Pourquoi payer une amende à cause du téléphone portable?
Pourquoi payer une amende à cause du téléphone portable?
Il est vrai que cette question, je me la suis posée fréquemment!
Je veux bien croire que certains ont un impérieux besoin de cette extension qui fait partie de leur travail...
Mais dans ce cas, pourquoi risquer une amende?
La loi française autorise (encore, et pour combien de temps) l'utilisation de kits dits "mains libres".
Certains véhicules en sont maintenant équipés dès leur sortie d'usine.
Mais pour ceux qui n'ont pas cette opportunité?
J'ai reçu l'autre jour par mail une pub qui vantait les mérites d'un kit...
J'ai cliqué...
J'ai noté les caractétristiques... et au vu du prix, je me suis dit que je n'engagerai pas les finances du ménage en faisant venir un tel gadget..
Je l'ai reçu... je l'ai essayé...
Et alors?
Je me retrouve avec un bidule relativement discret, que je branche dans la prise allume-cigare de ma bagnole. Pas de fil à traîner...
Bidule qui, une fois l'apparaige bluetooth effectué, se connecte tout seul à mon téléphone portable. (Et grâce à la technologie multipoint, il peut même être appairé à un second mobile!!!)
Ce kit mains libres est muni d'un haut-parleur en façade (déconnectable) qui permet de converser tout en roulant. (la petite grille noire sur l'avant) Ne vous attendez tout de même pas à une qualité de son style surround... Mais c'est correct....
Au dessus du socle, se trouve la niche pour insérer (et recharger) la petite oreillette amovible, que l'on peut utiliser avec son tour d'oreille même quand on a quitté le véhicule, puisqu'elle est munie d'une batterie li-on! (Autonomie annoncée: 4-6 h en conversation et 80 heures en mode veille ou stand by...)
Le socle est d'autre part équipé latéralement de deux prises USB (masquées par un cache en caoutchouc) qui permettent de connecter d'autres appareils tels que le GPS... On fournit également un câble de charge... compatible avec mon Nokia 5800 lorsque je dois le connecter avec mon PC!!!
Ah, je vous vois venir... "Et combien ça t'a coûté ton gadget?"
Nettement moins qu'une "prune!!!!
Puisque j'en ai eu pour moins de 20 Euros, port compris!
Et là, je me dis: "Faudrait vraiment être couillon pour s'en priver!!!"
J'ai acheté le mien chez Zoombits http://www.zoombits.fr/
S'il n'est plus en stock, grâce à un moteur de recherche où l'on tape Nexus drivehybridPro, on peut le trouver ailleurs, par exemple:
http://www.mobilefun.co.uk/nexxus-drive-hybrid-bluetooth-headset-and-car-kit-p29685.htm
ou encore ici:
http://www.mobilefun.fr/29685-oreillette-bluetooth-et-kit-voiture-nexxus-drive-hybrid-pro.htm
Et maintenant, si vous avez encore l'audace de risquer une prune et des points en moins sur votre permis... c'est vous qui voyez!
PS1: Une video à propos de ce Nexus http://www.youtube.com/watch?v=5Hxcn2kVnlw
PS2: la notice qui m'a été fournie étant en anglais, j'en ai fait une adaptation dans un français aussi correct que possible... et dont je peux vous faire cadeau... Suffit de demander!
PS3: à ceux qui poseraient la question de savoir quel pourcentage je touche sur les ventes, je m'empresse de répondre que je suis totalement bénévole...
Sbach 432 EPP
Je suppose que certains d'entre vous ont découvert au pied du sapin un objet ayant un rapport avec
leur hobby.
Pour ma part, il s'agit d'un modèle réduit du Sbach 342 en EPP (www.pichler-modellbau.de)
Acheté ici:
http://www.intermodel.fr/42-epp-voltige/823-sbach-342-90cm.html
Vous voulez savoir à quoi ressemble le vrai? Il suffit d'aller là:
http://www.xtremeair.de/web/342.php
Avec son envergure de 900mm, le mien est de taille plus
modeste et d'un coût nettement plus raisonnable. A l'image de son moteur dont la puissance est de 150W... comparés aux 300 CV et plus du réel...
