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VTT et modélisme
Alors que le matin j'avais fait voler deux modèles sur notre modélodrome de Doucé...
.... je décide d'enfourcher mon VTT électrique en début d'après-midi.
Direction la route de Mayenne, virage à droite vers l'Hôtellerie... et je finis par rejoindre la voie verte quelques kilomètres avant la Chapelle au Riboul.
En vue de Marcillé la Ville, je tourne à gauche... et dans la descente vers l'Aron, je rejoins deux cyclistes... dont les montures sont sans électrons.
Tout en poursuivant notre chemin, nous échangeons quelques propos... Et ils me confient que, lorsqu'ils seront plus âgés, ils envisagent eux aussi de passer à l'électrique.
Je plaisante sur le fait qu'on m'a déjà envoyé des remarques du style: "C'est un vélo de faignant!"
Pour évoquer la réponse que je renvoie systématiquement: "Oui... J'aurais pu arrêter le vélo classique, me "cuter" dans le canapé en regardant la télé, la zapette dans une main et une Kronenbourg dans l'autre! Mais du haut de mes 4 fois 20 ans, je suis très satisfait de ce que je peux encore faire!"
Nous entrons dans Grazay... et dans la mesure où ils roulent moins vite, je finis par les abandonner derrière moi.
Pour parvenir à notre terrain de modélisme, où j'ai la surprise de trouver deux membres du club de Mayenne.
Quand arrive une Twingo que je connais bien. C'est Michel qui en descend et après nous avoir salués:
"Je me suis dit qu'avec ce temps-là, y'aurait sans doute du monde sur la piste!"
Casque sur la tête, je vais donc me convertir en moniteur de pilotage afin d'assister Michel... qui a énormément perdu après une très longue trêve et des ennuis de santé.
Il effectuera ainsi sous ma tutelle trois vols, et c'est moi qui atterrirai à chaque fois son modèle... à ses pieds.
Ce qui ne manquera pas de le faire râler: "Ah, bon Dieu, c'est beau de pouvoir être aussi précis!"
Le temps passe, et il me faut bien évidemment rentrer en pédalant vers Bais, je finis donc par saluer tout ce petit monde, enfourcher mon cheval mécanique..... direction Hambers...
Le soleil se fait de plus en plus bas sur l'horizon...
Arrivé à Bais, je m'offre un traditionnel tour de plan d'eau, avant de regagner mon "home sweet home" avec un peu plus de 31 km au compteur.
Voilà donc un après-midi fort bien rempli, où j'ai pu m'adonner à deux de mes hobbys: le VTTe et l'aéromodélisme.
Tout en profitant d'une météo très favorable.
A la prochaine!
Il n'y a pas d'âge pour commettre un Asnerie
N'est-il pas?
En tout état de cause, je suis parti vers l'ouest, route de Mayenne; virage à droite direction l'Hôtellerie... J'aime bien ce circuit parce que dans la mesure où l'on suit à peu près le cours de l'Aron, il ne comporte pas beaucoup de grimpettes... du moins dans sa première partie.
Mais avant d'atteindre la Chapelle au Riboul, je me dois de faire une halte en forme de galéjade! (la première pour aujourd'hui😊... d'autres vont suivre!)
Voyons, une Asnerie, je ne pouvais pas laisser passer!
Quelques kilomètres plus loin, je rejoins la voie verte, virage à gauche...
... vers la Chapelle au Riboul, et son ancienne gare.
Il fait bon rouler à l'ombre, où je fais de temps à autre une pause afin de me désaltérer.
En vue de Marcillé la Ville, je retrouve la route asphaltée pour atteindre Grazay. Quelques bâtiments qui méritent le coup d'oeil... et je m'arrête à l'entrée de l'église.
Pour déguster mon eau (pas bénite😊) tout en étant assis sur la pierre babillarde.
Reprenant la route, je me dirige vers notre terrain de modélisme, où je ne rencontre personne. Nouvel arrêt à la chapelle de Doucé, magnifiquement restaurée.
Arrivé à Jublains, je me devais d'aller saluer mon copain le soldat romain qui se trouve juste à côté du musée.
Sortant de la ville romaine, j'avise un panneau qui va me suggérer une réflexion pleine d'ironie: certains ont enfin compris que, quelle que soit "la chapelle", les religions ne mènent qu'à une impasse! (😊fin de la digression!)
La route joue ensuite aux petites montagnes russes pour arriver au bourg d'Hambers.
C'est là que je vais refaire le plein de mon bidon avant d'attaquer le chemin creux qui peut conduire au Montaigu.
