billet d'humeur
Garmin eTrex H
Sachant que je suis un peu intéressé par tous ces appareils « Hitec», mon ami Gilles m’a confié pour quelques jours un GPS destiné plus particulièrement aux marcheurs et randonneurs.
Jaune en façade, muni d’un écran de 6cm en diagonale, l’appareil tient bien dans la main, et peut être suspendu à une dragonne.
Parmi les autres aspects positifs, je note l’acquisition rapide des satellites.
Pour accéder aux différents menus, les boutons disposés latéralement tombent bien sous les doigts, et donnent accès assez intuitivement aux différents menus.
Ce qui offre une navigation facile entre les différentes pages.
Le Garmin s’avère donc relativement simple à utiliser.
Il peut afficher la distance parcourue, la vitesse moyenne, l’altitude, la trace, les points de passages… Bref, toutes options assez classiques sur ce genre d’engin.
Et si on se perd en forêt, il assurera le retour à son point de départ (utile aussi sur les parkings de grande surface !!!)
Malgré tout, on pourra regretter l’absence d’une cartographie, même sommaire.
Et en ce qui me concerne, j’ai vraiment trouvé dommage que pour le raccorder à un PC, il faille acquérir un cordon spécifique assez coûteux.
De ce fait, comme il est livré, lorsqu'on est rentré chez soi, le eTrex H ne permet pas de visualiser son parcours sur Google Earth par exemple.
A noter que pour les personnes possédant un téléphone muni de GPS, des applications telles que Endomondo http://www.endomondo.com/home ou Sports-tracker http://www.sports-tracker.com/ offrent bien davantage de possibilités… et ce, gratuitement. Avec aussi le suivi des performances, le total kilométrique journalier, hebdomadaire, mensuel… et des courbes en tous genres : vitesse, altitude…
Basique... certes.
Mais le prix modique de ce Garmin eTrex H en fait un appareil entrée de gamme permettant de s’initier aux joies d’activités telles que la promenade, la course ou la rando avec assistance par GPS... sans nécessiter de PC ou de connexion Internet.
http://www.garmin.com/fr/products/sport/
Spécifications:
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Dimensions de l'appareil, L × H × P: |
11.2 x 5.1 x 3.0 cm |
Taille de l'écran, L × H: |
2.8 x 5.4 cm |
Résolution de l'écran, L × H: |
64 x 128 pixels |
Type d'écran: |
LCD monochrome à fort contraste |
Poids: |
150 g avec piles |
Batterie: |
2 piles AA (non fournies) |
Autonomie de la batterie: |
17 heures |
Etanche: |
oui (IPX7) |
Flotte: |
non |
Récepteur haute sensibilité: |
oui |
Interface PC: |
serial
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Cartes préchargées: |
non |
Possibilité d'ajouter des cartes: |
non |
Mémoire intégrée: |
non |
Accepte les cartes mémoire: |
non |
Waypoints: |
500 waypoints avec noms et symboles graphiques |
Itinéraires: |
20 |
Journal de suivi: |
10 00 points de trace, 10 routes mémorisables |
La révolution informatique à l'école...
Un de mes correspondants vient de m’adresser une information selon laquelle les Inspecteurs de l’Education Nationale sont « invités » chez Microsoft…
http://www.framablog.org/index.php/post/2011/11/22/inspecteurs-education-nationale-microsoft
Où l’on peut lire :
À l’occasion du salon de l’éducation Éducatec-Éducatice 2011[1], les inspecteurs de l’Éducation nationale chargés de mission nouvelles technologies (IEN-TICE), conseillers techniques des inspecteurs d’académie, tiendront leurs journées annuelles. Cette année, l’administration centrale de l’Éducation nationale les convoque directement au siège de la société Microsoft, à Issy-les-Moulineaux. L’April et Framasoft regrettent vivement que le programme de ces journées ne mentionne pas les logiciels et ressources libres.
Formation, information, déformation, promotion, endoctrinement ???
Chacun en pensera ce qu’il veut.
Mais quand l'Education Nationale (j'ai hésité à mettre des majuscules...) n'est même plus en mesure d'assurer la formation de ses personnels et de ses cadres... (soit par manque de moyens, soit par volonté délibérée...) ça fait froid dans le dos!
Voir comment les jeunes enseignants sont lancés dans le bain, sans parfois avoir vu de près un élève!!!
Passer sous les fourches caudines du géant Microsoft...
Aberrant...
Mais cette incurie ne date pas vraiment d'aujourd'hui.
Si je fais un peu appel à ma mémoire... je me souviens avoir pesté lorsque dans le cadre du plan "Informatique pour tous" (1985), on nous a fourni du matériel Thomson... Si on avait voulu dégoûter les enseignants de l'informatique, on n'aurait pas fait mieux!!!
Pour comparer: mon beau-frère possédait alors un Commodore... et il se gaussait joyeusement de me voir em...dé avec les To7... parce chez lui, ça semblait en effet nettement plus facile et fiable.
