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Complètement givré.
Ce dimanche matin d'hiver, pas de vent.
Mais du givre à certains endroits.
Il n'en faut pas davantage pour que je mette un petit planeur dans la voiture, direction le Montaigu.
Et là, bizarrement, le côté Nord est "propre"! Sans givre!!!
Dix minutes de vol plus tard, je monte vers le parking...
Quelques coups de trompettes viennent parfois rompre le silence... chasse en cours.
Je redescends vers Bais, et du haut de la Beslière...
Je décide ensuite d'aller voir du côté de Vaugroux... chemin des Ruisseaux.
Avec un brin de soleil, c'eût été mieux... Non?
Mais le spectacle est malgré tout fort plaisant!
Quand je ré-enfourche mon VTTe
Ne sommes-nous pas début 2024? Mais comme la météo ne m'a pas semblé clémente, j'ai attendu des conditions plus propices pour ré-enfourcher mon fier coursier.
A propos de ré-enfourcher... Je m'amuse de voir fleurir ce préfixe re ou ré... Tout autant que Damon Mayaffre cité dans le quotidien Ouest-France.
Je suis donc parti en direction de l'ouest... et avant le Bois du Tay je tourne à gauche vers Hambers. Vent dans le dos , ça va bien!
Le coquet plan d'eau est fortement agité mais, malgré les températures négatives de ces derniers jours, pas gelé...
Un peu plus loin, j'avise une voiture qui s'arrête devant les conteneurs; un homme en sort avec un sac poubelle... et remonte presque aussitôt dans son véhicule sans avoir pu se débarrasser de ses déchets. Ben ça y est, il faut nécessairement utiliser son badge. Ce que ne possédait apparemment pas cet homme.
Et si je filais vers le Montaigu? Tant qu'on se trouve dans un chemin creux, on est à l'abri.
Mais arrivé au sommet, je n'ai d'autre solution que de me planquer du côté de la porte latérale côté Sud pour espérer me protéger de la bise.
Re-descente... virage à gauche direction le Carrefour des Pommiers.
Parfois, les pneus "croustillent" sur un sol gelé et dur.
A d'autres endroits, je me retrouve devant de profondes ornières très molles, m'obligeant à mettre pied à terre.
Et puis... sur ma droite, je constate avec regret l'abattage de très nombreux arbres, ce qui fait perdre à ce joli chemin son appellation "chemin creux"...
Un peu plus loin, arrêt pour se désaltérer, devant une touffe de houx aux boules bien rouges.
Je poursuis ma route jusqu'à un carrefour... dont une pancarte rappelle le proche atelier de Nicolas Mareau et de sa compagne.
https://www.viviane-michel-art.fr/portfolio/objets-dartistes/
Je m'engoufre alors vers la Beslière, au guidon d'un vélo magnifiquement(?) crotté... tout en espérant que la force centrifuge effectue un peu le ménage.
Lorsque je débouche du chemin, je prends le vent pleine bille. Ce qui ne m'empêchera de réaliser quelques clichés, avec le château de Montesson, lové dans un creux de relief.
Ayant atteint le bourg de Bais, je bifurque vers le plan d'eau, pour observer à quel point l'abattage des peupliers et la "tonte" des palmes offrent une perspective à laquelle nous n'étions pas habitués.
Je n'aurai cependant pas l'opportunité de faire le tour, car je suis bloqué par un magma de boue m'obligeant à rebrousser chemin.
Retour à la case départ, avec 18.800km au compteur.
Petit début, certes, mais il est nécessaire de remettre progressivement en route ma vieille mécanique, qui approche des 4 fois 20 ans!
On fera mieux une prochaine fois...
Le brouillard a tout pris...
En voyant le soleil brilller dans un ciel sans nuage.
Et en l'absence de vent...
je me suis dirigé vers le modélodrome de Doucé...
Sauf que...
A peine avais-je eu le temps de mettre en l'air mon modèle...
... que j'ai vu arriver une langue de brouillard... Ce qui a bien évidemment ravivé quelques souvenirs d''école.
Le brouillard a tout mis
Dans son sac de coton,
Le brouillard a tout pris
Autour de ma maison.
Plus de fleurs au jardin,
Plus d’arbres dans l’allée,
La serre du voisin
Semble s’être envolée.
Et je ne sais vraiment
Où peut s’être posé
Le moineau que j’entends
Si tristement crier.
Maurice Carême
J'ai donc prudemment interrompu ma séance pour me diriger vers le Montaigu, en espérant me trouver au-dessus de la crasse... ce qui fut le cas!
Moyennant quoi je me suis ré-installé sur mon aéromodélodrome personnel, en guettant toutefois ce fichu brouillard qui semblait se rapprocher dangereusement. Et j'ai décollé, caméra en route.