Dans la mesure où je destinais ce voltigeur à des vacances itinérantes en caravane, je voulais un modèle qui ne
craigne pas les chocs inhérents à ce mode de vie, et puis aussi qu'il soit très facile à réparer... Quelques gouttes de cyano, un coup d'accélérateur en bombe... et hop, c'est
reparti!
Je viens donc de terminer l'assemblage du Sbach 432 (Prononcer "Sbarrrrrr..." Ach, sehr gut mein Herr!)
Juste quelques remarques.
Le kit arrive dans une boîte cartonnée, contenant tous les éléments de base afin de construire le modèle. On y trouve les roues, les guignols, les raccords de tringlerie, les renforts en tige carbone... Décoration effectuée... sauf pour l'intrados de l'aile et du stab qui sont blancs...
La notice fournie sur un livret comprenant 12 pages et abondamment illustré de photos en noir et blanc indique la marche à suivre... dans la langue de Shakespeare... Dommage, mais les images parlent d'elles-mêmes!
Contrairement à ce qui est prévu dans la notice où l'aile est solidiaire du fuselage, j'ai absolument voulu que la voilure
soit démontable...
Je me suis donc livré à quelques aménagements qui ont sans doute fait monter un peu la masse finale.
Découpe de la partie inférieure du fuselage qui sera collée à l'intrados de l'aile, un têton à l'avant, vis nylon à l'arrière.
En raison de ce fuselage plat comme une limande, impossible de camoufler les fils à l'intérieur comme dans un fuseau classique. Il est donc nécessaire de pratiquer dans l'EPP une saignée avec un un cutter bien aiguisé, et d'y insérer à force la tresse de chacune des rallonges de servos vers le récepteur. Mais cela reste toutefois assez discret.
Pour équiper mon modèle, j'ai utilisé les éléments suivants (préconisation par le site d'achat Intermodel
http://www.intermodel.fr/ :
Moteur 2835-8T 1038KV 68grs, 4 Servo MG90S Tower Pro (1 profondeur, 1 direction, 1 par aileron), Controleur 30A
BEC,
Et de mon propre chef, j'ai rajouté les indispensables:
accu 1050 mAh en 3S, et récepteur Assan 7 voies...
D'autres photos chez Flickr. Penser à cliquer en haut à droite sur l'option: "Afficher les infos" afin d'obtenir les commentaires de mes clichés.
http://www.flickr.com/photos/22950196%40N08/sets/72157628621127433/show/
La masse finale était annoncée à 395 grammes... mais on dépassait déjà le devis en pesant les différents éléments
avant construction!
Avec mes bidouilles, et un poil de peinture rajoutée à l'intrados, j'en suis à 450 grammes...
Les débattements?
La notice donnait 80mm de chaque côté pour les ailerons... je n'ai pu obtenir que 50mm... ce qui est déjà assez impressionnant (mais il me faudra peut-être rallonger les bras de servos ci-dessous. L'aile est présentée démontée.)
Sans souci, j'ai pu mettre les 40mm de chaque côté au volet de stab et les 85 mm du volet de dérive.
Centrage à 100mm du bord d'attaque...
A noter que j'avais sous la main une bombe de peinture orange exactement dans le même ton que celui utilisé par le fabricant!
Ainsi décoré, mon modèle a fière allure.
Je suis sorti un matin frisquet afin de procéder au premier vol...
Tenu par le haut du fuselage... le modèle est balancé dans son élément... et on se rend compte très rapidement que c'est du tonique.
Le décrochage "classique" arrive tardivement et se rattrape avec aisance.
Les figures de base sont sympathiques. La boucle est une formalité, les tonneaux passent rapidement sans désaxer, et le vol dos ne nécessite qu'un infime pression à piquer..
Renversement? Avec un tel battoir à l'arrière, c'est sans souci!!!.
Après quoi, yapuka travailler les enchaînements de figure.