Sauf que, au bout de quelques centaines de mètres, j'arrive devant un passage scabreux. A pied, je suis passé, mais avec le VTT, je n'ai pas osé. J'ai donc effectué un prudent demi-tour.
Retour à Hambers, pour escalader la côte de la Bolinière... Passage devant le château de Montesson.
Retour à Bais, pour contourner la piscine fort fréquentée.
Au plan d'eau, je me pose la question de savoir si les canards savent lire: "Baignade interdite"!
Et je boucle mon circuit avec presque 34 km au compteur
Et ça, c'est pas une ânerie!😊
Quand je remonte "augustement" sur mon VTTe
Cela faisait un bon moment que... Et malgré la chaleur ambiante, j'ai décidé d'enfourcher mon fier coursier.
Escalade de la côte vers le mont Rochard, avec l'assistance max. Bascule vers Sainte Gemmes le Robert... Dans la descente, le vent relatif est fort agréable pour rafraîchir l'atmosphère.
Traversée du bourg en se faufilant à travers les panneaux posés pour signaler les travaux en cours.
Et j'attaque la liaison vers Mézangers... avec de longs passages à l'ombre. Mais, il semble me souvenir que je devrais trouver d'ici peu... Bien sûr! Des petites prunes jaunes, dont j'ai déjà pu bénéficier les années passées...
Je ne dirais pas que je m'en suis goinfré, mais j'en ai fait une bonne cure.
Un peu plus loin, ce sont cette fois des "rouges"... dont j'emplis mes petites sacoches...
Poursuivant mon chemin, j'aperçois quelques mûres, peu nombreuses encore. J'en profite pour effectuer un nouvel arrêt "ravitaillement".
Et je parviens enfin au plan d'eau de Gué de Selle. C'est l'occasion de m'asseoir à la terrasse de la Guinguette pour déguster une boisson fraîche.
Et je repars pour un long passage à l'ombre.
J'avais déjà remarqué que les fortes chaleurs exacerbaient les odeurs: les résineux, la vase, la bouse des vaches, les chevaux, le blé moissonné... Mais lorsque je croiserai des promeneuses autour de l'étang, ce sont leurs différents parfums d'ambre solaire qui titilleront mes narines. Pas désagréable cette fois!
Un autre arrêt en queue d'étang...
Pour reprendre la route goudronnée qui, du fait des fortes chaleurs, manifeste sa présence par une odeur tenace.
Passage près du Centre équestre, lui aussi très odorant... Et arrêt devant l'élégant manoir de la grande Coudrière.
Arrivé au village de Chellé, je m'intéresse à une jolie bignone.
Direction Hambers en légère montée, avec un petit clin d'oeil au Montaigu et à sa chapelle qui brille sous le soleil...
jusqu'à ce qu'un élevage porcin nous gratifie de relents forts peu agréables.
Bascule en direction d'Hambers... descente vers son calme plan d'eau...
C'est là que je vais rencontrer une ancienne parente d'élève qui s'est mise au vélo électrique, et nous allons parcourir ensemble quelques kilomètres, jusqu'à ce que je la quitte au château de Montesson... pour une photo prise sous un angle inhabituel.
De loin j'entends les ébats des baigneurs qui profitent de la piscine, fort fréquentée.
Et, comme c'est très souvent le cas, je souhaite terminer mon périple avec un tour du plan d'eau local, mais... un puissant chêne m'en empêchera, victime qu'il a été des bourrasques de vent subies la veille lors d'un orage
Demi-tour obligatoire, et retour au bercail avec un peu plus de 32km au compteur.
Voilà donc un mois d'août qui commence... "augustement" bien! Non?
Lundi de pente côte du Montaigu
Pente.... côte.... du Montaigu!
Hé oui, si je veux aller aller au Montaigu, il me faut gravir une côte.... même un lundi de Pentecôte!
J'ai donc enfourché mon VTTe, et arrivé tout là-haut, je me suis installé sur un banc afin de profiter du panorama.
En redescendant, j'ai croisé un papa qui tenait par la main un bambin haut comme trois crêpes, et qui avait bien du mal à mettre un pied devant l'autre tandis que son frère aîné poussait péniblement un petit vélo...
Un peu plus bas... quelques digitales.
Sur la gauche, des petites chèvres tentent de remettre la surface en herbe, mais la fougère aigre est difficile à combattre.
Descente jusqu'au Hameau de Montaigu, celui de La Mare. Et à peine ai-je entamé la portion qui mène à la Duchetière qu'il me faut zigzaguer entre de gros cailloux emportés jusque sur la route, sans doute suite à un violent orage!