Ah! Les TO7 70 de 1985... (Dans l'école, nous en avions touché 5: un par dotation Education Nationale, et 4 payés chèrement par la commune, dont le Maire visionnaire avait senti que la révolution informatique était incontournable. Pour certains de mes collègues, nous faisions figure de privilégiés... pour d'autres, c'était "bien fait pour vous!" Punis pour avoir voulu être des pionniers, des lèche-bottes de l'administration).
Tout à la fois unité centrale et clavier avec des touches à effleurement pour la première version, le TO7 se vit doté par la suite de touches "gommes en caoutchouc"... aux contacts un poil meilleur, mais tout aussi aléatoires.
Clichés issus du site: http://fr.wikipedia.org/wiki/Thomson_TO7
MO5, MO6 ou TO7, non compatibles entre eux, tous équipés d'une... cartouche à enquiller sur la gauche du
clavier selon qu'on voulait utiliser du langage basic, du logo (dont on nous disait que c'était la panacée... avec sa fameuse tortue), ou encore un traitement de texte dont l'imprimante Tally MT
80 ne voulait pas entendre parler au niveau des accents, ou encore Thomcalc, qui était un tableur... ou Colorcalc, apparenté à Paint.
Cartouche dont la trappe s'ouvrait sans prévenir, comme le fait un diable qui sort de sa boîte!!!!
Avec les conséquences que vous devinez: plus de programme, travail des élèves envolé dans la nature:
"M'sieur, j'ai tout perdu... qu'est-ce que je fais maintenant?"
Imaginez les trémolos dans la voix des
pauvres gosses!
Et pour enregistrer ou récupérer des programmes? Un lecteur de cassettes à bande magnétique!!! Avec des emmêlages
épiques!!!!
Parlons donc de la boîte à logiciels, composée justement d'un quantité industrielle de cassettes, que le TO7 ne voulait pas
toujours digérer... et qui accepta enfin de les prendre si on démarrait en tapant Clear,,,&H&je-ne-sais-plus-quoi... (programmes conçus pour MO5!!! mais livrés avec les
TO7...)
Je me souviens de nombreux matins être arrivé à l'école 3/4 d'heure avant l'entrée des élèves, rien que pour enfourner dans
la mémoire de mes TO7 des logiciels éducatifs que mes chères têtes blondes pourraient utiliser en libre service... et qui, au moment où l'on croyait que c'était tout bon,
envoyaient à l'écran le fatidique message "IO Error!!!"
Et je ne parle même pas des crayons optiques... qui tombaient en rade assez souvent et qu'il fallait remplacer.
Bonjour le budget!!!
Mais en ce temps-là, on ignorait la souris , m'sieurs dames!
Je suis ensuite passé au TO8... wouahou!!!! Avec un lecteur de disquette 5" 1/4... qui coûtait à lui seul plus cher qu'un
très bon ordinateur PC d'aujourd'hui...
Conscient de la médiocrité "Thomson", quand j’ai pu obtenir le budget auprès de la Mairie, j'ai acheté mon premier PC pour l'école, un vrai PC de marque IBM, avec 20 Mo de disque dur… Equipé de windows 3.1
Mais il m'a fallu acquérir une licence pour la suite bureautique...
puis apprendre quelque temps plus tard de la bouche d'un copain flic (mais si!) que la gendarmerie utilisait déjà depuis un bon moment Open Office, gratuit!!!
Même la conseillère pédagogique en informatique ignorait cette opportunité...
S'il m'arrive d'évoquer cette période avec les jeunes instits, ils me prennent pour un dinosaure...
N'empêche que quand j'ai quitté l'école en juin 2000, nous possédions une salle équipée de 14 PC, dont certains fonctionnaient en réseau, et connectés Internet.
Gestion de la bibliothèque par un autre PC, et paperasses dans mon bureau de direction avec un 16ème poste.
C'était quand même le bon temps!!!
PS: toujours à propos des Thomson TO7 et de leurs écrans... C'étaient en fait des téléviseurs.
V'là-t-y pas qu'un jour, je reçois une facture du service de la redevance, me réclamant 5 taxes... Une par TV dans l'école...
Je m'en vais vite fait apporter ça à la mairie...
Et le Maire furibard, qui me dit :" Je vais m'adresser à ces incompétents de ronds de cuir, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez... Ils vont voir de quel bois je me chauffe!"
Réponse du service de la redevance : "Mais monsieur le Maire...Fournissez-nous une facture
certifiée conforme selon laquelle les tuners ont été désactivés."
Et le premier magistrat de ma commune de s'irriter: "Et puis quoi encore? Vous ne croyez tout de même pas que je vais obtempérer? Je ne vais sûrement pas payer! J'ai déjà tapé dans les
finances communales pour acheter tout cet équipement! Les téléviseurs resteront en l'état... mais si vous voulez venir faire le boulot vous-mêmes..."
