humour et modelisme
Quand l'Easy Glider croise un oiseau en vol
Parce que "ça bouge" tout le temps!!!
Le parallèle est assez facile à faire entre ce qu'on perçoit de la trajectoire d'un avion d'aéroclub quand on est au sol: on dirait qu'il est comme sur des rails...
Il en est tout autrement quand on est dedans, où l'on ramasse toutes les turbulences par l'intermédiaire des fesses!!!

En re-visionnant mes films, je me suis aperçu qu'on distinguait un oiseau croisé pendant un vol. Je l'avais bien vu, sur le terrain, mais je pensais qu'il ne serait pas perceptible sur les images. Grand angle oblique, et résolution faiblarde.
Et pourtant...
Oh, il faut être attentif, mais on peut quand même voir le volatile qui semble "fuir" l'intrusion du modèle dans son territoire.
Qu'il veuille bien me pardonner!!!
La séquence est ici:
http://www.dailymotion.com/video/xcn7uj_easy-glider-oiseau_animals
Keycam vidéo
(Dont le lien figure également sur l'article précédent) Une fois encore, merci à Lolo!
Le teléchargement des pilotes demande à être patient, longues périodes où il ne se passe rien, jusqu'à ce que l'on découvre sur l'écran le fameux download. Enregistrer et décompresser le fichier, lancer l'installation des drivers... Tout se déroule normalement.
A signaler que je n'ai pas réussi à installer la version multilangue, j'ai dû me contenter de la version "english".
Mais c'est pas bien grave... du moins en ce qui me concerne!
Quelques détails:
Une fois les pilotes installés, on trouve sur le bureau l'icone d'un programme intitulé Amcap, qui va gérer la webcam.
Pour l'utiliser en webcam, elle doit être éteinte au démarrage. Ensuite, tout en appuyant sur le bouton "mode" (pas le ON/OFF), il faut la brancher au PC.
Quand la led s'est allumée, relâcher le bouton.
Lancer le programme Amcap.
Au bout de quelques secondes, les images s'affichent à l'écran et sont de bonne qualité. On peut enregistrer... directement sur son disque dur... format AVI par défaut; mais je n'ai pas réussi à faire sortir le moindre son, même en branchant un micro annexe sur le PC. Le micro de la bébête serait-il occulté en fonction webcam? Ou est-ce un défaut de mes paramétrages?

Vraiment pas mal!
Autre détail: pour retrouver le mode caméra embarquée, il semble nécessaire d'effectuer un soft reset.
Voilà pour mon expérience du jour.
PS: dernièrement, j'ai voulu voir si mon ordinateur portable était en mesure de lire la micro SD seule. Je l'ai retirée de la keycam... Et lorsque j'ai refait des films... la date était revenue au 01/01/2008. Il m'a donc fallu réinstaller le fichier tag...
Par conséquent, méfiez-vous: si vous retirez la carte mémoire, il faudra réinstaller le fameux "tag"... ainsi libellé (il sufit de modifier uniquement la date et l'heure ci-dessous, le mot date restant entre crochets)
[date]
2010/03/17
16:36:00
Caméra embarquée
Après avoir lu de nombreux messages
sur la liste Electronlibre concernant un gadget venu de Hong Kong... j'ai moi aussi fait fonctionner ma carte bleue.
Oh, pour 11 Euros environ (port compris) je ne risquais pas grand-chose!
http://cgi.ebay.com/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=160386693376
Après réception du jouet, je suis allé sur ce site, afin de trouver la traduction française. Merci à "Lolo"!http://aerololo.free.fr/articles.php?lng=fr&pg=628#webcam
Puis j'ai procédé à quelques essais "au sol"... sans rien modifier contrairement à ce que préconise le site qui précède...
Et enfin, je suis passé à la pratique.
Un morceau de velcro sous la caméra, un autre sur le capot de l'Easy Glider...
et c'est parti!
Vous noterez sur le film que l'hélice située pile-poil dans l'axe est nettement "stroboscopée".
Mais comme j'avais mis un autre morceau de Velcro sur l'aile à environ 30cm de l'emplanture (voir cliché ci-dessous), j'ai renvoyé tout ce petit monde en l'air. Et cette seconde disposition
laisse le champ visuel nettement plus libre.
A noter que j'ai assuré la fixation de la caméra en arrimant celle-ci à l'aide d'un petit morceau de ficelle assujetti au fuselage: on ne sait jamais! (Prudence est mère de sûreté...)
Au travers d'un montage vidéo vite fait
(mais pas bien fait!) je vous laisse "admirer" le résultat. (Logiciel utilisé: le basique Windows Movie Maker)
Il semblerait que la fixation "souple" du Velcro n'engendre pas de vibrations se traduisant par du flou, même au moteur.