Jusqu'au bas du vallon, les herbes des bas-côtés sont couchées et pleines de débris végétaux. Quant au plan d'eau, il est couleur marron indéfinissable.
Avant de virer à droite direction Hambers... chacun porte sa croix, n'est-ce pas?
Hambers; son petit étang, calme.
Je prends ensuite la direction de Champgenêteux pour tourner à droite vers Le Tertre. Ce sera le seul chemin non goudronné que j'emprunterai... D'habitude fort sec, il est aujourd'hui boueux à souhait, et j'ai quelques difficultés à rester en équilibre sur mon destrier. Reprise du bitume au niveau du Foyer Les Bleuets.
Avant d'arriver à Bais, je "crochette" vers le château de Montesson.
Tour du plan d'eau local où des plantes aux fleurs jaunes attirent mon regard.
Et retour à la base avec presque 17 km au compteur.
Petit sortie... certes, mais suffisante pour aujourd'hui!
Il faut savoir ménager sa monture!
Casque à pointe ou pas?
09 mai 2024... Jeudi de l'Ascension.
Je profite d'une météo clémente afin de prendre ma dose de pilotage tôt le matin. Ce sera mon gentil Gemini qui fera les frais(?) de l'opération!
Dans l'après-midi, je décide d'effectuer une virée à VTTe... et je pars en direction de Doucé Airport en empruntant la D35 pas encombrée de camions en ce jour férié.
Du haut de la côte située après Ecures, j'aperçois des véhicules stationnés sur notre modélodrome. Et lorsque je mets pied à terre, je découvre quelques vieilles(?) connaissances.
Dont deux "jeunots" auxquels j'ai appris à piloter: Stéphane, actuel président de notre club, et Olivier.
Ce dernier pourrait vous raconter tout son parcours professionnel dont il dit lui-même qu'il a été profondément marqué par l'aéromodélisme.
C'est sans doute l'une des raisons pour lesquelles il tente actuellement d'initier son fils à la pratique du pilotage.
Si bien que nous pouvons ainsi "admirer" trois générations de pilotes réunies sur le terrain.
Par la suite, Olivier nous offrira un très joli vol avec son hélicoptère de 25kg équipé d'un réacteur. (Onéreux jouet pas à la portée du premier venu)
Et puis, et puis... Olivier me lance:
"Le Baron, hein, tu connais? Je ne vais pas te re-raconter tout ce qu'on a pu échanger sur le sujet! Ben tu vois, j'ai eu plaisir à en recontruire un de taille normale... 30 ans après... et un autre plus gros... 6kg, moteur électrique... Tu ne partiras pas du terrain sans l'avoir piloté... j'exige... mais si, mais si!"
Et moi qui étais venu les mains dans les poches, mais simplement coiffé d'un casque sans pointe... je réponds: "Heu, ben, Olivier... c'est gentil, mais j'sais plus piloter ces trucs-là! Moi..."
Ce qui déclenche un immense rire dans l'assistance.
Je me suis donc retrouvé avec un émetteur entre les mains... Et un casque de cycliste sur la tête!
J'ai pu effectuer plusieurs passages très bas... et Olivier m'a prévenu: "Maintenant que tu as les manettes... tu te débrouilles pour faire l'atterrissage!"
J'avoue que j'étais un peu stressé, et que je n'ai pas entièrement réussi la manoeuvre, le Baron sortant de la piste après quelques dizaines de mètres. (Mais il ne possède pas de roulette de queue... Belle excuse, n'est-ce pas?)
Après quoi, je suis remonté sur mon VTTe afin de retourner chez moi!
Mais je n'ai pas pu m'empêcher de galéjer une fois encore, avec le montage ci-dessous:
(J'ai 10 ans, je vais à l'école...
J'ai dix ans
Je sais que c'est pas vrai
Mais j'ai dix ans
Laissez-moi rêver
Que j'ai dix ans
Ça fait bientôt quinze(?) ans
Que j'ai dix ans
Ça parait bizarre mais
Si tu m'crois pas hé
Tar' ta gueule à la récré...)
Géocaching chez les Lupigastois
Ce qui m'a permis de pédaler un peu sur cette ancienne voie ferrée, de dénicher quelques caches... de croiser de nombreux vélotouristes avec lesquels j'ai parfois pu échanger...
A un moment, je me retrouve à hauteur d'un couple équipé de VTCe haut de gamme... intrigué par mon comportement.
Je n'ai eu d'autre solution que d'expliquer.
Ils se sont piqués au jeu... et pour les quelques caches qui me restaient à découvrir en remontant vers Ambrières, je les ai mis au travail.