Mais j'ai fait en sorte que mon modèle évolue à une faible altitude... On ne sait jamais! Mieux vaut être prêt à regagner rapidement le sol.
J'ai cependant remarqué que cette langue de brume calée au niveau du village d'Hambers ne semblait pas évoluer. Et elle laissait Bais dans la lumière.
Ayant donc emmagasiné quelques minutes de vidéo, et sachant que mon aire de décollage ne verrait pas le soleil, je suis redescendu "at home", afin de visionner...
Et comme la météo annonce grande luminosité dans l'après-midi.
J'en profiterai pour retouver des copains à Doucé!
Dream Surfer et caméra Moebius
Dans la mesure où, tout dernièrement, je venais de restaurer ce vieux compagnon reçu en cadeau pour Noël 2013, je me suis offert le luxe de le remettre en vol, avec une caméra Moebius sur le dos. Petit cadeau pour son dixième anniversaire!
Direction le modélodrome de Doucé, avec un vent d'Ouest, donc avec le soleil dans les yeux lors des manoeuvres de décollage et d'atterrissage. Contre jour assuré! La caméra n'apprécie guère... Pas vraiment le top...
N'empêche que mon brave modèle ne semble surtout pas souffrir de cet appendice dorsal!
Décollage, puis atterrissage, pour changer l'angle de prise de vues.
De retour "at home", je visionne, et j'extrais quelques images de la "pellicule".
Pour constater que Dream Surfer aime jouer avec son ombre!
Tel un toutou fidèle, mon gentil modèle m'offre à chaque fois un atterrissage aux pieds! Sympa comme tout...
Malgré tout, je vais être contraint d'abréger la séance, en raison d'une forte odeur de purin tout frais...
Hé... Ce sont les joies de la campagne, n'est-ce pas?
La Transcoëvrons à Mézangers le dimanche 1er octobre 2023
J'étais parti pour faire voler mes modèles réduits sur la route "d'en bas"
Mais le vent de Sud passant par dessus la colline générait de joyeuses turbulences là où je me trouvais.
J'ai donc abrégé ma séance, et je me suis rendu à l'habituel point de ravitaillement tenu par des bénévoles.
J'ai d'ailleurs pu rencontrer quelques têtes connues, anciens élèves ou pas...
Dont un ex participant du Paris Brest Paris, qui trouvait que la boucle de 70 km c'était presque un jeu d'enfant! Ben voyons...
D'autres semblaient trouver que, quand même...
J'ai aussi pu apercevoir de nombreux VTT à assistance électrique. Il n'y avait pas lieu de s'en offusquer puisqu'il ne s'agissait pas d'une compétition.
Le stand de ravitaillement a connu une très belle affluence, puisque situé à la croisée de différents circuits.
J'ai également pu échanger avec des marcheuses qui avaient opté pour la bouclez de 15km; ces dernières me faisant part de leur satisfaction grâce aux chemins fort bien entretenus et très plaisants
VTT vraiment tous terrains
La météo annonçait des températures caniculaires pour l'après-midi.
C'est la raison pour laquelle j'ai préféré enfourcher mon cheval mécanique en matinée.
Je suis donc parti en direction de Champgenêteux, puis à droite vers Trans.
Peu après le lieudit "le Carrefour", en bifurquant sur la droite je me retrouve dans un chemin creux très ombragé.
Juste avant le Vaublin, je tombe sur "une mine" de mûres... mûres à souhait. Le simple fait de vouloir en cueillir une fait tomber les autres. J'ai donc tenu précautionneusement la branche avec la main gauche tout en grappillant avec la main droite.
Sauf qu'après, il m'était difficile de lâcher le guidon, tellement ça poissait!
Sortie sur la route que j'avais empruntée au départ, remontée jusqu'au chemin de Jauneau, et à gauche dans le chemin creux qui conduit au hameau de La Roche.
La suite est une longue descente à l'ombre, pour sortir près de la supérette Carrefour Contact.
Tiens, et si j'allais voir où en sont les travaux de réaménagement de l'Aron?
A un moment, je me suis trouvé (presque) bloqué entre la station d'épuration et les établissements Barbier Charpente! Mais quelqu'un avait eu la très bonne idée de jeter une passerelle de fortune au-dessus du cours d'eau.
Ayant ainsi franchi mon "Rubicon", j'ai été contraint de suivre l'ancien lit jusqu'au château de Montesson, sur un terrain bosselé par les engins de chantier, puis, ayant retrouvé la route qui mène à Hambers, j'ai pu reprendre calmement et sans secousses le chemin du retour.
Au final, je suis rentré à la maison un peu avant midi, avec environ 23 km au compteur.
