Destruction d'un nid de frelons asiatiques
Ce nid avait été repéré depuis quelque temps... et la personne appelée afin de le détruire avait jugé qu'il était nécessaire d'utiliser une nacelle.
http://bernardino.over-blog.net/2020/10/nid-de-frelon-asiatique.html
Lundi matin, je reçois un sms m'informant que l'opération est prévue vers 10 heures.
Un Arrêté municipal est affiché aux deux bouts de la rue Henri Quentin, interdisant la circulation durant la manoeuvre... Et lorsque je me trouve aux abords du fameux nid, j'aperçois en effet un appareil de levage.
Je ne suis pas le seul à observer... Sauf que l'opérateur "frelon" ne semble pas très à l'aise dans le maniement de l'engin... qui patine, se met en crabe..
Appel au loueur, qui explique, mais rien n'y fait.
Une demi-heure plus tard, je vois arriver un camion, transportant un autre chariot élévateur...
Engin qui fonctionne impeccablement sous la commande d'un pro de la chose... Et même le premier lui obéit.
Les deux hommes revêtent alors la combinaison qui va bien... et la nacelle s'élève.
Le tueur de frelons pique le nid avec un gros dard... du produit s'échappe sur le côté...
Et à ma grande surprise, cela ne semble pas déclencher un affolement chez les frelons.
L'opération est très brève... La nacelle redépose ses occupants sur le sol.
Et le "nacellier" reconduit un des ses deux engins vers le camion, laissant l'autre sur le parking du "Montaigu" tout proche.
Opération terminée.
Le nid est resté en place. On nous a expliqué que des mésanges étaient susceptibles de venir se nourrir des larves restées à l'intérieur...
Wait and see!
Bougez avec La Poste
Dimanche 4 octobre...
Je poste une enveloppe rouge affranchie avec un timbre "Lettre verte Croix Rouge"
Elle est destinée à notre petit-fils qui doit fêter son anniversaire le 9.
Et les jours passent... passent ... passent.
Appel téléphonique au gamin: "Ben non, je n'ai rien reçu..."
Et les jours passent... passent ... passent encore...
Dimanche 25 octobre. Quelque peu impatient, je finis par envoyer un mail au service réclamations. J'obtiens une réponse automatique... anonyme et passe-partout... bien sûr
Et, oh, miracle, vers midi ce lundi 26 octobre, le destinataire me fait parvenir un SMS m'informant que le courrier est enfin arrivé!!!
C'était ma remarque désabusée en ce lundi matin venteux au ciel encombré de nuages gris!
Je ne sais pas s'il vaut mieux en rire...
Quand le brouillard lève son voile...
Ce matin, lorsque la maison a soulevé les paupières de ses volets roulants, j'ai pu découvrir un paysage complètement embrumé.
Et petit à petit, le soleil a réussi une timide percée.
Vite, j'ai embarqué mon Sony Cybershot au zoom puissant et aux 18 millions de pixels... pour filer vers le Montaigu.
Contrairement à la veille où la fenêtre photographique a été éphémère, aujourd'hui j'ai pu prendre tout mon temps pour laisser traîner mon objectif, de-ci, de-là...
Tel un gamin qui, tout au long de sa promenade, a rempli son sac à dos avec ses petites trouvailles, de retour à la maison, j'ai visionné... j'ai trié, j'ai "jeté" ce qui me paraissait moins intéressant...
Et sur la soixantaine de prises de vues, j'ai conservé 17 clichés... que je vous livre en vrac, et sans commentaires.
Fugitifs instants
Jeudi... Fin d'après-midi.
J'ai quitté Evron il y a peu, et je commence à escalader le mont Rochard.
Sur ma gauche, j'aperçois le soleil qui joue à cache-cache avec de petits nuages.
Je viens de passer "la Grande Barre"... Au loin, une fumée aux dégradés de bleu pastel monte paresseusement vers le ciel en adoptant une trajectoire improbable... Pas de vent. Calme plat. Sérénitude.