Je ne sais plus exactement comment tout cela s'était terminé, mais les TV n'ont subi aucune mutilation, et nous avons vu fleurir un râteau sur le toit de l'école. Ce qui nous a permis de
suivre les émissions scolaires!
Du professionnalisme de Tomtom
Sur ce blog, il m’arrive parfois de râler.
Mais je m’efforce aussi de rendre hommage lorsque je pense que c’est nécessaire.
Et c’est le cas aujourd’hui.
Que je vous narre :
Le 21/02/2007, j’achète un pocket PC HP Ipaq rx 5720 à la FNAC.
Ce dernier est équipé d’origine avec un navigateur GPS Tomtom.
Mais, au bout de plusieurs mois d’utilisation, au vu de la cartographie qui devenait obsolète, j’achète chez Tomtom une carte intitulée France plus Major Roads of Europe… Opération effectuée par Internet (mars 2008)
Quelque temps plus tard, je souhaite à nouveau obtenir une cartographie récente… mais le service clientèle Tomtom me fait savoir qu’il ne procède plus à la mise à jour des cartes pour les supports Pocket PC… Motif annoncé : ces appareils ont tendance à disparaître du marché.
On peut alors comprendre la politique commerciale…
Mais moi, je regrette de ne pouvoir utiliser encore mon bidule.
Parce que la gestion des points d’intérêt (Gérer PI photo ci-contre) est ce que j’ai trouvé de plus simple parmi les navigateurs GPS qu’il m’ait été donné d’utiliser.
D’autant plus que pour Tomtom, on trouve encore sur le Net certains sites où l’on peut télécharger gratuitement les fichiers permettant de gérer les fameux radars…
Jusqu’à ce début septembre 2011, où mon Pocket tombe en rade.
Je dois procéder à une réinstallation totale de ses programmes.
Sauf que ça coince au moment de « récupérer » la carte France plus Major Roads!
Et comme entre temps, j’ai aussi changé mon PC de bureau, sur lequel devaient peut-être se trouver les renseignements demandés, je reste le bec dans l’eau.
Malgré tout, je lance un appel vers Tomtom, en me disant que j’ai fort peu de chance de voir aboutir ma requête formulée ainsi : « Au vu de ma facture d’achat, pourriez-vous me renvoyer les codes permettant l’activation de ma carte la plus récente ? »
Je passe sur les nombreux échanges fort aimables que j’ai pu avoir avec un conseiller prénommé Samuel ; qui me demandait de préciser tel point, et qu’affichait l’écran si je tapais tel truc…
Je loue sa patience…
Et aujourd’hui, il vient de me renvoyer tous mes codes :
Code produit
Code appareil
Code d’activation…
Et avec tout ça , j’ai réussi à ré-activer ma carte !!!
Oui, oui, ça marche !!!.
Je vais donc pouvoir ré-utiliser mon Tomtom/Pocket PC, y ré-injecter mes POIs préférés, à savoir : les emplacements terrains de modélisme, sites vol de pente… et les incontournables radars.
Et puis, je l'aime bien mon Pocket, équipé aussi de Memory Map qui me sert lors de mes sorties à vélo ou à
pied...
Voilà, ma petite histoire méritait bien un coup de chapeau, non ?
"Voir" les avions en vol
Ne vous est-il jamais arrivé de lever la tête lorsque vous entendez le grondement de réacteurs laissant derrière eux un long sillage blanc?
Pour ma part, c'est assez fréquent, et j'essaie d'imaginer ce que les passagers peuvent apercevoir au sol.
Je tente également de deviner d'où est parti cet avion, où il se rend...
En fonction de la taille du bidule, je me dis qu'il pourrait s'agir d'un Airbus, ou d'un Boeing...
Et je rêve.
Il y a quelque temps de cela, j'avais découvert un site Internet qui permettait de répondre à certaines de mes questions. Il me suffisait d'aller sur http://www.radarvirtuel.com/
Mais je viens de tomber sur un autre site que je trouve encore bien supérieur: www.flightradar24.com
Chaque avion civil y est repéré par un symbole jaune, et l'on peut voir à quel point cela fourmille de partout.
En zoomant, il est possible de "survoler" la région que l'on souhaite. Format carte ou satellite type Google Earth
Et le fin du fin, c'est de cliquer sur l'un des appareils.
S'affiche alors sa trajectoire, qui semble de couleur différente en fonction de l'altitude.
Où l'on voit sur l'exemple ci-dessous que l'avion effectue une trajectoire l 'amenant face au vent d'Est afin d'atterrir à l'aéroport Charles de Gaulle (CDG) .
Et puis en haut à gauche de l'écran apparaissent différentes données telles que le point de départ, l'altitude, la vitesse, la compagnie, ainsi que la photo de cet avion.
On peut même suivre l'appareil jusqu'à son atterrissage!
Comme ici sur une piste à CDG.
Comment cela est-il possible?
