Contrôleur grillé en plein vol
Avec sous-titre: "Quand un contrôleur "brûle d'amour" pour un topmodèle(*) à
qui il souhaite "déclarer sa flamme!"
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Ce matin, je m'apprête à descendre au sous-sol, mais dès que j'ouvre la porte de l'escalier, une "étrange" puanteur agresse mes narines...
Mais pourquoi me direz-vous?
C'est à la fois fort simple, et pas si fréquent que ça, heureusement!
Revenons sur l'épisode d'hier après-midi.
J'avais un joli petit motoplaneur de chez Topmodel(*) nommé Bella qui dormait sur une étagère, avec les servos à l'intérieur... J'avise un
moteur inutilisé... un récepteur Assan 2.4GHz tout neuf... et un contrôleur...
Allons-y pour remettre ce modèle en état de voler.
Mais j'ai quand même des doutes à propos du contrôleur. De marque Motrolfly, je l'avais déjà essayé avec différents moteurs sur différents modèles (dont l'Electro Junior...)
et il m'avait toujours causé quelques soucis.
Je l'installe malgré tout...
Je procède à des essais dans l'atelier, et à part le fait que le moteur broute au démarrage, cela paraît utilisable; car si le moteur hésite en hoquetant, il finit quand même par prendre lentement ses tours.
Montage terminé...
Content de moi, je file à la pentette.
Je lance... sans moteur... et puis une fois
les trims réglés en ce vol débutant, je mets les gaz, pour voir.
Le moteur broute, comme à l'atelier, semble démarrer... puis s'arrête.
Je poursuis malgré tout le vol... mais je tente un redémarrage... Il ne se passe rien... Je manie plusieurs fois le manche des gaz d'avant en arrière afin de tenter un déblocage de la
situation.
Et soudain, je vois pointer une jolie(?)
traînée blanche derrière le modèle, et le panache augmente de volume!!!!
Ouais, comme un avion à réaction!!!! Spectaculaire....
Je pense immédiatement à l'accu qui pourrait avoir pris feu... j'ai ouï dire que ce genre d'incident pouvait arriver sur des accus Li-Po.
Mais le modèle se pilote encore... ce n'est donc pas l'accu puisque la radio répond malgré tout!
Je tente alors un retour à la planète aussi rapide que possible... et tout à coup, plus de liaison radio.
Damned!!!!
Magnifique et grande spirale qui se termine par un splendide crash...
Je dévale alors le pré comme un dératé pour me rendre au plus vite sur le lieu de l'impact.
Et avant même d'arriver, je sens bien que la situation va être "chaude", très "chaude"... Une certitude: il y a le feu dans la baraque tellement ça pue!
Mais je n'ai pourtant nul besoin de débrancher la batterie: en percutant le sol, le fuselage a vomi la plupart
de ses occupants.
D'ailleurs, les prises ont fondu sous l'effet de la chaleur.
Et il m'est impossible de saisir le fuselage à la main tant il est brûlant.
Et puis, j'vous dis pas la gueule du contrôleur...
Retour attristé à l'atelier afin de tester avec angoisse le reste de la radio.
Ouf! Servos et récepteur fonctionnent. Attelé à un autre contrôleur de moindre puissance, le moteur démarre sans sourciller.
Où est donc le coupable? Il me semble qu'on peut pointer du doigt le "gentil" contrôleur !
Et maintenant?
Il va me falloir réparer le fuseau et...
racheter un contrôleur plus fiable.
Mais dans la nuit, j'ai revu le film de cet incident. Et je me suis dit que dans mon petit malheur, j'avais quand même eu de la chance!
Imaginez qu'à propos du récepteur, pour des raisons de centrage, j'ai pendant un court instant eu envie de le placer à l'avant du fuselage, tout près de la batterie, donc du contrôleur. Ben.... Si j'avais suivi cette idée, le récepteur aurait été complètement rissolé!
Pensez aussi que mon modèle a eu la très bonne idée de tomber dans un herbage! Mais à deux mètres... il y avait la prairie sur laquelle s'étalait du foin...
