C'est quoi cet insecte? Un ammophile...
Telle a été ma question lorsque j'ai découvert la bestiole tractant un fardeau qui me semblait un peu disproportionné.
Vite fait, je retourne chercher de quoi prendre des images...
Et la bestiole ayant disparu le long des ardoises... je suis revenu vers mon PC.
Moyennant quoi, j'ai utilisé Google Lens pour que cette appli vienne combler mes lacunes en entomologie.
J'ai donc découvert ce qu'on appelle un ammophile.
Ce que confirme L'IA Copilot en ces termes:
🕷️ Ce que tu as photographié semble être une guêpe solitaire du genre Ammophila, souvent appelée guêpe fouisseuse. Ces insectes sont reconnaissables à leur abdomen rouge vif, leur corps noir élancé, et leurs longues antennes. Elles appartiennent à la famille des Sphecidae ou Hyménoptères, comme les abeilles et les fourmis.
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Comportement : Elles ne vivent pas en colonies comme les guêpes sociales. Elles creusent des terriers pour y déposer des proies paralysées (souvent des chenilles) comme nourriture pour leurs larves.
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Taille : Environ 2 à 3 cm de long.
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Non agressives : Contrairement aux guêpes communes, elles sont peu enclines à piquer sauf si elles se sentent menacées.
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L'ammophile des sables - Notre Nature
Comme le corps de l'ammophile semble fragile ! Et pourtant cette guêpe à la taille de... guêpe est capable d'actes terribles: elle paralyse et enlève...
https://www.notrenature.be/banque-des-especes/ammophile-des-sables
Un insecte avec un drôle de corps...
Je me contenterai donc de vous renvoyer vers des sites où, tout comme j'ai pu le faire, vous pourrez puiser les renseignements nécessaires concernant ce curieux prédateur.
Ammophila sabulosa - Wikipédia
Ammophila sabulosa , l' ammophile des sables, est une espèce d' insectes hyménoptères de la famille des Sphecidae. Cette espèce se rencontre dans toute l' Europe, en Asie du Nord, en Asie centr...
Billet de (mauvaise) humeur
Si vous pouviez savoir à quel point...
Ces coups de téléphone au moment des repas en particulier.
La plupart du temps, à la vue du numéro, je laisse courir.
Allez savoir pourquoi... ce midi, j'ai décroché mon portable.
"Bonjour monsieur. Je me présente: je suis (j'ai oublié le prénom).
Comment allez-vous?
Je vous appelle parce que vous avez récemment téléchargé notre application afin de perdre du poids..."
Et là, je rugis!
"UN: Sachez que je n'ai jamais téléchargé quoi que ce soit dans ce genre de truc.
DEUX: je n'ai aucun besoin de perdre du poids, mon IMC est tout à fait correct!
TROIS: Vous me demandez si je vais bien. Je vous réponds que oui, et je me demande si ce n'est pas vous qui n'allez pas bien!"
Le type m'a raccroché au nez.
Tréma et circonflexe aux abonnés absents
Allez savoir pourquoi... Suite à une mise à jour, je me suis vu dans l'impossibilité d'obtenir le tréma ou l'accent circonflexe en utilisant la méthode habituelle. Voici ce qui s'affichait... ^^e ^^o
A la recherche d'une solution, j'ai alors parcouru de nombreuses pages sur le Net... j'ai appliqué... sans résultat.
Je me suis alors tourné vers une solution "alternative" en tapant le code ASCII de la lettre demandée.
A savoir ALT+0234 pour ê, ALT+147 pour ô...
Méthode que j'utilise déjà pour obtenir ñ (ALT+0241)
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Et de guerre lasse, j'ai laissé tomber.
Ce matin, je remets mon PC portable en route, et... miracle de l'informatique, tout semble rentré dans l'ordre!
Je n'irai pas jusqu'à dire que cela m'a beaucoup amusé, bien que...
C'est alors que j'ai demandé à chatgpt de me trouver des mots de la langue française contenant pour chacune des voyelles les fameux signes typographiques.
Cela ne lui a pas demandé beaucoup de temps, et j'ai obtenu très rapidement une liste.
Poussant le jeu un peu plus loin, j'ai proposé à l'IA de me rédiger un texte avec les mots fournis.
"Prose ou vers?" m'a demandé le robot.
Je lui ai répondu que je me contenterais de la prose.