Grâce à un système nommé "Automatic Dependant Surveillance-Broadcast" siglé: ADS-B
Voir ici:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Automatic_dependent_surveillance-broadcast
Echanges de données radio combinées au GPS... Tout comme dans certaines entreprises de transport routier où les véhicules sont suivis à la trace: les personnes chargées de les gérer savent ainsi en permancence où ils se trouvent, la vitesse, la température de leur frigo... et je ne sais quoi encore.
Moi qui aime jouer avec mes divers GPS, je suis encore -et toujours- émerveillé par tout ce que l'on peut tirer comme avantages de ces accessoires.
On n'arrête pas les progrès technologiques!
Certains pourront sans doute le regretter, en arguant du fait que nous sommes pistés en permanence... Mais ce sont souvent les mêmes qui utilisent comme des forcenés leur téléphone GSM!!! Suivis à la trace, à l'insu de leur plein gré!!!
Si je ne devais retenir qu'une seule chose de ce sytème ADS-B, je dirais qu'il offre une sécurisation des transports aériens, permettant sans doute d'éviter les collisions en vol!
Toujours est-il qu'en ce qui me concerne, ce site www.flightradar24.com me plaît bien!
Il me permet de voyager à peu de frais... et de rêver!
N'est-ce pas là l'essentiel?
ce dont j’ai besoin
"Et avec ceci ?"
Cette expression fait partie des phrases-clés qui, lors des repas de famille chez mes beaux-parents, déclenchent inévitablement une volée de rires : elle fait partie du stock de « redites » qui reviennent en boucle pour évoquer les histoires du passé.
C’était, paraît-il, le tic verbal du boucher local… ponctuant invariablement la pesée de sa bidoche avec ces mots...
Dans c'temps-là, Monsieur, le commerçant attendait que le client exprime ses besoins.
Car si cette histoire me fait encore rire, il n’en va pas de même avec les pratiques commerciales actuelles. Où l'on n'hésite pas à créer vos besoins!
Ainsi donc, ce matin, je vais à la Poste pour envoyer un colis.
Et dans la foulée, l’employée commence à me faire l’article sur les enveloppes pré-timbrées, puis sur les timbres de collection, puis sur les nouvelles offres téléphoniques de La Poste…
Holà !!!
Je décline poliment ses propositions… arguant du fait que « je suis assez grand pour demander ce dont j’ai besoin ! »
Poliment, mais fermement… Non, mais ?
...ce dont j’ai besoin !
J’ai vraiment pas … besoin qu’on me crée mes …propres besoins, enfin !
Bref…
Cette tranche de vie me rappelle une toute dernière situation.
Arpentant un grand magasin de chaussures, je trouve enfin des godasses qui me plaisent et surtout à ma taille (pas facile quand on chausse un petit 39…) Je m’en vais alors payer, et la caissière tout sourire de mettre en avant mon « excellent choix », la « qualité du produit », son « esthétique »… (Afin d’amadouer le client, un petit cirage de pompes fait partie des techniques de vente, n’est-ce pas ? Surtout chez le marchand de godasses !)
Et d’embrayer :
« Afin de prolonger la vie de vos magnifiques chaussures, je vous conseille… »
Et la voilà partie à vaporiser un truc, un petit coup de chiffonnette, puis un autre spray magique, et que je te vante un certain cirage et …
Voyant que je ne bronche pas d’un poil, elle finit par perdre un peu de son enthousiasme, surtout lorsque je lui assène :
« Merci mademoiselle, mais je suis assez grand pour demander ce dont j’ai besoin ! »
N’avez-vous jamais été confronté à ce genre de forcing exercé par de « bons vendeurs », qui touchent une prime plus importante s’ils réussissent à refiler les produits « annexes » : extensions de garanties en tous genres, pixels sur les écrans, moteur de machine à laver, et je ne sais quoi encore !
Ces pratiques commerciales ont l’art de me gonfler prodigieusement.
Mais c’est dans l’air du temps !
Et un jour que j’en discutais avec ma coiffeuse, ne me confiait-elle pas elle-même :
«Voyez, quand j’ai du courrier à affranchir, j’aurais à peine la rue à traverser, puisque la Poste est juste en face mon salon… Ben, non, j’achète même plus mes timbres ici… Parce que ma sœur travaille à La Poste, et elle m’a presque supplié de passer par elle pour effectuer mes achats ! Comme ça, elle peut remplir ses objectifs de vente : son responsable est content, et elle touche sa prime!»
Pauvre monde gouverné par le mercantilisme…
Où l’on n’hésite même pas à vous culpabiliser si vous ne faites pas comme tout le monde. Pratique dont fut coupable dernièrement une téléopératrice pour une chaîne payante qui, suite à ma réponse : « J’ai pas besoin de C..., je vis fort bien sans ça, et puis je suis assez grand pour demander ce dont j’ai besoin ! »
Pas complètement décontenancée, mais ne manquant surtout pas d’aplomb, elle finit par me balancer que je ne devais pas être tout à fait normal…
Rien moins !