Je regrette cependant que la compression logicielle effectuée par Dailymotion dégrade quelque peu la qualité des images...
Malgré tout, on peut se demander ce que cela donnera le jour où il fera soleil et que le vent sera moins turbulent!!!
Etonnifiant, n'est-il pas?
http://www.dailymotion.com/video/k4UEbkTMtnxuSU1pvdb
http://www.dailymotion.com/video/xcezg5_caméra-embarquée-sur-easy-glider_tech
http://www.dailymotion.com/video/xcfcpv_easy-glider-et-caméra-vidéo_tech
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Mode d'emploi sommaire:
Commencer par charger la batterie en la reliant au PC. La diode s’allume et devrait s’éteindre quand c’est plein… Mais… ce n’est pas forcément le cas tout le
temps...
Penser à insérer une carte mémoire...
Pour faire court au niveau de l’utilisation :
Allumage de la caméra : appui prolongé sur le bouton ON/OFF
La diode s’allume, et reste allumée… c’est prêt à consommer !
On peut alors prendre une photo, par un appui bref sur « Shutter Button ». La diode s’éteint brièvement, le temps d’enregistrer l’image, puis se rallume.
On peut aussi prendre une vidéo : appui prolongé sur « Shutter Button »… la diode clignote alors trois fois, signalant que le film démarre, et elle reste éteinte tout le temps qu’elle enregistre. Pour arrêter de filmer, appui prolongé sur ON/OFF… la diode se rallume et peut même s’éteindre signifiant qu’elle est effectivement carrément OFF.
En bref :
Un appui prolongé sur ON/OFF allume ou éteint l’appareil quel que soit le processus dans lequel on se trouve.
Quand la caméra est reliée au PC, elle ne nécessite pas de drivers, elle est reconnue comme un lecteur annexe tel qu’une clé USB (à condition qu'une carte soit insérée). On peut donc copier/coller… supprimer, lire, transférer les images (format jpg) ou les vidéos (format AVI)...
En cas de blocage ou de dysfonctionnement, utiliser la fonction Reset.
Pour info: une carte de 2Go me procure environ 25minutes de film.
Réparation par lamelles de contreplaqué
J'entends par-là celui qui passe davantage de temps à faire voler qu'à papoter sur le terrain.

Et quand c'est cassé, il faut bien évidemment réparer. ( Non, je ne fais pas encore partie de ceux qui considèrent qu'un modèle réduit est à usage unique...)
Parmi les techniques de réparation, il en est une que j'affectionne particulièrement, et que je ne vois pas très souvent employée.
C'est celle que j'ai nommée "Réparation par lamelles de contreplaqué".
Pour ce faire, j'utilise un disque à tronçonner. Je recolle bout à bout les morceaux de façon sommaire avec de la cyano.
Puis avec le disque j'effectue une fente, dans laquelle viendra se glisser une lamelle de CTP plus haute que prévu. (du 1mm suffit la plupart du temps)
Cette dernière viendra durablement consolider le collage bout à bout. (voir sur l'album le fuselage de Baron ou le stab de planeur)
Mais qui n'a jamais pesté lorsqu'un joli fuselage est brisé juste avant le pied de dérive? J'ai donc étendu
J'ai en effet abandonné la réparation qui consiste à rajouter du tissu de verre par l'extérieur...méthode qui ne m'a pas souvent donné de résultats probants, sauf à faire une excroissance disgrâcieuse si on met une couche de tissu trop épaisse...
Dans mon cas, je "raboute" simplement les morceaux à la cyano, en vérifiant que tout est "d'équerre". J'obtiens alors un assemblage encore fragile. Puis je pratique une fente avec le disque, j'insère une lamelle qui va déborder à l'extérieur et à l'intérieur de quelques milimètres... collage cyano. On retourne, et on recommence l'opération 3, 4 ou 5 fois, selon le diamètre du fuselage.
Déjà à ce stade, on se rend compte que le tout est fort bien rigidifié!
Il est alors possible de pratiquer au niveau de la réparation un trou de 2 à 3mm, par lequel, grâce à une seringue, on va injecter de la résine époxy à l'intérieur du fuselage.
Et en maintenant le fuselage horizontal, on va lui appliquer un mouvement de rotation.
A l'intérieur du fuseau, la résine va alors provoquer un cal de part et d'autre du pied de chaque lamelle.
(A comparer avec les radiographies réalisées après la fracture d'un os chez les humains...)
Quand tout est durci, on arase avec le disque à tronçonner... un petit voile de mastic pour cacher les imperfections... Puis un discret coup de peinture.
Mes fuseaux réparés de cette manière n'ont jamais cassé à l'endroit réparé!