L'atterrisage est facile: il serait même possible de coupler les ailerons en "snap flap" (agissant en volet de courbure avec un couplage géré par la commande de profondeur...ce que je ne saurais tarder à faire...)
Cependant, je ne me suis pas livré à la voltige 3D... pas eu le temps au cours de ce premier et unique vol...!
Durée 5 minutes, accu ayant néccesité une recharge de 500 mAh. On peut donc espérer un vol d'environ 10 minutes.
Mais il me semble que'n raison du poids supérieur à ce que préconise le fabricant (presque 14% de plus) mon Sbach est plus proche d'un voltigeur classique que d'un "3D".
Quoi qu'il en soit, il correspond à ce que j'en attendais: un modèle passe-partout, utilisable dans des espaces assez restreints, capable de voltiger même avec un poil de vent.
Sûr qu'il va m'accompagner lors de mes prochains déplacements...
C’est la 100ème !!!!
Vous avez sûrement remarqué qu’on approche de la fin de l’année. Non ?
Voyons. Voyons… Soyez sérieux !
Vous n’avez pas vu qu’on commence à nous (re)bassiner avec des bidules traditionnels tels que les sondages aussi futiles que ceux-ci :
- qui est selon vous la femme marquante de l’année ?
- quel est l’homme le plus sexy de la planète ???
J’en passe et des meilleures.
Sur les étranges lucarnes de la TV, on nous ramène aussi les sempiternels bêtisiers…. Les rétrospectives en tous genres.
Bref… les éternels « marronniers »!
En somme, rien de bien neuf sous le soleil de décembre !!!
Mais comme je baignais naturellement dans cette atmosphère de « retour en arrière »… j’ai eu la curiosité de fourrer mon nez dans les statistiques de ce blog… oui, oui, la feuille de chou que vous êtes justement en train de lire !
Et qu’y ai-je vu ?
Ben tout simplement que la gazette rédigée ce jour constitue une 100ème…
La 100ème de la rubrique « Billet d’humeur ! »
Cent "billets"… pour pas un rond ! Gratos… (rare, en ces temps où tout se monnaie…)
On m’aurait demandé où j’en étais, j’aurais été bien incapable de répondre.
Alors pour être complet, je vous livre l’ensemble des statistiques.
Créé le 30/03/2006 sur les conseils de mon cousin Pascal (merci à lui!), ce blog existe donc depuis 5 ans 6 mois et 21 jours soit, à la date du 20 décembre 2011, un total de 2091 jours !
Précis, le mec, hein ?
Durant ce temps, j’y ai déposé 222 articles divers, soit 1 article tous les 10 jours environ...
Tranquillement…
Il a vu passer 66.623 visiteurs uniques, pour un total de 144.568 pages lues, ce qui donne quotidiennement une moyenne approximative de 40 visiteurs/j pour 70 pages/j.
Certains diront que c’est modeste…
Je vous laisse apprécier.
Mais ma soif de rédiger et de partager m’a permis d’obtenir « en cadeau » quelques retours, commentaires parfois savoureux, pour lesquels on peut regretter qu’ils ne soient pas plus nombreux.. (Allez, amis lecteurs...un p'tit effort....)
Voilà, j’en ai fini des statistiques rébarbatives et dont vous n'avez sans doute que faire !
Quoi qu’il en soit, à l’aube de cette nouvelle année, permettez-moi de vous adresser mes vœux les plus chaleureux !
Encore merci à vous de prendre la peine d’effectuer de temps en temps un petit détour vers mes élucubrations !
Et puis, soyons un peu fous…
A l’occasion de cette 100ème… pourquoi ne pas faire sauter... le champagne !!!
(Avec modération, n'est-ce pas?)
Je « suis » mon ombre...
Dimanche matin de la mi-décembre.
Le soleil s’est levé dans une atmosphère frisquette.
Pour la première fois depuis cet automne finissant, le thermomètre affiche des degrés vraiment négatifs.