J'aurais ainsi pu allumer les feux de la Saint-Jean avec un peu d'avance!
Ah, mais quand on vit un hobby avec passion, ne dit-on pas qu'on est "tout feu, tout flamme"?
Ayons toutefois une pensée émue pour mon "feu" contrôleur... ("feu", c'est comme ça qu'on dit quand quelqu'un vient de mourir!!!)
Et paix à ses cendres!!!!
Autres photos du modèle cramé, suivies de celles relatant sa reconstruction:
http://picasaweb.google.com/Bernardino53/ControleurGrille?feat=directlink
Le vélo, c'est bien beau .... mais faut pédaler!
Cela faisait longtemps que je n'avais ni marché ni pédalé... et je sentais que je m'encroûtais.
Alors je me suis botté le cul, et je l'ai posé sur ma selle.
J'ai installé sur le guidon mon fidèle et antique Medion 95000, dont j'ai modifié le système de prises, qui me semble plus rationnel.
A noter que je lui ai commandé une batterie neuve via ebay... Parce que celle d'origine s'écroule en très peu de temps! (Même épaulée par la batterie branchée en parallèle, le bidule noir dont on voit sortir un fil rouge et un fil noir)
Le tracé est issu du logiciel MemoryMap, qui a enregistré tous les points sur la carte pendant mon périple... ( voir la carte ci-dessous: circuit couleur vieux rose)
J'étais parti pour faire un petit tour... un classique 15 bornes...
Et au fil des km, je me suis senti pas trop mal.
J'ai même escaladé le Montaigu! (Point culminant de mon parcours marqué d'un point rouge sur le graphique "altitude". Je sais, c'est pas le Ventoux ou l'Alpe d'Huez, mais à mon
niveau...)
C'est ainsi qu'à l'arrivée, le compteur du VTT m'a affiché presque 28 km...
Cela faisait bien longtemps que je n'avais réalisé une telle distance, même sur du plat le long d'un canal!
Et aujourd'hui, non seulement c'était pas plat... mais tout n'était pas sur route, loin s'en faut.
J'ai en effet parcouru du sous-bois, des chemins de terre défoncés. Mais j'ai aussi découvert des chemins magnifiques, étroits, encaissés, que je n'avais encore
jamais parcourus. Il a fallu que je mette le pied à terre sur certains passages trop pentus, ou non roulants...
J'ai longé des plans d'eau, traversé des endroits où les coquelicots avaient presque pris possession des jeunes blés....
Partout, ça sentait bon le foin coupé...
Un lapin de garenne a traversé le chemin comme un fou... Il a failli me faire tomber.!
Un peu plus loin, j'ai cueilli un petit bouquet d'églantines... que j'ai offert à mon épouse à
l'arrivée.
Et puis en cours de route, il m'a fallu regonfler deux fois ma roue arrière, qui recommence à pisser par la valve un liquide vert émeraude (bidule qui rend les chambres moins sensibles aux
crevaisons qu'ils disent!)... Je vais donc devoir changer chambre et pneu, et comme ça je serai tranquille.
Bref, à part les épisodes qui "me gonflent"... le reste est très plaisant.
Petits plaisirs diront certains.
Ouais, mais tant qu'on peut encore appuyer sur les pédales.... Hein?
Moi qui n'étais surtout pas sportif...
Je m'étonne moi-même!
Scènes de la vie rurale : chez le médecin
Il est 7h40.
En ce lundi brumeux de juin, j’entre dans la salle d’attente du cabinet médical.
Une dame avec deux fillettes, un septuagénaire... ils finissent de se réveiller.
Quatre personnes, déjà…
Je salue ce petit monde, et je m’assois.
Au travers la cloison, on perçoit sans comprendre les échanges entre le toubib et le patient en cours d’examen.
Afin de tuer le temps, je sors un bouquin… Daudet,
« Contes du lundi »… Titre de circonstances, vous verrez !