N’empêche, face au forcing dont je serai encore l’objet, j’ai pas fini de répondre :
« Non merci, mais je suis encore assez grand pour demander ce dont j’ai besoin ! »
Quand les murs parlent
Samedi matin, je me rends à l’hôpital de Laval, service ophtalmo…
En sortant de consultation, je m’arrête aux toilettes, et je découvre avec joie un écriteau ainsi libellé (j’ai respecté l’orthographe ainsi que la mise en page):
APRES CHAQUE PASSAGE POURRIEZ-VOUS
TIREZ LA CHASSE D’EAU.
Chargée de gérer une envie subite, une main anonyme a quand même pris le temps de rédiger ce commentaire au stylo bille bleu :
« Vaudrait mieux faire appel au plombier, parce que votre chasse, elle manque de pression ! »
Mais une phrase en "chasse" une autre... Car après avoir entouré le « Z » situé à la fin de TIREZ, une autre main avait laissé cet autre commentaire, relié au "Z" par une flèche:
« Moi, j’aurais mis un R à la fin de TIRER… »
Bref, ne tirez ni sur la secrétaire ayant rédigé ce panonceau, ni sur le plombier: ils font ce qu’ils peuvent !!!
Le tout, c'est que dans ces toilettes, on continue d'y trouver du papier, afin que les gens puissent... s'exprimer!!!!
Avec aisance(s), bien entendu...
Vous voyez que vouvoyer c'est pas si facile...
"Vous voyez que vouvoyer c'est peut-être pas si facile..."
Cette curieuse phrase m'est revenue en mémoire cette nuit, alors que j'écoutais tranquillement une émission de France Culture. On y évoquait Marguerite Duras, son oeuvre, et les relations avec son dernier compagnon nommé Yann Andréa
http://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Andr%C3%A9a
Ils se vouvoyaient... Et pourquoi pas?
Jusque-là, rien d'anormal à mes yeux.
Un peu plus tard, je "tombe" sur une autre émission où l'on évoque le trentième anniversaire de la mort du Sétois Georges Brassens (29/10/81). Et on diffuse un enregistrement dans lequel il chante en duo avec Charles Trénet... puis ils échangent quelques propos.
Qui suscitent ce commentaire du présentateur, goguenard:
"Ah, ces deux-là se vouvoient!!!"
J'ai eu comme l'impression qu'il trouvait cela ringard...
C'est alors que je me suis souvenu d'une anecdote scolaire... où l'un de mes élèves, nouveau dans la classe, me tutoyait comme du bon pain.
Ce qui n'était pas dans les "traditions" du "Mammouth"! (C'est ainsi qu'un certain Ministre évoquait l'Education Nationale dont il avait la charge...)
A l'époque, la règle était de vouvoyer le Maître, n'est-il pas?
Il paraît que de nos jours, c'est majoritairement j'te tutoie et j't'appelle par ton prénom... Question de mode?
M'enfin...
Cela m'avait inspiré la saynète que je vous livre en annexe.
Que les enfants avaient mise en scène et interprétaient avec fougue... tout comme les autres extraits théâtraux qu'ils s'empressaient d'apprendre et de jouer...
Texte à dire, texte à lire, texte à jouer... Je n'avais aucun besoin de les motiver! Quand Plaisir rime avec Pédagogie... Et vice versa!
Mais auparavant, ce texte avait suscité chez mes petits élèves de CM2 une discussion fort intéressante, avec des questions du style:
- qui a-t-on le droit de tutoyer? (le droit)
- qui faut-il absolument vouvoyer? (le devoir)
La Morale en action... Droits et devoirs de chacun... .
Vaste sujet.
Alors, ringard le vouvoiement?
Quand on entend les "Grands"(?) de ce Monde se tutoyer a qui mieux mieux... faut p'têt pas être trop surpris.
Pour ma part, il est des gens que je ne m'aventurerai jamais à tutoyer.
Le vouvoiement impose une sorte de barrière qui délimite un minimum de respect...
Forme de noblesse dans les relations... ou de savoureux mépris parfois!
Je n'ai pourtant pas envie de revenir sur le fameux épisode du "Casse-toi pauvre c...!"
Mieux vaut en rire, peut-être!
Rire...
Comme l'écrivait le bon docteur Rabelais...
"Il vaut mieux traiter du rire que des larmes
Parce que rire est le propre de l’homme.
VIVEZ JOYEUX..."
Bonne lecture (à haute voix si possible, et en duo...)
-----------Vous voyez? Vouvoyer?---------------------
Homme1: Vouvoyer les gens?
Homme2: Non, je ne vois rien.
Homme1: Mais je ne vous demande pas si vous voyez les gens!
Homme2: Ah! Alors, que me demandez-vous?
Homme1: Je vous demande si vous, vous vouvoyez les gens.
Homme2: Inutile de bégayer comme ça, je vous ai déjà dit que je ne voyais personne!
Homme1: Mais, décidément, vous ne comprenez rien! Je vous demande si vous dites "Vous" aux gens!