Je me dis qu'il y aurait là un cliché intéressant à réaliser, avec quelques arbres au premier plan, puis la fumée en guise de "voilette" masquant le visage du ciel rougeoyant. Mais il n'est guère possible de stationner dans ce secteur sinueux sans se mettre en position dangereuse.
Je parviens au croisement de la route qui escalade la pente pour mener à l'émetteur du Rochard dont la cime toise la plaine d'Evron du haut de ses 200 mètres.
Vite, je m'arrête... et je traverse la route afin de réaliser quelques clichés avec mon smartphone.
Mais le spectacle ne durera guère. Ephémère s'il en est!
N'empêche! J'ai eu la chance de bénéficier d'un tout petit créneau qui m'a permis de "figer" ces fugitifs instants.
Que je vous invite à partager!
Moi qui vis sans aucun Dieu...
Géocaching base de Coupeau
Cela faisait un bon moment qu'avec mon équipier habituel nous avions lorgné ce circuit au Sud de Saint Berthevin.
18 caches sur un parcours très vallonné dont le poseur disait:
"Qu'on le longe ou qu'on le surplombe, qu'on l'arpente ou qu'on s'y arrête, le site de Coupeau demeure l'un des plus beaux endroits de promenade de l'agglomération lavalloise. L'ardent Vicoin le transperce de part en part, une rivière dont le lit est bordé par le bois de la Savatterie et la forêt de Concise. Ce cadre enchanteur fait d'autant plus le bonheur des promeneurs et randonneurs qu'il se trouve à la croisée de deux chemins : la boucle de Coupeau elle-même, mais aussi, sur le viaduc tout là-haut, l'ancienne voie de chemin de fer menant jusqu'à Renazé. L'occasion de découvrir quelques curiosités...
Et hier, Félix m'appelle en me disant: "Coupeau, ça te dirait d'y faire un tour?
- Ouais, je saute dans mes baskets, je monte dans ma petite auto, et je te rejoins à Evron!"
En cours de route, je choisis un point de chute afin de garer notre voiture au plus près d'une des caches, pour Débuter par la n°5. (Point D sur la carte) Et se confirme alors le fait que nous allons devoir monter/descendre au moins trois fois. Ce que nous avions pu envisager au regard de la carte dans la mesure où la boucle englobe 3 lits de cours d''eau surplombés par des hauteurs!
Quand arrive la N°4... On cherche, on tourne.
Pour notre deuxième cache de ce circuit, on a frôlé le DNF. Vicieux comme camouflage.
Et dire que j'ai failli balancer le truc dans la haie en me disant: "Qu'est-ce que ça fout là?"
Avant de me reprendre et d'examiner un peu plus attentivement!
On enchaîne les autres caches... Avec grand plaisir, car elles sont pour la plupart faciles, avec des coordonnées précises... et souvent agrémentées sur l'application par une photo indice (en langage géocacheur, un spoiler)
Avec quelques belles réalisations comme la 2 par exemple... Mais je ne vous dévoilerai pas le secret qui tourne autour de ce mètre à ruban!!!
Puis Coupeau 1... avec un zoo niché à la fourche d'un arbre...
Pour arriver à la N°18... Sacrément bien fichu le truc... et on va alors prendre les caches en décroissant.
En quittant la 17, je lance à mon équipier:
"Quelle distance avec la suivante,"
Et j'entends alors une voix qui annonce: "230 mètres!"
Heu... levant les yeux de mon smartphone, j'aperçois une silhouette qui arbore une sacoche sur laquelle figure un logo géocaching.
C'est l'auteur de ce circuit!😉 Qui nous aborde avec un large sourire, en expliquant.
"J'ai reçu les messages lorsque vous enregistriez chacune des découvertes... Et comme je savais dans quel sens vous tourniez, j'ai vite pris une boîte neuve afin de remplacer celle qui avait disparu en 16 au calvaire... et j'étais sûr que j'allais vous croiser!"
Sympa comme rencontre.
Nous avons papoté un bon moment, en évoquant les caches déjà trouvées ainsi que celles à venir... puis après avoir remercié lafraise pour son travail, nous avons repris notre chemin en enchaînant nos découvertes.