Quand, poussant la porte de la salle d'attente, un nouveau « client » entre en scène.
Nous l’appellerons Gaëtan…
Il salue… et l’ambiance feutrée va alors subitement changer.
Il adresse un petit mot à chacun d’entre nous… entame la conversation sur la pluie et le beau temps, le maïs qui a besoin d’eau, ces orages qui lâchent leur pluie au petit bonheur la chance.
Arrive ensuite un trentenaire, qui boîte. Aussitôt Gaëtan l’interpelle en lui disant : « Ah, forcément c'est lundi; hier, y'avait un match de foot... Ah, le foot… c’est dangereux c’truc-là ! »
Et l’autre de lui répondre : « Mais pas du tout, j’ai horreur du foot. Non, j’sais pas, ma cheville a enflé… » Et de relever le bas de son pantalon tout en baissant prestement sa chaussette afin de nous montrer une cheville gonflée par une sorte d'oedème !
Gaëtan vient de se faire sèchement tacler dans la "surface de réparation". Il tente alors de se "relever" en y allant de son diagnostic : « C’est un moustique…Sûr... c'est une piqûre de moustique... D'abord, j’ai entendu dans le poste que le chikungunya était arrivé en France… »
Autant vous dire que j’ai refermé mon bouquin depuis un bon moment… Et je n’ai pas même atteint la fin du premier chapitre !
On entend alors la porte d’entrée s’ouvrir, mais on ne voit personne pénétrer dans la salle d’attente.
Gaëtan nous dit alors : « En v’là core un qu’est trop pressé, y va rester dans l’couloir… y veut s’faire consulter sans attendre ! Y n’a qu’à faire comme nous ! »
Et il se lève, ouvre la porte de la salle, et s’adressant à l’homme qui se trouve en coulisse: « Y’a core d’la place, tu sais… Tu peux ben v’nir t’asseoir à côté d’nous !
- Oh, j’sais ben, mais j’vas point vous prendr’ vot place ! C’est l’docteur qui m’appelé, pasque j’s’uis v’nu sam’di, et j’ai
oublié d’lui donner ma carte vitale pour mettre dans sa machine… Faut ça pour qu’la sécu ell’ m’rembourse…
- Ouais, y disent tous ça ! Ou ben qu’c’est pour une signature… Et pis y nous passent tous sous le nez… Viens donc t’asseoir… »
Entre alors en scène celui que nous appellerons Clothaire, l'homme à la carte vitale qui, afin de se justifier, exhibe dans sa main droite le précieux sésame vert qu'il montre à tout le monde... Il nous salue, mais reste debout, près de la porte.
C'est alors qu'il m'aperçoit. L'aubaine! Grâce à moi, il va pouvoir tenter de détourner la conversation. En effet, il évoque avec emphase les roses trémières que j’ai disséminées le long du mur de la rue Oy-Mittelberg. http://bernardino.over-blog.net/article-34148692.html
Dites-le avec des fleurs, cela adoucit les mœurs… n'est-ce pas?
Clothaire pense avoir retourné la situation à son avantage, et il ajoute qu’il va demander au « champêt’ » (comprenez: l’employé communal, autrefois garde-champêtre…) l'autorisation de poser lui-même des tuteurs afin que les hampes ne se brisent pas sous l’effet du vent.
« Ce serait dommage qu’elles se cassent, vos fleurs… J'aime ben les trémières, et dire qu'elles veulent pas pousser chez moi!!!»
Mais Gaëtan ne veut pas se laisser déposséder du rôle principal. Il reprend la parole pour me demander: « Ousque vous les avez trouvées ces graines-là ?… »
Je réponds alors que si certaines viennent de Bais, pour la plupart elles ont été prélevées à Oléron, Noirmoutier ou sur l’île de Ré...
Quelques échanges encore…
Puis on comprend que le le toubib s’apprête à lâcher son client: il ouvre la porte de la salle d’attente et, apercevant Clothaire, lui demande de passer dans son cabinet afin de régulariser la situation.