Bois du Tay et Montaigu à VTTe
Il faisait chaud... et paradoxalement,, je me suis dit que sur mon vélo, j'aurai le vent relatif pour me rafraîchir. Surtout en empruntant les chemins creux ombragés ou les sous-bois.
J'ai commencé par la ruelle de La Chapelle, qui grimpe vers les Batailles... Puis à gauche vers la Chauvière... le Vaublin... Direction Champgenêteux pour bifurquer à gauche vers Jauneau.
Longue descente qui conduit à l'Hôtellerie, pour viser le bois du Tay...
De là, je pointe la roue avant en direction d'Hambers, et son charmant plan d'eau.
S'offre à moi l'option "Montaigu" via La Chesnaie. A l'ombre...
Mais les récentes pluies ont laissé de magnifiques flaques qu'il me faudra franchir prudemment au risque de m'envaser.
Malgré ces petits inconvénients, je parviens tranquillement tout en haut du Montaigu, devant la chapelle dédiée à Saint Michel.
Un peu téméraire (était-ce bien raisonnable?) je choisis alors de redescendre par la piste "hot", avec ses virages relevés comme sur les vélodromes...
La pente est parfois si raide que, debout sur les freins, roue arrière bloquée, ça descend quand même. On croirait piloter sur du verglas...
Direction ensuite le Carrefour des Pommiers, et dans cette portion, ce sera nettement plus calme, même si un arbre obstrue partiellement le passage.
Ah, si... le chemin est parfois si étroit et encaissé, qu'il faut penser à mettre les pédales à l'horizontale. Il m'est en effet arrivé de taper le rebord du talus, et je me demande encore comment j'ai fait pour ne pas être désarçonné!
A d'autres moments, je me suis fait griffer par les satanées ronces qui descendent du plafond... Douloureux et fort désabgréable!
Ayant croisé un couple de randonneurs, un peu plus loin je trouve un magnifique champignon... Bolet..
Je débouche enfin à la Beslière, d'où je peux apercevoir le bourg de Bais qui semble assommé par la chaleur ambiante.
Retour à la maison avec 25.330km au compteur. Très satisfait de ma sortie, composée à 75% de chemins non goudronnés.
Et oui! Je retrouve petit à petit mes sensations, je reprends confiance en moi, et je pense pouvoir à nouveau envisager de faire des escapades d'environ 30km.
Mais allons-y patiemment! Rien ne sert de griller les étapes.
Restauration de la rivière l’Aron et plan d'eau
Les habitants de Bais connaissent le plan d'eau autour duquel ils ont plaisir à se promener. Il fait partie de leur patrimoine depuis 1973. Pour ma part, j'ai connu la zone humide au travers de laquelle l'Aron serpentait... sachant qu'il a été nécessaire de "canaliser" l'Aron sur la droite du terrain de foot...
Et puis un jour, le bruit a couru qu'on allait remblayer cet étang...
Gros émoi dans la population... palabres... réunions... jusquà ce qu'on ce qu'on en vienne au projet actuel, qui fait l'objet de mon reportage..
je me bornerai à vous présenter les documents officiels... tels qu'ils sont affichés à la queue de l'étang ou qu'on peut les récupérer à partir du site internet de la mairie.
Ouest France a proposé un article en date du jeudi 27 juillet...
Je me suis donc rendu sur place afin de réaliser un reportage photographique.
J'ai effectué le tour du plan d'eau, en démarrant près des jeux implantés sur le terrain de foot... J'ai poursuivi mon chemin on longeant "le vieux cours de l'Aron"... le terrain de camping... Jusqu'au déversoir qui posait problème non loin du château de Montesson. (4ème photo ci-dessous)
Après quoi, j'ai longé le cours d'eau jusqu'au moulin... pour arriver au confluent du nouveau et l'ancien lit.
Traversant une zone humide, je suis reparti vers l'amont... jusque la station d'épuration. Où j'ai pu franchir un petit gué afin de me retrouver sur la rive droite.
Sur la gauche, j'ai pu observer une énorme tas de bois... dont la destination sera sans doute broyage en vue de paillage....
A ce propos, je vous invite à relire l'un des panneaux d'information.
Et j'ai bouclé la boucle en sortant au niveau où l'Aron a été dévié vers la droite. Sachant que la queue du plan d'eau va être un peu raccourcie.
Espérant que mon compte-rendu pourra avoir répondu à certaines de vos questions...
Planeur Lidl et turbine
Toujours tenté par la propulsion turbine, j'en avais testé une de diamètre 27mm sur ce fichu planeur Lidl... bon à tout!
Mais si elle était en mesure de le faire voler, je trouvais que cela manquait tout de même de pêche.
https://bernardino.over-blog.net/2023/05/je-suis-fan-de-lidl-fan.html
Je me suis donc tourné vers la solution "Do It Yourself" en récupérant des fichiers sur Thingiverse.