Dans la mesure où le vent se fait discret et qu'aucun nuage n’encombre l’azur, je décide d’affronter les frimas.
Je m’habille chaudement, je pose sur mes oreilles un bon casque stéréo, recouvert par ma casquette à rabat… je mets en route Endomondo… j'allume mon MP3 qui entame "Le Messie de Haendel"... et je pars à pied, direction les Batailles.
Grimpant la côte vers Trans, je marche en direction du Nord-Est, et je joue avec les rayons du soleil qui se faufilent entre les branches. Quelques fumées montent avec nonchalance, et j’imagine la douce chaleur que doivent diffuser dans chacune des maisons les bûches d’une cheminée.
La route présente par-ci par-là quelques jolies plaques de verglas bien luisant.
Arrivé un peu au-dessus du lieu-dit «le Carrefour », je me retourne afin de profiter du spectacle en direction du mont Rochard, puis vers le bourg de Bais tapi dans le creux de son vallon.
C’est à ce moment que je découvre… mon ombre ! Mon double... Un autre moi, à géométrie variable! Dont la vie est d'une intermittence éphémère, puisque directement tributaire de l'astre Tout-Puissant!
Dans la mesure où j’avais le soleil de face légèrement sur ma droite, elle me suivait discrètement (sournoisement?) depuis mon départ.
Mais je suis sur le point d'opérer un virage à plus de 90°… et c’est moi qui vais maintenant suivre mon ombre…
Je suis mon ombre…
Je suis…
Du verbe être, ou du verbe suivre ?
Etre, ou suivre son ombre ? That is the question !
Je commence donc à jouer avec elle, tout en divaguant sur les propos qui précèdent.
Etre à la remorque de son ombre... alors que d'habitude, évitant avec prudence le soleil, les plus paresseux d'entre nous passent même
à l'ombre pour ne pas avoir à traîner la leur!
Bref, je ne pensais pas qu'elle était parfois aussi looooongue, mon ombre!!!
Nettement plus grande que moi, c'est certain.
J’aimerais pourtant lui proposer de tenir mon appareil photo à mon double, pour qu’il puisse... "m'immortaliser" à l'aide d'un cliché!
Qu'au moins l'un de nous deux ne meure pas trop tôt...
Folie, n’est-ce pas ?
Je finis par oublier mon ombre et la mettre entre parenthèses(?) lorsque j’arrive au point culminant de mon périple, un peu en contrebas du château d’eau des Batailles.
Mais pourquoi, me direz-vous ? Tout simplement parce que je viens de découvrir au loin les 5 éoliennes de Crennes, qui se détachent sur la ligne d’horizon avec leurs grandes pales blanches brassant l’air calmement.
Mon regard va alors glisser vers le Nord-Ouest… et je tombe sur celles du Horps…(4+2)
Puis il va mourir tout à l’Ouest… pour découvrir les 3+3 de La Haie Traversaine éclairées par le soleil!
D’un seul coup d’œil, 17 éoliennes s’offrent en spectacle.
Au fur et à mesure que je descends la côte, j’abandonne les « moulins à vent » qui disparaissent peu à peu sous l’horizon… pour mieux reprendre le dialogue avec… mon ombre.
En m’approchant d’une haie, je voudrais faire en sorte qu’elle me ressemble… qu’elle soit presque de ma taille…
C’est à ce moment que je « tombe» sur un talus, où je découvre un passage de petit gibier… Je ne pensais pas que somnolait en moi une sorte de braconnier-photographe, prêt à poser un collet…
Descente vers le bourg de Bais… où je croise la voiture de madame le Maire et son mari. Echange de quelques propos sur le récent marché de Noël, le journal municipal à venir, et le site Internet de la commune…
J’entre sur le lotissement de la Loirie.
Simultanément démarrent dans mes oreilles « Ave verum Corpus» de Mozart et les hurlements de la sirène.
"Ave verum Corpus... Salut, vrai Corps"... alors que je suis en train de jouer avec mon corps factice!!!!
Quelques instants, et je vois les pompiers partir avec leur fourgon.