Gaëtan vient de se faire tacler une nouvelle fois! Il tente à nouveau de se "relever" en y allant de son appréciation sur la dure vie des toubibs… la difficulté de faire venir de jeunes médecins dans nos campagnes… Et pourtant, "les sous qu’ils doivent gagner", et "le percepteur qui doit être content de leur en piquer un paquet".
Un petit quart d’heure plus tard, c’est au septuagénaire de se faire ausculter, immédiatement remplacé dans la salle d’attente par un nouveau patient.
Cela n’empêche pas Gaëtan de conserver le premier rôle, c’est toujours lui le personnage principal de la « pièce »… Il questionne, donne son point de vue, réoriente la conversation…
Mais cela va bientôt être mon tour. J'en arrive presque à le regretter. J'aurais bien encore profité un peu du spectacle!
Et dire que j'ai pourtant à peine entamé mon bouquin, dont je vous rappelle le titre: « Contes du lundi »…
Non, je ne l’ai pas lu !
Mieux : je l’ai vécu !!!
Un grand merci aux différents acteurs de cette pièce improvisée !
Post Scriptum en date du 14 juin: je suis passé hier rue de Oy-Mittelberg, et les trémières ont reçu un aménagement à l'aide d'une ficelle qui les plaque un peu contre le
mur. Qui a fait le travail? Clothaire ou l'champêt'...?
Un week-end à histoire(s)
L'Histoire s'écrit-elle avec un « H » majuscule? L'histoire par le petit bout de la lorgnette s'écrit-elle avec un « h » minuscule? Mais toutes ces « histoires » rassemblées ne sont-elles pas les histoires des humains?
Attention toutefois à la chronologie!!!
Acte 1
Vendredi 4 juin,
Je suis convié à Villaines la Juhel pour l'inauguration d'une exposition dédiée à Robert Buron: on fête en 2010 le centenaire de sa naissance.
Expo visible à la Médiathèque de Villaines du 4 juin au 28 août 2010.
Quelques dates:
En 1945, il est parachuté en Mayenne, dont sa femme est originaire. Il déclarera « Je fus élu avant de connaître vraiment la Mayenne ». Son oncle est le docteur Faligant, qui devient conseiller général de Craon. Il est élu député de la Mayenne et le reste jusqu'à 1959.
Il est élu conseiller général de Villaines-la-Juhel en octobre 1951, puis maire de la commune en 1953, poste qu'il conservera jusqu'en mars 1970.
Il est maire de Laval de 1971 à sa mort en 1973.
Plusieurs fois Secrétaire d'Etat et Ministre, signataire des accords d'Evian qui mettent fin, en mars 1962, à la guerre d'Algérie, Robert Buron a laissé une très forte empreinte dans le terroir mayennais,
Voir Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Buron.
Acte 3
Samedi 5 juin
A quelques 30 kilomètres de Villaines la Juhel se trouve la charmante cité de Moulay. Sur laquelle doit passer la déviation contournant Mayenne. Mais voilà-t-y pas qu'en effectuant les travaux de terrassement, on met à jour des trucs bizarres. L'INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives) est alors chargé d'un immense chantier de fouilles (11ha) s'étendant sur le tracé prévu pour la déviation. Et en ce week-end de juin, une opération « Portes Ouvertes » est organisée sur le site. . .
Je m'en vais donc profiter de l'aubaine et apprendre sur le terrain tout un tas de choses concernant nos ancêtres, les Gaulois. « Plus grand site actuellement identifié sur le Massif Armoricain, l'Oppidum de Moulay fait partie des dix plus vastes sites connus pour la Gaule. Cette
agglomération fortifiée était selon toute vraisemblance le chef-lieu de la cité gauloise des Diablinthes, peuple dont le territoire occupait l'actuel tiers nord du département de la
Mayenne... »
Un chapitre de la « Grande Histoire »! De ceux qui ont laissé une immense empreinte sur le territoire mayennais.
http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Sites_archeologiques/p-909-Moulay.htm
Mais me direz-vous, où est passé l'acte 2? Aurais-je des problèmes avec la chronologie historique?