Mieux sans doute que ce que j'aurais pu pondre... voici donc ce que j'ai obtenu:
Le Refuge de l’Île des Voyelles
Dans un monde où les mots avaient une âme, Naël, un jeune homme naïf, entreprit un voyage vers l’Île des Voyelles, un lieu dont on parlait à peine dans les livres anciens. Il y cherchait un sens à ce monde âpre, sec et dur, où les émotions semblaient contenues sous des couches de silence.
Sa traversée débuta un soir de Noël, au milieu des chants lointains d’un village recouvert de givre. Dans sa besace, il transportait une crêpe encore tiède, souvenir tendre de sa mère. À peine avait-il quitté la ville qu’une brume étrange s’éleva, l’obligeant à pâtir du froid et du doute.
Au troisième jour, il croisa une femme étrange, aux yeux pleins de larmes anciennes. Elle lui murmura : « Si tu veux comprendre, il faut d’abord haïr ce qui t’empêche de sentir. » Ces mots, durs mais vrais, résonnèrent en lui comme l’écho d’un appel.
Un sentier oublié le mena jusqu’à un ancien hôpital, envahi par les ronces mais habité d’un calme apaisant. Là, il rencontra un vieil homme qui parlait d’une époque où la coöperation entre les hommes n’était pas une utopie, mais une réalité simple et belle.
Le lendemain, il observa les étoiles et remarqua l’étrange danse des constellations, comme une ambigüité céleste entre le rêve et le réel. Il n’était pas sûr de ce qu’il cherchait encore, mais il savait que son cœur avançait dans la bonne direction.
Enfin, au lever du soleil, il arriva à Aÿ, une petite vallée perdue où le silence avait un goût de miel. Un ancien sage l’y attendait. Il lui offrit un fruit rare, doux et mûr, en disant : « C’est ton dernier mot. Il contient toutes les autres lettres, mais aussi la faim d’apprendre, de dîner avec le monde, sans le dévorer. »
Naël comprit alors : les voyelles n’étaient pas que des sons, mais les clefs des émotions humaines. Trémas pour les fractures, circonflexes pour les souvenirs. Il reprit la route, le cœur allégé, prêt à écrire sa propre langue.
Ça vaut ce que ça vaut...
NB: pour obtenir le c cédille majuscule, j'ai tapé ALT+0199
On trouve toujours une solution!
Un p'tit tour, mais pas Tour de France...
Non, non... je ne suis pas en mesure de rivaliser, loin de là.
Le tout étant de continuer à prendre du plaisir.
C'est ainsi qu'en cette veille de Fête Nationale, j'ai enfourché mon VTTe en direction d'Hambers. Où j'ai pu observer un nombre impressionnant de vans. "Les Chevaux du Montaigu" avaient organisé une rencontre amicale au départ du plan d'eau.
https://equiliberte.org/rtcl_listing/53160-les-chevaux-du-montaigu/#
J'ai ensuite pris la direction de la butte éponyme... Là, c'était un autre type d'activités: un rallye moto organisé par le club de Chailland. L'épreuve à cet endroit? Faire entrer une balle de ping-pong dans des godets, après un seul rebond (obligatoire).
Ayant bien profité de l'air pur et du silence ambiant, je suis redescendu pour me "musser" dans le chemin creux qui conduit au carrefour des Pommiers.
J'au pu bénéficier d'un sympathique cheminement à l'ombre, et je ne suis ressorti à l'air libre qu'après la Beslière, d'où j'ai pu apercevoir le dôme du château de Montesson.
Avisant peu après un champ de tournesols, je n'ai pu m'empêcher d'aller y traîner mes guêtres... pour quelques clichés.
Poursuivant mon chemin, et avant même d'y être parvenu, j'ai compris aux cris bien distincts que la piscine devait connaître une belle affluence... Un tour du plan d'eau local... Bavardage avec un pêcheur affairé à démêler un bas de ligne...
Passage devant la Guinguette qui attendait ses "clients". Vente de boisons, mise à disposition de barbecue... animation par le chanteur local Marcellito (?)
Et retour au bercail avec environ 19 km au compteur.
Quand une photo ancienne réveille des souvenirs
En déménageant la maison de ses parents, mon cousin Pascal a trouvé une mine de documents qu'il est en train de dévorer... et de nous faire partager.
Fortement intéressé par la carrière ouverte par notre grand-père commun, il nous envoie de temps à autre un inventaire des outils achetés pour faire fonctionner l'entreprise... ou des photos de famille.