Homme2: Ah bon! Voyez! Quand vous expliquez clairement, ça va nettement mieux. Bon, tout dépend à qui je m'adresse: parfois je dis "Vous", parfois je dis "Tu".
Homme1: Alors tu tutoies.
Homme2: Pardon?
Homme1: Je te demande si toi, tu tutoies les gens.
Homme2: Cette fois, c'est vous qui ne comprenez rien. Je vous ai déjà dit que cela dépendait. Parfois je dis "Vous", parfois je dis "Tu".
Homme1: Alors si je vous comprends bien, vous, vous tutoyez les gens que vous ne vouvoyez pas.
Homme2: Evidemment!
Homme1: En ce qui vous concerne, dois-je vous vouvoyer, ou puis-je te tutoyer?
Homme2: On ne se connaît pas; mieux vaudrait que nous nous vouvoyions. Après, on verra, n'est-ce pas?
Homme1: Si tu veux, pardon, si vous voulez.
Homme2: Vous voyez, c'est pas facile…
Homme1: Non, désolé, mais je ne vois rien.
Homme2: Tant pis. Tais-toi.
(Se parlant à lui-même) Tue-toi à expliquer aux gens que vouvoyer, c'est difficile…
Homme1: Pardon?
Homme2: Tue-toi à tutoyer les gens…
Homme1: Mais je n'ai pas l'intention de tuer quelqu'un!
Homme2: Moi non plus ! Vous voyez que c'est facile de se comprendre! Pour une fois que nous sommes d'accord!
(Et ils se séparent)
Bernard Munoz
15/09/99
Z’avez pas vu ma bagnole ?
Lorsque le rat des champs que je suis se retrouve plongé dans l’univers quotidien du rat des villes, il lui arrive parfois de sourire.
Plantons le décor de ce samedi après-midi, où d'innombrables rats des villes se regroupent sur les parkings des grandes surfaces.
Pour des raisons d’achat informatique envisagé par ma fille, j’ai donc dû me rendre chez Auchan… Vous savez bien, la vie Auchan… sympa, pour un rat des champs !
Mais une fois l’affaire traitée, je retourne très vite dans ma voiture qui, le hasard a bien fait les choses, se trouve stationnée pile dans l’alignement de l’entrée principale, au ras d’un grand poteau sur lequel sont fixés de puissants projecteurs. Difficile de la louper, n’est-ce pas ?
Et là, j’observe…
Quand soudain, je vois apparaître un petit groupe de trois personnes : la mère quadragénaire, sa mère sexagénaire, et la petite « dizagénaire ». Trois générations donc.
La plus jeune et la plus vieille portent à chaque bras un lourd sac Auchan. L’intermédiaire laisse pendouiller au bout de son bras gauche une roue avant de VTT, toute neuve, sans pneu.
Ellle agite frénétiquement au-dessus de sa tête sa main droite dont le pouce manipule une télécommande de voiture. Toutes les trois semblent très agitées. Je les vois ainsi passer une fois, puis une deuxième fois… puis une troisième fois… Toujours aussi nerveuses.
Manifestement, elles ne retrouvent pas leur véhicule, perdu sur cet immense parking où toutes les bagnoles se ressemblent.
« Mais où est donc passée notre voiture ? On l’a pourtant garée sur ce fichu parking ? Ouais! Mais où ??? »
Et moi de m’amuser à les voir se faufiler entre les véhicules, se séparer quelque peu afin de quadriller davantage le terrain, aller à droite, partir à gauche, revenir sur leurs pas... se retourner... se mettre sur la pointe des pieds afin de gagner de la hauteur...
Regardant si des feux ne se mettraient pas à clignoter, ou tendant l’oreille afin d’entendre le salvateur déclic des portes qui se déverrouillent…
Elles ont dû finir par retrouver leur auto… parce que je ne les ai pas revues.
Mais cette amusante anecdote m’a fait cogiter. Ah! J’ai omis de vous signaler que je me trouvais à « Petite Forêt » près de Valenciennes, non loin de l’endroit où l’on fabrique des Toyota Yaris. D’où cette "fulgurante" idée :
Je m'en vais donc proposer à monsieur Toyota un gadget que j’aimerais voir ajouté à la longue liste des équipements électroniques dont nos voitures commencent à se gaver.
En appuyant sur la télécommande, celle-ci émettrait un bip bip devenant plus aigu si on se rapproche de sa bagnole, ou s’assourdissant si on s’en éloigne. Fastoche, non?
Je suis persuadé que ce dispositif rendrait service aux nombreuses personnes qui oublient de mémoriser l’endroit où est parquée leur chère bagnole!
Et je ne réclame même pas de copyright. Parce que le rat des champs que je suis est nettement au-dessus de ces mesquines tracasseries urbaines !!!!