Ah, c'est vrai, j'avais oublié... Alors passons à l'...
Acte 2
Parce que je ne vous ai pas expliqué pour quelles raisons j'étais acteur dans l'acte 1 du vendredi 5 juin! Rassurez-vous, j'y étais en tant que modeste « figurant »!
C'est que les organisateurs de l'expo « Robert Buron » ne sont autres que les membres de l'association « Oribus »... http://oribus.fr/
Qu'ils ont déjà édité un bouquin sur le canton de Villaines... et que par le plus grand des hasards ils sont tombés sur mes historiettes. Vous savez, celles que je
distille sur ce blog sous la rubrique « Chroniques des années 50 »... Et, autre hasard, je suis natif de Villaines la Juhel. (Ah, cette fois, vous avez reconstitué une partie du
puzzle!)
J'avais rédigé en son temps une petite page sur mes souvenirs de la « Rue du Bignon » de Villaines où je suis né... la revue l'Oribus a donc décidé de publier mes souvenirs de gamin dans le dernier numéro (78).
Tout ceci coïncidant avec le vernissage de l'expo...
Comme quoi la Grande Histoire peut rejoindre la toute petite histoire (ou inversement!), celle que l'on voit
par le petit bout de la lorgnette... Celle qui ne laisse qu'une toute petite empreinte sur le territoire mayennais,
Fin de l'acte 2... et de la pièce!
Tomber du rideau.
Le figurant vous salue bien...
Ticky 750
Hier, le temps était... beurk!
Je me suis réfugié dans mon atelier, et j'en ai profité pour fabriquer une petite aile volante.
J'ai trouvé un plan ici:
http://radio-commande.com/constructions/construction-de-laile-volante-ticky-50/
Mais 50 cm d'envergure, cela me semblait "short"!
J'ai donc tout multiplié par 1.5... avec un tableur Excel!!!
Et j'ai obtenu une bestiole de 75 cm d'envergure (d'où le nom de baptême "Ticky 750")
Il suffit de quelques heures de travail pour cette construction tout en Depron de 3mm... Donc prix de
revient dérisoire.
Et cela contribue à un excellent rapport qualité/prix!
http://picasaweb.google.com/Bernardino53/Ticky750#
La Ticky 750 a volé le lendemain de sa mise en chantier...
Je l'ai essayée sur une mini pente, combinant ainsi le plaisir du planeuriste et du motoriste électrique.
Hé, oui, car chez nous les pentes sont parfois d'un faible rendement.
C'est pourquoi je m'autorise à ... m'autoriser... pardon: je m'autorise à motoriser certains de mes
modèles!
La vidéo du premier vol, avec la mini caméra scratchée sur la visière de la casquette!
http://www.youtube.com/watch?v=jDq1xlGeL9o
Quelques commentaires:
La bête se comporte comme une aile volante classique. Vive aux ailerons, ce qui lui permet d'enchaîner les tonneaux... Un peu plus douce en profondeur...
Capable d'écarts de vitesse importants. Le décrochage ne peut stresser: si on tire progressivement à la profondeur, la bestiole oscille sur l'axe de tangage, marque les ondulations en les amplifiant, puis finit toute de même par basculer d'un côté ou de l'autre. Caractéristique très classique des ailes à la charge alaire peu élevée.
C'est ainsi qu'on peut pratiquement l'arrêter face au vent afin de la faire atterrir... dans la main!
Et comme le moteur n'est pas paresseux, on peut la faire grimper vers le ciel quasiment à la verticale dans le miaulement caractéristique des engins ayant l'hélice "au cul".
Vraiment un truc très fun!
J'ai même fini par lui greffer une keycam sur le dos.
Ah, c'est remuant ces p'tites bêtes-là!!!
Le lien direct:
ou encore:
http://www.youtube.com/watch?v=BEAJaXDCLWU