Ils ont apparemment eu beaucoup de plaisir à dénicher les petits tubes...
Mais, tout comme moi, ils ont été très déçus de n'avoir pu mettre la main sur la #6.151 (elle était d'ailleurs affublée de deux "non trouvée")
Je ne serais donc pas surpris d'apprendre qu'ils ne vont pas tarder à faire partie des nôtres!
A propos de cette véloFrancette, concernant la partie située en Mayenne, il ne m'en reste plus beaucoup à trouver.
Merci à tous les passionnés qui sèment des boîtes... Sans eux, le jeu serait nettement plus monotone!
PS: à noter que j'ai inauguré ce jour une rampe permettant de hisser facilement mon VTT sur le porte vélo. J'avais en effet de plus en plus de difficultés à soulever la bête.
Achat qui me semble très judicieux.
cyclosportive-babybel
Samedi 27 avril.
C'est la première journée de la cyclosportive Babybel... mais la météo n'est guère clémente.
Je me suis posté du côté de la Pagerie... sous le mont Rochard.
Et j'ai ainsi pu voir quelques courageux qui n'avaient pas craint d'affronter les éléments.
Mais vu l'état des participants... je me dis qu'ils ont dû trouver des chemins très gras.
L'un d'eux m'a pourtant adressé un vigoureux "Salut Bernard!" Qui était-ce?
Sûrement une connaissance... David? Dominique? Erick??? S'il se reconnaît...
Une journée bien remplie
Ce matin, je m'apprêtais à partir vers le modélodrome de Doucé quand...
...je découvre cinq nouvelles caches parues sur Montsûrs.
Rapide changement d'objectif.
J'attaque le chemin par la n°5.
Sur la 4... malgré le spoiler, je ne trouve rien...
J'enchaîne ensuite 3, 2 et 1.
Et je décide de revenir sur ma tentative avortée. Signalée d'un DNF.
Il n'en fallait pas davantage pour que notre sérial poseur me téléphone:
"Ah tu devrais pouvoir la trouver...
- Ben non, il doit me manquer quelques bons cm..."
L'échange se poursuit jusqu'à ce que enfin, me hissant comme je peux sur des bouts de branchages, j'aperçoive la fameuse boîte.
Que je déloge... Ce qui me permettra de signer mon 5ème First To Find de la matinée.
Merci Yannick!
Mais je n'oublie pas que j'étais parti pour faire voler mes p'tits z'avions.
Doucé Airport. Les contrôleurs du ciel me donnent le feu vert.
Décollage et que vois-je tout là-haut?
Si on dit qu'une hirondelle ne fait pas le printemps, on peut sans doute affirmer qu'un paquet d'hirondelles ça fait le balisage d'une ascendance!
Et je n'ai pas été déçu.
Mon élégant Sky Surfer grimpait comme un malade.
J'ai arrêté les frais lorsque la télémétrie a dépassé les 170 mètres/sol. Pas bien gros mon oiseau à cette altitude.
Je l'ai donc fait redescendre avec loopings, tonneaux... passage très bas en vol dos...
Et je l'ai renvoyé dans l'ascenseur, pour une nouvelle grimpette.
Le jeu aurait pu ainsi durer un certain temps... mais il me fallait rentrer à l'heure pour le déjeuner.
Merci aux hirondelles, les premières que je vois cette année.
Egalement merci au coucou qui scandait au loin son monotone slogan. (J'avais quelques sous dans ma poche... Dicton: "Quand on entend chanter le coucou pour la première fois de l'année, si l'on a de l'argent sur soi, on en aura toute l'année"... ")
Début d'après-midi... On m'apporte un PC portable à bout de souffle.
Je vire son disque dur que je remplace par un SDD. Installation de windows 10... Et quand tout est ok, on redémarre la machine, avec apparition de l'écran d'accueil en 10 secondes...
Et comme le temps a l'air de se maintenir, je pars avec mon VTT, direction le Montaigu. Descente vers Hambers. Flânerie dans le parc du centre Les Bleuets... pour apercevoir mon pneu avant qui de dégonfle à vue d'oeil.
C'est le moment de sortir la petite pompe arrimée sur la fourche avant... Et ça repart.
Comme cela a l'air de tenir, j'en profite pour faire un tour du plan d'eau local, dont le niveau baisse de façon importante.
Et retour à la base, pour me rendre compte qu'une nouvelle fois, mon pneu avant...
Je m'arrête alors chez mon voisin Dominique, spécialiste es-VTT, qui accepte de se pencher sur mon cas, et qui découvre...