Sur la 12... on a failli faire un DNF (non trouvée). J'ai alors attentivement relu les logs précédents à la recherche du moindre indice susceptible de nous aiguiller vers la bonne solution...
Quand soudain, je découvre ce que l'un écrit...
On élargit donc le champ de recherche, on se met à quatre pattes, on tâte les poteaux... et dans ce sous-bois où le GPS s'affole... soudain, bingo...
Vicelarde de cache!!!
Plus tard, sur notre gauche se trouve la .............. (la seule qui reste en vert sur ma carte.) Mais il faut escalader le talus, glissant... et nous ne sommes pas très en avance. Nous laissons pour une prochaine fois...
(Modification en date du 06/07:22, puis du 03/03/23 à la demande d'un lecteur: "cette cache se trouvait sur un terrain privé; elle n'est plus accessible" Dont acte)
Pour parvenir à la N°6 (notée A sur la carte, A comme Arrivée, )
Dotée d'une grosse boîte dans laquelle on pourrait déposer des objets voyageurs.
Yapluka franchir le pont près du restaurant (fermé), et on attaque (enfin) la dernière grimpette qui nous ramènera au parking.
Et c'est là que je comprends mieux pourquoi on attribue le maillot à pois lors du Tour de France. Mon ami Félix est nettement meilleur que moi dans ce domaine, et il mériterait amplement qu'on lui attribue le trophée du meilleur grimpeur! (Que ce soit pour les côtes ou pour les arbres!)
J'ai rejoint la voiture, ahanant et transpirant comme un beau diable, mais content d'avoir effectué ce joli circuit au cours duquel nous avons pu engranger 18 nouvelles caches!
Dis, Félix, c'est quand la prochaine sortie?
Héron MPX en vol de pente
Cela faisait un bon moment que nous n'avions pas eu un petit vent de Nord-Est.
Et justement aujourd'hui, voilà-t-y pas qu'il a décidé d'opter pour cette orientation!
Chic! Je "jette" mon antique Héron dans le coffre de la voiture; antique, parce qu'il a effectué son premier vol en août 2015 et qu'il cumule un paquet d'heures de vol. De ce fait, il a subi quelques avanies lorsque par exemple un servo de profondeur décide de se mettre en grève au beau milieu d'un vol... Ou bien encore quand je m'amuse(?) à le faire atterrir dans les ronces mêlées aux fougères sur la pente Ouest du Montaigu. Mais le matériau EPP s'entretient très facilement: on masque les "rides" avec de l'enduit de lissage, un voile de peinture, et ça repart.
C'est ainsi qu'aujourd'hui il a encore fait merveille sur la pente dite de la Pagerie. Située à moins de 3 km de mon domicile, mais avec une plage de vol assez contraignante tant au niveau orientation que force du vent.
Pour une fois, tout était optimal.
J'ai pu effectuer un vol de 32 minutes sans utiliser une seule fois le moteur, même au décollage.
Mais toute médaille a son revers... parce que le thermomètre affichant 11 petits degrés, je peux vous dire que la température ressentie est nettement moindre quand on se retrouve en plein vent. C'est pourquoi tout pendant le vol, je me suis abrité derrière le buisson aux épines situé juste à gauche des rochers (voir photo), et je l'ai utilisé comme coupe-vent.
Casquette à rabat, grosse polaire et gants étaient des plus utiles!
Au cours de cette grosse demi-heure, j'ai bénéficié d'ascendances généreuses qui m'ont permis d'atteindre 150 mètres/sol... et je n'ai pas jugé utile de monter plus haut. Avec suffisamment d'eau sous la quille, je me suis permis quelques fantaisies acrobatiques, dont une descente plein pot en vol dos avec passage au ras de la pente.
Mais malgré ma tenue digne d'un Inuit, j'ai compris qu'il était temps d'abréger les festivités.
Atterrissage en plongeant plus bas que là où je me trouvais, puis dérive à gauche ailerons à droite pour remonter en "crabant" et poser de travers par rapport au vent. Roulage sur une dizaine de mètres et l'oiseau s'immobilise gentiment. Même pas eu besoin des aérofreins!