Un peu plus loin, je bifurque vers le plan d’eau, dont les rives réchauffées par les rayons du soleil dissipent une fine brume qu’amplifie le contre-jour.
Et puis d’autres longues ombres: celles que les peupliers projettent sur l’eau lisse comme un miroir.
Passage rue Henri Quentin… où je joue un instant avec les cristaux de givre déposés sur la toiture du vieux lavoir.
L’église…
Quelques rencontres avec des Baidicéen(ne)s connu(e)s… Quelques propos échangés…
Puis retour au bercail… où mon ombre va traîtreusement m’abandonner à la porte de la maison.
Et pour cause !
Mais je n’ai toujours pas apporté de réponse à ma question :
« Etre, ou suivre son ombre ? »
"Etre, et survivre à son ombre?"
Pour tenter de le savoir, il me faudra effectuer encore au moins une marche, en compagnie de mon complice le soleil, dont j’ai absolument besoin, afin de re-donner vie à mon « double »!
Humour et pédagogie…
Ce matin, alors que je somnole dans mon lit douillet, mon esprit encore brumeux est interpellé par le témoignage d’une prof s’exprimant sur France Inter.
Elle intervient dans le cadre d’une émission faisant état du moral des troupes de l’Education Nationale. Et je me dis alors que si elle reflète la majorité des personnels… ben y’à de quoi se faire du souci...
Sérieusement!
Parce qu’elle nous explique qu’elle est parfois entrée dans sa classe la peur au ventre, pas spécialement parce que les élèves étaient difficiles, (non, non elle les trouvait plutôt gentils), mais bien parce que, à ses yeux, elle ne possédait pas les bons outils qui lui auraient permis de mieux exercer son métier...
Et de décrire sa dépression l'empêchant de remettre les pieds dans une classe...
Problème de formation ?
Problème d’adaptation à son boulot ?
Problème de vocation ?
Je ne saurais dire…
Je me suis alors retourné sur mon propre parcours professionnel.
Il m’est arrivé, moi aussi, de me poser certaines questions sur ma pratique quotidienne.
D’avoir aussi l’estomac un peu crispé, comme noué par le trac des comédiens avant d’entrer en scène.
Il est vrai que j’ai souvent considéré mon métier comme comportant une part de « comédie », une sorte de spectacle où je devais interpréter ma partition de soliste sans faire trop de couacs, face à un public qui était là, non pas de son plein gré après avoir payé sa place ou son fauteuil, mais bien parce que les Institutions de la République Française rendaient sa présence quasi obligatoire. Rappelons que, contrairement à une idée bien répandue, ce n'est pas l’Ecole qui est obligatoire, mais bien l’Instruction, et que l’on peut faire instruire ses enfants autrement que par l’Ecole : parents eux-mêmes, précepteurs, enseignement à distance…
Toujours est-il qu’au fil de mes pensées, je me suis souvenu d’une préoccupation qui me taraudait : comment rendre l’Education (l'Instruction?) attractive, voire ludique, afin de susciter l’adhésion de mes « auditeurs ». Et de les rendre eux-mêmes "acteurs"!
Au cours d'un exercice de grammaire/conjugaison, on aurait intitulé la consigne: "De la voix passive à la voix active..."
J’avais assez vite conclu que l’humour pouvait être un des leviers importants.
Je me suis alors souvenu d'un entretien (très sérieux, ne vous déplaise...) que j’eus un jour avec l'un de mes supérieurs
hiérarchiques, un inspecteur pourtant pas trop sclérosé, mais qui disait être à court de sujets pour ses conférences pédagogiques justement. Il se rendait bien compte que les instits
à qui il devait s’adresser de façon périodique subissaient son cours… Passivement! (Moi le
premier...)
Et donc de lui suggérer activement, avec toute la déférence qui sied à un subalterne vis à vis d'un plus haut gradé:
"Ben... vous êtes venu dans ma classe, et vous avez noté sur mon rapport d'inspection les bienfaits d’une pédagogie
active, dont l’humour est un puissant moteur (je cite !). Vous avez souligné assez fort ce que cela peut donner en terme d'ambiance et de résultats positifs chez les
élèves.
