc, je pouvais "aller me faire voir" avec mon Linux.
Doucement l'ami!!!
Je suis le premier à reconnaître que certaines applications n'ont été développées que pour du Windows.
Ce qui répond à la naturelle loi de l'offre et de la demande...
Bien qu'un poil utopique, je ne suis tout de même pas naïf...
Les gens qui gagnent leur vie en créant des logiciels ciblent "le plus grand nombre".
Et c'est normal.
Tout comme les hackers ou les créateurs de virus ciblent plus "facilement" Windows, n'est-il pas!!!!
Mais position dominante = quasi monopole... et vice-versa!
C'est pourquoi je me prends à rêver que les utilisateurs de Linux soient plus nombreux. Peut-être alors que les choses pourraient évoluer.
Quoi qu'il en soit, je pense que Linux répond aux besoins d'une grande quantité de gens qui utilisent leur ordinateur pour:
- surfer sur le Net,
- envoyer/recevoir des mails,
- avoir accès à une suite bureautique
- et manipuler leurs photos numériques.
Ajoutons-y un poil de vidéo et d'audio...
Mais là, on parle déjà d'utilisateurs un peu avertis.
Et avec Linux comme OS, point besoin de bourse délier, pas d'argent à dépenser en licences ou droits d'utilisation.
Qui dit alors mieux, en terme de rapport qualité/prix?
Et je ne parle même pas de la rapidité d'exécution sous Linux, qui fait apparaître Windows comme une sorte de lambin!
Il va de soi que si je n'étais pas contraint d'utiliser Windows pour des applications spécifiques, ben, ça fait longtemps que j'aurais éliminé Microsoft de mes machines.
C'est pourquoi au démarrage de mes ordinateurs, en fonction de mes besoins du moment, j'ai accès soit à Windows soit à Linux-Ubuntu, par le simple biais d'un dual boot...
Deux outils différents et adaptés à ma demande, c'est tout de même mieux qu'un
seul, non?
Mais comme évoqué dans d'autres "coups de gueule" de ce blog, je ne prétends pas détenir LA vérité, et n'ai aucune envie de clamer de façon péremptoire ce qui pourrait être comparable à la foi du charbonnier.
Dans le domaine de l'informatique ou du modélisme... ou ailleurs!
Je ne cherche à convertir personne...
Mais, plutôt que d'argumenter avec des "On m'a dit que..." je préfère expérimenter, tâter, chercher, me documenter, comparer...
Ensuite, j'essaie de partager ma petite expérience d'utilisateur. Si elle peut profiter à d'autres.
Et puis après, chacun fait ce qu'il veut!
Au nom de la Liberté...