Tout content de ma "prestation", j'ai remballé mes affaires, et quelque peu frigorifié, je suis redescendu à Bais, non sans rendre visite à une amie qui m'avait dit de passer la voir... parce qu'elle avait des pots de confitures à me donner.
Elle a même poussé la gentillesse jusqu'à m'offrir un bon café bien chaud!
Que j'ai hautement apprécié, bien sûr.
De retour à la maison, j'ai remis les accus de mon Héron en charge, en lui promettant de sortir une prochaine fois dès que les conditions le permettront.
La fibre optique arrive à Bais
On nous l'annonce à grands renforts de trompettes: "La fibre arrive dans votre commune"
Ce qui occasionne un certain nombre de travaux dont j'ai pu apprécier la teneur au bas de mon propre lotissement.
Mais auparavant on avait eu droit à un magnifique barbouillage au sol avec des signes cabalistiques de toutes les couleurs, des inscriptions telles que EAU, GAZ... Etait-ce à considérer comme du "street art"?😄
Et puis un jour on a vu débarquer les engins de chantier, qui ont obstrué le passage. Heureusement qu'on dispose d'une autre issue pour sortir de là.
On a ensuite admiré une magnifique armoire verte juchée sur un piédestal. Comme une sorte d'autel dans les églises. Sacro-sainte fibre!
Et puis un matin... plus de réseau: ni téléphone, ni Internet. On aurait peut-être pu nous prévenir, non?😏
Et comme ma box affichait que je devais contacter l'assistance technique... je me suis exécuté. Avec mon smartphone, bien sûr! Et après de longues minutes d'attente...
"Appuyez 1 si c'est pour,... appuyez 2 si c'est..."
La voix de synthèse a fini par me dire qu'après vérification de ma ligne, il y avait un problème technique, et que pour le résoudre, je pouvais me connecter au site https....
Ouais, sauf que sans réseau ADSL, on fait comment? Dans la foulée, je reçois sur mon portable quelques appels "au secours". Et je rassure mes interlocuteurs en leur disant que dans le bourg, près des regards du téléphone, on a déployé toute une armée d'ouvriers avec des ficelles bleues... Ils doivent sans aucun doute "tirer" les câbles de la fameuse fibre optique.
Vers midi... ma box se met à sourire en m'annonçant que l'incident est terminé.
OK... on va donc vraisemblablement me contacter sous peu pour me proposer de passer à la fibre optique, en me faisant bien évidemment miroiter ses nombreux avantages.
Sauf que j'ai à dire que:
- avec le débit ADSL dont je dispose actuellement et l'utilisation que je fais d'Internet, ça me suffit amplement.
- si tout le monde était servi comme je le suis... ce serait le Pérou ou l'Amérique. Parce que j'en connais qui rament avec des débits de m...
Et puis et puis...
A l'heure où les fournisseurs se battent pour acquérir le droit d'exploiter la 5G... moi, je me marre. Parce que là encore, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne, y compris dans mon village... où certains abonnés ont tout de même réussi à dénicher un endroit très spécifique chez eux... où ça passe à peu près.
5G? Et si on commençait déjà par servir tout le monde en 3G ou en 4G? Hein?
Et puis pendant que je suis en train de faire preuve d'une rare insolence, autant en remettre une couche avec cette photo...
Photo prise ce 13 octobre 2020 au pied du lotissement du Montaigu.
Armoire(?) recouverte d'un sac en plastique... depuis plusieurs mois déjà.
Et personne ne semble s'en préoccuper.
A moins qu'on l'ait équipée d'un masque dans le cadre des mesures de protection "Covid". Imaginez un seul instant que le virus Covid vienne s'ajouter aux virus informatiques auxquels nous devons déjà faire face?🤣
Je me marre! Et ma copine Castagnette aussi (Remarquez qu'elle porte son masque!) La même armoire située dans un pays dit "en voie de développement" ferait sourire bon nombre de nos concitoyens.
Mais braves gens, vous voulez de l'exotisme? C'est pas la peine d'aller si loin! Parce qu'on a déjà tout ce qu'il faut chez nous!😁
Voitures anciennes à Bais
En ce samedi 10 octobre, notre village a connu une activité très particulière. C'était "la journée du commerce de proximité et de l'artisanat".