Deux magnifiques épines, que le liquide "anti-crevaison" intégré dans la chambre a bien du mal à domestiquer.
Démontage. Et deux rustines plus tard, mon VTT retrouve sa roue avant qui semble accepter de conserver son gonflage...
Je retiens toutefois le conseil qui m'a été délivré: "Remets du liquide dans ta chambre à air... ça ne pourra pas lui faire de mal..."
Voici donc le compte-rendu de ma journée!
Bien remplie, n'est-ce pas?
Quand je ré-enfourche mon VTTe
Ne sommes-nous pas début 2024? Mais comme la météo ne m'a pas semblé clémente, j'ai attendu des conditions plus propices pour ré-enfourcher mon fier coursier.
A propos de ré-enfourcher... Je m'amuse de voir fleurir ce préfixe re ou ré... Tout autant que Damon Mayaffre cité dans le quotidien Ouest-France.
Je suis donc parti en direction de l'ouest... et avant le Bois du Tay je tourne à gauche vers Hambers. Vent dans le dos , ça va bien!
Le coquet plan d'eau est fortement agité mais, malgré les températures négatives de ces derniers jours, pas gelé...
Un peu plus loin, j'avise une voiture qui s'arrête devant les conteneurs; un homme en sort avec un sac poubelle... et remonte presque aussitôt dans son véhicule sans avoir pu se débarrasser de ses déchets. Ben ça y est, il faut nécessairement utiliser son badge. Ce que ne possédait apparemment pas cet homme.
Et si je filais vers le Montaigu? Tant qu'on se trouve dans un chemin creux, on est à l'abri.
Mais arrivé au sommet, je n'ai d'autre solution que de me planquer du côté de la porte latérale côté Sud pour espérer me protéger de la bise.
Re-descente... virage à gauche direction le Carrefour des Pommiers.
Parfois, les pneus "croustillent" sur un sol gelé et dur.
A d'autres endroits, je me retrouve devant de profondes ornières très molles, m'obligeant à mettre pied à terre.
Et puis... sur ma droite, je constate avec regret l'abattage de très nombreux arbres, ce qui fait perdre à ce joli chemin son appellation "chemin creux"...
Un peu plus loin, arrêt pour se désaltérer, devant une touffe de houx aux boules bien rouges.
Je poursuis ma route jusqu'à un carrefour... dont une pancarte rappelle le proche atelier de Nicolas Mareau et de sa compagne.
https://www.viviane-michel-art.fr/portfolio/objets-dartistes/
Je m'engoufre alors vers la Beslière, au guidon d'un vélo magnifiquement(?) crotté... tout en espérant que la force centrifuge effectue un peu le ménage.
Lorsque je débouche du chemin, je prends le vent pleine bille. Ce qui ne m'empêchera de réaliser quelques clichés, avec le château de Montesson, lové dans un creux de relief.
Ayant atteint le bourg de Bais, je bifurque vers le plan d'eau, pour observer à quel point l'abattage des peupliers et la "tonte" des palmes offrent une perspective à laquelle nous n'étions pas habitués.
Je n'aurai cependant pas l'opportunité de faire le tour, car je suis bloqué par un magma de boue m'obligeant à rebrousser chemin.
Retour à la case départ, avec 18.800km au compteur.
Petit début, certes, mais il est nécessaire de remettre progressivement en route ma vieille mécanique, qui approche des 4 fois 20 ans!
On fera mieux une prochaine fois...
La Transcoëvrons à Mézangers le dimanche 1er octobre 2023
J'étais parti pour faire voler mes modèles réduits sur la route "d'en bas"
Mais le vent de Sud passant par dessus la colline générait de joyeuses turbulences là où je me trouvais.
J'ai donc abrégé ma séance, et je me suis rendu à l'habituel point de ravitaillement tenu par des bénévoles.
J'ai d'ailleurs pu rencontrer quelques têtes connues, anciens élèves ou pas...
Dont un ex participant du Paris Brest Paris, qui trouvait que la boucle de 70 km c'était presque un jeu d'enfant! Ben voyons...
D'autres semblaient trouver que, quand même...
J'ai aussi pu apercevoir de nombreux VTT à assistance électrique. Il n'y avait pas lieu de s'en offusquer puisqu'il ne s'agissait pas d'une compétition.
Le stand de ravitaillement a connu une très belle affluence, puisque situé à la croisée de différents circuits.
J'ai également pu échanger avec des marcheuses qui avaient opté pour la bouclez de 15km; ces dernières me faisant part de leur satisfaction grâce aux chemins fort bien entretenus et très plaisants