PS1: en "bon" modéliste que je suis, et afin de loger mes grands planeurs, j'ai installé sur ma Toyota Avensis une grosse caisse de toit... repérable de très loin!!!! Qui a dit que j'avais besoin du gadget proposé? Un de mes amis n'écrivait-il pas: "Enfin Bernard, de quoi te plains tu ? Tu as déjà, comme moi d'ailleurs, un cercueil à planeurs sur le toit ! Je dois dire, distrait comme je suis, qu'il m'a souvent permis de retrouver ma pépémobile sur le parking de grandes surfaces ou ailleurs."
PS2: Curieusement, ce sujet pourtant anodin semble donc intéresser pas mal de gens!!!
Parmi les autres réactions qui me sont parvenues, je vous livre celle-ci, émanant d'un type dont le boulot est... médecin.
"Moi j'ai toujours rêvé d'une petite trappe sur le toit de la voiture qui s'ouvrirait avec la télécommande et qui laisserait échapper un
ballon rouge accroché par une ficelle à la voiture."
Un médecin rêveur, un type pas sérieux!
PS3: On m'a aussi fait remarquer que la télécommande des bagnoles n'avait une portée que de quelques mètres... Alors si elle ne possède pas une portée suffisante, que les "savants" se mettent à bosser sur un système plus performant... A quoi on les paie, hein? Il existe pourtant déjà des systèmes basés sur le GPS pour retrouver sa voiture. Par exemple: http://nonigpsplot.softonic.fr/windowsmobile ou encore ça: http://www.blog-n8.fr/applications/retrouvez-facilement-votre-voiture-grace-a-parking-2-07664/
et aussi ça: http://nonigpsplot.softonic.fr/pocketpc
Ou bien qu'on détourne nos radio-commandes en 2.4GHZ de leur fonction initiale: certaines ne sont-elles pas équipées d'un test de portée?
On m'a aussi proposé cette solution... écologique: "Quand je sors de ma bagnole, je colle une ventouse
débouche-wc sur le toit! Et ça, au moins, on le verra de loin, et d'autant mieux que je lui mettrai une rallonge au bout de laquelle flottera un rouleau de papier hygiénique...
Le seul hic, c'est si:
-tout le monde en fait autant...
-un mec dont les wc sont bouchés me pique ma ventouse! Et là, c'est moi qui risque d'être dans la m....."
PS4:
Et puis, crotte après tout... chacun a le droit de rêver... Non?
"N'oublions jamais que le droit au rêve ne prend toute sa valeur
qu'accompagné du droit à la lucidité."
(Georges Charpak et Henri Broch / Devenez sorciers devenez savants)
En avion...
Vous dire que j'aime les avions serait un pléonasme.
Vous dire que j'aime les voyages en avion serait un peu inexact.
En effet, j'ai horreur de tout ce qui précède et tout ce qui suit lesdits voyages.
Poireauter de longues minutes avant de savoir vers quelle porte il faudra se rendre... pour quelquefois apprendre qu'il y a eu changement de stratégie...
Passer à la fouille, enlever son ceinturon, ses godasses, sa montre... se faire "caresser" par un agent...
Non franchement, je peux comprendre, mais ça m'agace!
Et puis encore attendre... parce que souvent le bel avion a du retard.
Quand enfin on embarque.
On décolle, et après, on admire à travers le hublot...
Et quand on débarque... l'épreuve des tourniquets à bagages: j'y suis toujours allergique!
Pensez donc que toutes ces formalités occupent davantage de temps que le voyage lui-même...
Mais tout dernièrement, j'ai eu le plaisir de partir pour un week-end vers l'Alsace.
Décollage de Rennes à bord d'un MD83 et atterrissage à Strasbourg.
http://fr.wikipedia.org/wiki/McDonnell_Douglas_MD-80
Une grosse heure de vol par conditions météo sereines.
Sachant que la ligne droite entre ces deux aéroports passait au-dessus du Nord-Mayenne, je m'étais fixé un objectif: tenter d'apercevoir mon bocage vu du ciel.
A l'aller, j'ai eu la chance d'être collé à un hublot côté droit ... Mais nous avons rapidement débouché au-dessus de la couche de nuages... Mer ouateuse éblouissante, sauf que pour voir en bas... c'est râpé. Les trouées n'apparaîtront qu'en vue de la la Sologne et ses étangs.
Pour le retour, je joue des coudes afin de me placer à nouveau juste derrière un hublot. Côté droit ou côté gauche?
Allons-y pour la gauche.
L'air est aussi calme qu'à l'aller, mais le ciel est nettement plus pur.
Je me régale en contemplant les différentes formes du paysage:
des bois, des champs rectangulaires, puis du bocage, des marais, des villes... Une étonnante variété.
Et je scrute.
Quand le commandant de bord annonce.
"Atterrissage prévu dans 20 minutes à Rennes Saint-Jacques, nous
entamons la descente."
Le ciel s'est quelque peu encrassé...
Et tout à coup, une forme caractéristique, là, en bas!
Mais... c'est le bois du Tay, 7 km à l'ouest de chez moi!!!
Non? Si... J'hésite un peu... Je décide alors de suivre des yeux la route rectiligne qui file vers l'Est...