Or, il se trouve que certains commerçants de Bais ont récemment oeuvré à la mise en place d'un club de voitures anciennes.
Ils ont donc profité de l'occasion pour animer un peu la vie locale en exposant sur la place de l'église une partie de leurs collections. Judicieux moyen également pour se faire connaître.
Le plus vieux véhicule exposé me semble être une Citroën, dont la carrosserie fait beaucoup plus penser aux anciens carrosses qu'aux véhicules très profilés aptes à la vitesse. Véhicule magnifiquement restauré, tout capitonné à l'intérieur... et doté des accessoires de sécurité modernes, tels le rétroviseur extérieur et l'indispensable "Pouët pouët!"
On pouvait également admirer des deux roues, dont un "antique" Solex... réputé(?) pour sa tenue de route aléatoire! J'ai pratiqué!!! Je parle donc en connaissance de cause...
Au milieu de ces "vieilleries" figurait également un tracteur agricole... qui paraît soudain encore plus maigrichon lorsque l'on voit passer en arrière-plan un mastodonte qui tracte un longue remorque chargée d'énormes "round ballers".
Le Farmall Cub : le tracteur qui a motorisé les petites fermes françaises
Le tracteur Farmall Cub fait partie de la gamme Farmall des tracteurs de la société américaine International Harvester Company (IHC). Le nom Farmall signifie "cultive tout" et sont les premiers ...
Et puis cette toute petite vespa 400... une sorte de voiture miniature! Voiture "Norev"?
Entre ces extrêmes? Quelques jolis monstres dont l'appétit en carburant doit se révéler impressionnant!
On ne pouvait échapper à la fameuse "Coccinelle"... Toujours à la mode et activement recherchée par les collectionneurs... Ainsi que les "Combi" et autres dérivés!
Puis quelques souvenirs personnels avec une "Traction Avant Citroën"... dont le levier de vitesses sort du tableau de bord.
Hé! J'avais à peine plus de douze ans que mon père me laissait garer la sienne dans les dépendances du presbytère à Chérancé! Souvenirs!
Au cours de ma déambulation, je me suis également amusé à prendre quelques gros plans...
Pendant que les visiteurs échangeaient à propos de ces véhicules, notre Marcel local grattait sa guitare. "Chauffe, Marcel! Chauffe... C'est pas l'homme qui prend la mer..."
Et pour donner un air convivial à la fête, les organisateurs vous offraient un café accompagné d' une chouquette si on le souhaitait...
Si d'aventure vous êtes intéressé(e)(s)... n'hésitez pas à contacter jean-Baptiste Gest, boulanger/pâtissier de son état, mais qui ne rechigne pas à délaisser son pétrin pour tremper les mains dans le cambouis!
lfdv53@gmail.com
Les Fous du Volant (du Montaigu...) Tout un programme.
Bonne route à eux!
Nid de frelon asiatique
Ce matin, je reçois un appel téléphonique d'une dame me disant:
"Depuis que les feuilles ont commencé à tomber, de chez moi j'aperçois un énorme nid de frelon asiatique. On a prévenu le propriétaire du pré dans lequel se trouve l'arbre... mais si vous voulez faire des photos, c'est maintenant... Parce que la procédure pour le détruire va être enclenchée!
- Merci madame!"
J'ai donc embarqué mon appareil photo à gros zoom, et je n'ai pas eu la moindre difficulté pour apercevoir ce gros cocon perché à la cime de ce qui me paraît être une variété d'érable.
Il semble être bâti autour d'une branche maîtresse qui le traverse en diagonale. Donc solidement arrimé! Pour le "dégommer", le travail risque donc de ne pas être très facile.
Ses dimensions?
Suis-je dans l'erreur si je l'évalue à plus d'un mètre de haut!
Et la question que l'on m'a inévitablement posée: "Est-il encore habité?"
Ben... A l'oeil nu, il m'était possible de voir le trafic intense dont il fait encore l'objet.
Si j'ai l'opportunité d'assister à son éradication, je ne manquerai pas de vous communiquer quelques clichés supplémentaires.