Celle que je vous propose ne manque pas de m'interroger.
A quelle occasion a-t-elle été prise?
Il fallait que l'événement familial soit suffisamment important pour que certains de ses membres "remontent" de Mèze dans l'Hérault afin d'y assister.
J'en veux pour preuve la présence de Dolorès Miñarro (n°6) soeur de José Duarté (n°1), notre grand-père.
Figurent également sur ce cliché en n°14 Maria Duarté, ma mère (dite Marietta), qui épousa Adolfo Muñoz, et son frère Gabriel (né en 1924), en n°10.
Il semblerait que cette famille soit réunie pour un anniversaire... Par exemple les noces d'or du couple au centre: Gabriel et Maria Duarté. (16-18) Mais ce n'est qu'une supposition...
J'ai questionné divers sites d'intelligence artificielle, qui ont analysé le document.
J'en retiens:
Les hommes portent des vestes, chemises blanches, parfois cravates ou cols ouverts.
Les femmes sont en robes sobres, certaines avec tabliers, coiffures relevées ou attachées.
Les enfants portent culottes courtes, robes à carreaux, chaussettes montantes, typiques de l’entre-deux-guerres ou début des années 50.
Le style du cartouche photo (bordure gaufrée avec monogramme) est courant dans les années 1930-40.
Ou encore:
Repères clés d’après les âges connus :
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Maria Duarté (n°14) née en le 23 décembre 1920 à Mèze (34) , semble avoir environ 12 à 14 ans sur la photo.
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Gabriel Duarté (n°10) né en 1924 à Sées (61), paraît avoir environ 8 ans.
👉 Cela place logiquement la photo autour de 1932 à 1934, en cohérence avec leur apparence d’adolescente et d’enfant.
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Cela suggère que la famille était installée en France avant la guerre civile espagnole (1936), ce qui est cohérent avec des migrations économiques antérieures à l’exil politique.
L'IA rappelle fort judicieusement d'ailleurs que la France eut recours à de nombreux travailleurs étrangers pour pallier l'absence de ses jeunes embourbés dans les tranchées de la Grande Guerre.
Autre question: Où le cliché a-t-il été réalisé?
Le photographe étant domicilié à Courcité, j'en déduis que cela doit être proche de Villaines la Juhel... gros bourg mayennais où se trouvait une importante colonie espagnole, qui s'était définitivement installée en France aux alentours de 1920.
Le personnage 10 (connu sous le pseudo de Gaby) est d'ailleurs né à Sées dans l'Orne, où José Duarté a travaillé dans la carrière de Fontaine-Riant.
Quant au lieu précis?
Ma mémoire (faillible) me dit que Gabriel et Maria (16-18) ont habité l'Hétermagère, route de Trans...
J'ai de très vagues souvenirs de m'y être rendu à pied certains dimanches...
Peut-être qu'en allant sur place, il me serait possible de retrouver la façade de cette maison, si elle n'a pas subi d'importants changements... et si c'est bien l'endroit recherché!
Voici donc où j'en suis après la réception de ce magnifique document qui a traversé avec bonheur plusieurs décennies.
Merci encore à toi, Pascal, pour ton important travail de mémoire.
La suite?
Pour info, le site de Pascal Duarté:
La valse des butineurs
Pourquoi ce titre qui plagie "La valse des patineurs" de Waldteufeul"?
https://www.youtube.com/watch?v=_oy_AilyQZ4
Tout simplement parce que j'ai assisté ce matin à un véritable ballet offert par les insectes pollinisateurs.
Il faut cependant être très prompt si on veut actionner le déclencheur du numérique au bon moment.
Parce que ces petites bêtes ne s'attardent pas très longtemps au fond de mes trémières...
Certaines sont pourtant déjà pleines de pollen, et ne semblent pas encore "gavées"...
Mais c'est un ballet fort plaisant dont je ne me lasse pas...
Et je m'interroge sur le bien-fondé de la loi qui permet l'utilisation des néonicotinoïdes (cent fois plus toxiques que d'autres insecticides...)
Le jour où il faudra utiliser des êtres humains pour effectuer le travail... comme c'est le cas en Chine par exemple...
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Dans le Sichuan, des " hommes-abeilles " pollinisent à la main les vergers
Faute de butineuses, tuées par les insecticides, les paysans chinois pollinisent à la main leurs pommiers.
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