Et alors?
Je reconnais très exactement mon village: Bais.
Vite, je me saisis de mon caméscope de poche, et je filme... tout en faisant mes commentaires, à l'intention de mes compagnons de voyage, peut-être?
Je prends aussi quelques photos... Mais le contrejour me permettra-t-il de réaliser des clichés exploitables?
http://www.youtube.com/watch?v=y3jlLDe4y2k&feature=player_embedded#!
(Passer en HD plein écran)
Lorsque je revois ou que je ré-écoute la séquence... je crois entendre un gamin surexcité:
"Là, le bois du Tay... Et la route de Mayenne... Bais, et son plan d'eau... Authentique, ah, incroyable...Authentique...
Et là, le grand étang d'Aron!"
Je n'en crois pas mes yeux.
Je vais ainsi survoler Moulay au Sud de Mayenne, apercevoir le long ruban lumineux de la rivière Mayenne filant vers le Sud. Dans la brume, on aperçoit Laval.
Au fur et à mesure de la descente, les détails au sol vont devenir de plus en plus identifiables. Saint Pierre la Cour et son usine Lafarge...
L'autoroute et ses échangeurs.
La banlieue de Rennes, l'usine Citroën...
Puis l'atterrisage... pas vraiment en douceur!
J'ai hâte de rentrer chez moi afin de savoir si mes prises de vues sont exploitables...
Hélas... aucune photo ne le sera. Mais j'aurai un peu plus de chance avec le film dont j'ai extrait quelques images, afin de vous faire comparer ce que j'ai vu du ciel et ce que Google Earth offre dans sa banque de données.
Je ne me suis pas trompé.
C'est bien Bais que nous avons survolé... Mais j'ai failli le rater.
Il s'en est fallu en effet de quelques secondes.
Parce que le sol défile vite quand on vole à 800km/h!!!
Toujours est-il que je ne suis pas près d'oublier ce vol!
Il restera pour moi un magnifique souvenir!
Windows et/ou Linux Ubuntu
Je viens de me faire titiller par un de mes collègues qui raillait les utilisateurs de Linux.
Affirmant: "On m'a dit que que cet Opérateur Système (OS) nécessitait de mettre fréquemment les mains dans le cambouis, que c'était compliqué et surtout, que certains logiciels ne tournaient que sous Windows..."
Et que donc, je pouvais "aller me faire voir" avec mon Linux.
Doucement l'ami!!!
Je suis le premier à reconnaître que certaines applications n'ont été développées que pour du Windows.
Ce qui répond à la naturelle loi de l'offre et de la demande...
Bien qu'un poil utopique, je ne suis tout de même pas naïf...
Les gens qui gagnent leur vie en créant des logiciels ciblent "le plus grand nombre".
Et c'est normal.
Tout comme les hackers ou les créateurs de virus ciblent plus "facilement" Windows, n'est-il pas!!!!
Mais position dominante = quasi monopole... et vice-versa!
C'est pourquoi je me prends à rêver que les utilisateurs de Linux soient plus nombreux. Peut-être alors que les choses pourraient évoluer.
Quoi qu'il en soit, je pense que Linux répond aux besoins d'une grande quantité de gens qui utilisent leur ordinateur pour:
- surfer sur le Net,
- envoyer/recevoir des mails,
- avoir accès à une suite bureautique
- et manipuler leurs photos numériques.
Ajoutons-y un poil de vidéo et d'audio...
Mais là, on parle déjà d'utilisateurs un peu avertis.
Et avec Linux comme OS, point besoin de bourse délier, pas d'argent à dépenser en licences ou droits d'utilisation.
Qui dit alors mieux, en terme de rapport qualité/prix?
Et je ne parle même pas de la rapidité d'exécution sous Linux, qui fait apparaître Windows comme une sorte de lambin!
Il va de soi que si je n'étais pas contraint d'utiliser Windows pour des applications spécifiques, ben, ça fait longtemps que j'aurais éliminé Microsoft de mes machines.
C'est pourquoi au démarrage de mes ordinateurs, en fonction de mes besoins du moment, j'ai accès soit à Windows soit à Linux-Ubuntu, par le simple biais d'un dual boot...
Deux outils différents et adaptés à ma demande, c'est tout de même mieux qu'un
seul, non?
Mais comme évoqué dans d'autres "coups de gueule" de ce blog, je ne prétends pas détenir LA vérité, et n'ai aucune envie de clamer de façon péremptoire ce qui pourrait être comparable à la foi du charbonnier.
Dans le domaine de l'informatique ou du modélisme... ou ailleurs!
Je ne cherche à convertir personne...
Mais, plutôt que d'argumenter avec des "On m'a dit que..." je préfère expérimenter, tâter, chercher, me documenter, comparer...
Ensuite, j'essaie de partager ma petite expérience d'utilisateur. Si elle peut profiter à d'autres.
Et puis après, chacun fait ce qu'il veut!
Au nom de la Liberté...