Même si sur le plan esthétique je pouvais me montrer satisfait, il faut bien reconnaître que mes différents essais n'ont pas vraiment été couronnés de succès.
Je suis donc retourné sur le commerce en ligne, et j'ai commandé une turbine de diamètre 50mm... Qui peut le plus peut le moins.
Et comme ce samedi matin le vent semblait faire la grasse matinée, je suis vite parti en direction de notre modélodrome avant qu'Eole ne se réveille comme il le fait actuellement tous les jours avec vigueur!
Mais que vois-je sur le banc de démarrage? Un pauvre insecte, encore vivant, certes, mais en bien mauvais état!
Je le laisse en place.
Vérification des gouvernes, et je lance.
Cette fois la puissance est au rendez-vous... et le vol plus musclé rend les gouvernes hyper-efficaces! Il me faudra donc revoir ce chapitre dès mon retour à l'atelier.
Atterrissage... Installation du smartphone sur son trépied... et c'est parti pour filmer.
J'effectue ensuite un vol avec Lidl équipé d'une hélice repliable, plus calme, mais tout aussi sympathique en vol.
Et je termine la séance avec l'élégant SkySurfer.
Ne vous avais-je pas dit que le vent allait sans doute se lever? Et bien c'est ce qu'il a fait...
Mais comme j'avais été un poil plus matinal que lui, j'ai pu effectuer mes vols sans qu'il ne me perturbe trop.
De retour à l'atelier, j'ai visionné mes vidéos...
Que j'ai pu passer à la moulinette de Movie Maker. (avec élimination des passages inutiles, cela ne sert à rien de vous infliger de longues secondes d'images pas très passionnantes)
Et quand le montage est fini, on envoie tout ça vers Youtube.
Avec le lien qui permet de...
Have fun!
Salaud de vent!
Vulgaire, me direz-vous!
Peut-être, mais pour une reprise de mon VTT après une si longue pause, je ne m'attendais pas à me faire "contrer" aussi férocement par la bise (c'est pas forcément le verbe que j'aurais eu envie d'écrire...)
Bref... Dans la mesure où le ciel semblait se montrer clément, j'ai enfourché ma bécane, et je suis parti pour un tour qui m'est familier.
Escalade de la côte du Rochard... Et j'apprécié d'être au portant comme disent les voileux.
Descente vers Sainte Gemmes le Robert où je franchis le radar automatique à 44 km/h.
Sortie du village, pause boisson, et je me "musse" sur la voie verte en direction de Mézangers.
Peu avant le village, je vais croiser un important groupes d'élèves à vélo. Un peu plus loin, deux voitures d'assistance arrêtées sur le bord de la route arborent des affichettes.. Il me sera donc possible de comprendre que les enfants viennent de l'école Jean Monnet, qu'ils sont partis du Bois du Tay et qu'ils regagnent Evron
Toujours est-il que cette partie du circuit est fort plaisante... mais en arrivant au plan d'eau de Gué de Selle, je commence à déchanter. Plus je resserre ma boucle vers la droite, plus le vent me prend pleine face... Regardez le clapot, et vous comprendrez que Eole était bien présent.
Dès lors, mon objectif principal sera d'emprunter des chemins dont les haies pourront constituer une pare-vent... Tout comme ici...
Passage devant le Poney Club, puis le manoir de la Grande Coudrière, Chellé... Avec un vent de plus en plus contrariant.
C'est alors que je tourne à droite, direction le Montaigu. Je sais, ça grimpe, mais il me sera possible de pédaler à l'abri...
Lorsque je débouche au sommet de la colline... je me réfugie près de la porte latérale de la chapelle, où je peux me désaltérer paisiblement.
Et admirant le paysage qui s'offre à moi, je me dis que ne me trouvant pas sur la commune de Champgenêteux mais sur celle d'Hambers, j'ai devant moi un champ genêteux!
La fin du circuit comprend de nombreuses descentes, qui me font accepter moins difficilement l'hostilité venant du Nord-Est.
Un traditionnel tour du plan d'eau de Bais, arrêt à la boulangerie pour achat de pains au raisin (faut se restaurer après l'effort, non?)
Et je rentre au bercail avec tout de même une bonne réserve d'électrons dans la batterie et 32.740 km au compteur, pour 2 heures 03 minutes de "pédalage". (Dixit Strava!)
A ce propos, accès vers Strava en suivant ce lien:
En conclusion, même si j'ai pris plaisir à faire mon tour, je pense qu'avant de partir pour une prochaine virée, je me montrerai nettement plus méfiant.
J'accepte certaines "bises", mais pas toutes!