- Et alors ? me demanda-t-il.
- Hé, vous n'avez qu'à mettre au programme de vos conférences
Humour et pédagogie... à moins que vous ne préfériez l'inverse, à savoir Pédagogie et humour, ou bien la pédagogie
humoristique...
- Ex-cel-lent! jubila-t-il, je n’ai plus qu’à m'atteler
sérieusement au sujet..."
Et qu'en est-il advenu?
Vous devinez la réponse!
Je suppose qu'à l'étage supérieur, un Mammouth (ou un enfant de Mammouth…) n'avait pas
dû trouver le sujet suffisamment… sérieux !
J'en souris encore!
Et pour finir sur une "bonne note", je vous invite à visiter ce site:
http://video-party.orange.fr/videos/play/7613681/Les-Tetes-a-claques---A-l-ecole/
Garmin eTrex H
Sachant que je suis un peu intéressé par tous ces appareils « Hitec», mon ami Gilles m’a confié pour quelques jours un GPS destiné plus particulièrement aux marcheurs et randonneurs.
Jaune en façade, muni d’un écran de 6cm en diagonale, l’appareil tient bien dans la main, et peut être suspendu à une dragonne.
Parmi les autres aspects positifs, je note l’acquisition rapide des satellites.
Pour accéder aux différents menus, les boutons disposés latéralement tombent bien sous les doigts, et donnent accès assez intuitivement aux différents menus.
Ce qui offre une navigation facile entre les différentes pages.
Le Garmin s’avère donc relativement simple à utiliser.
Il peut afficher la distance parcourue, la vitesse moyenne, l’altitude, la trace, les points de passages… Bref, toutes options assez classiques sur ce genre d’engin.
Et si on se perd en forêt, il assurera le retour à son point de départ (utile aussi sur les parkings de grande surface !!!)
Malgré tout, on pourra regretter l’absence d’une cartographie, même sommaire.
Et en ce qui me concerne, j’ai vraiment trouvé dommage que pour le raccorder à un PC, il faille acquérir un cordon spécifique assez coûteux.
De ce fait, comme il est livré, lorsqu'on est rentré chez soi, le eTrex H ne permet pas de visualiser son parcours sur Google Earth par exemple.
A noter que pour les personnes possédant un téléphone muni de GPS, des applications telles que Endomondo http://www.endomondo.com/home ou Sports-tracker http://www.sports-tracker.com/ offrent bien davantage de possibilités… et ce, gratuitement. Avec aussi le suivi des performances, le total kilométrique journalier, hebdomadaire, mensuel… et des courbes en tous genres : vitesse, altitude…
Basique... certes.
Mais le prix modique de ce Garmin eTrex H en fait un appareil entrée de gamme permettant de s’initier aux joies d’activités telles que la promenade, la course ou la rando avec assistance par GPS... sans nécessiter de PC ou de connexion Internet.
http://www.garmin.com/fr/products/sport/
Spécifications:
|
|
Dimensions de l'appareil, L × H × P: |
11.2 x 5.1 x 3.0 cm |
Taille de l'écran, L × H: |
2.8 x 5.4 cm |
Résolution de l'écran, L × H: |
64 x 128 pixels |
Type d'écran: |
LCD monochrome à fort contraste |
Poids: |
150 g avec piles |
Batterie: |
2 piles AA (non fournies) |
Autonomie de la batterie: |
17 heures |
Etanche: |
oui (IPX7) |
Flotte: |
non |
Récepteur haute sensibilité: |
oui |
Interface PC: |
serial
|
|
|
Cartes préchargées: |
non |
Possibilité d'ajouter des cartes: |
non |
Mémoire intégrée: |
non |
Accepte les cartes mémoire: |
non |
Waypoints: |
500 waypoints avec noms et symboles graphiques |
Itinéraires: |
20 |
Journal de suivi: |
10 00 points de trace, 10 routes mémorisables |