Et je ne les ai pas alourdis davantage que lorsque je réparais avec du tissu de verre...
Essayez donc ma méthode, applicable sur du balsa, de l'EPP, de la fibre... Consultez l'album pour voir.
Vous m'en direz des nouvelles!!!
Lien vers l'album:
http://bernardino.over-blog.net/album-1561610.html
On peut rêver, non ?
Il fait nuit noire.
Du fond de mon lit douillet, j’écarquille un œil. Timidement, lentement…
Pour apercevoir mon réveil qui affiche digitalement 4 :44
Et je pars à rire… mais doucement, afin de ne pas perturber le sommeil de mon épouse.
Que je vous raconte.
L’histoire commence ainsi :
Je descends au bar/tabac de mon village pour y acheter… je ne sais quoi d’ailleurs, puisque je ne fume pas.
L’homme derrière le comptoir me salue et me dit :
« Tiens, j’ai appris que vous pratiquiez le modèle réduit. Je savais pas. Ben moi aussi, avec une préférence pour les planeurs…
- Ah, bon… C’est curieux quand même qu’on n’ait jamais réussi à en parler !
- Venez, je vais vous faire visiter mon atelier. »
Nous quittons la salle de bistrot, et nous entrons dans une pièce pleine à ras bords d’ailes, de fuselages, de stabs… Il y flotte une douce odeur de balsa et d’enduit nitro-cellulosique. Mais on trouve également des fuseaux en fibre de verre, des ailes volantes, des planeurs en « mousse »… Une vraie caverne d’Ali Baba.
Après quelques échanges, arrive forcément cette fatidique question :
« Mais où volez-vous ? me demande le cafetier
- Oh, sur différents petits sites autour de Bais, je pratique surtout le vol de pente, et depuis l’arrivée en force des moteurs électriques brushless, j’exploite même des collines au sommet boisé, en faisant partir mon planeur d’en bas grâce aux électrons… Et vous ?
- Ben je m’en vais à XXXXX(*). Je suppose que vous connaissez ?
- Ben non ! On peut y faire voler des planeurs ?
- Ben oui ! Venez, je vais vous y emmener. »
Nous montons dans sa voiture, et au bout de quelques petits kilomètres, nous débouchons sur un magnifique dôme, recouvert d’une herbe qu’on dirait de la moquette, exploitable sur 360°…
Il suffit de sortir son matériel du coffre, renifler d’où vient le vent, et jeter le planeur dans la bonne direction. Pas un poil de marche à effectuer pour se rendre au site de vol…
Et pour atterrir ? Ben, la moquette, vous dis-je !
Bref, le rêve.
Ce que voyant, béat, je n’arrête de répéter :
« Mais bon sang, Bernard, depuis le temps que tu habites ce village, tu n’avais pas encore déniché ce coin. Quel idiot tu fais !!! »
C’est juste à ce moment que je me suis réveillé…
Hilare… et à la fois déçu que ce rêve ne soit pas réalité…
Si d’aucuns ont une petite expérience dans la « traduction » des rêves… qu’ils se fassent connaître…
Peut-être pourront-ils m’en dire davantage…
Mais j’en ris encore !!!!
(*) j’ai oublié le nom du lieudit…peut-être qu’il existe, on peut rêver, non ?
Easy Glider clé d'aile améliorée
Tout comme moi sans doute, les possesseurs d'Easy Glider première génération doivent trouver le montage
des ailes un peu casse-pied!
Je m'explique: faire passer le fil des servos d'ailerons par l'ouverture pratiquée dans le fuselage, récupérer ces prises à l'avant, les enquiller dans le récepteur...
Et puis cette grande clé d'aile/longeron d'un mètre de long...
Alors, pour pallier ces inconvénients, mon Easy Glider se promène tout monté dans le coffre de ma voiture. Pratique, n'est-ce pas? On arrive sur le lieu de vol, on allume l'émetteur, on
branche la réception, et hop, c'est parti...
Mais... toute médaille a son revers!
Lorsqu'il est ainsi tout assemblé, j'ai fini par le cabosser en passant les portes, en le sortant du coffre...
C'est pourquoi j'ai maintes fois accroché soit la dérive, soit le stab, soit une aile... avec des dégâts minimes, certes... mais qui contribuent à défraîchir le "bel" aspect de
l'Elapor!
Je l'ai donc abimé plus "facilement" lors des manipulations "au sol" qu'en utilisation "vol"!!!!
Un comble!!!!
Alors que j'avais déjà rendu les empennages démontables afin de faciliter le transport, je me suis à nouveau mis au travail.
A savoir que j'ai adapté un système d'encliquetage
automatique des prises, une partie restant dans le fuselage, l'autre étant insérée dans l'emplanture de chaque aile.
Signalons que, sans doute conscient du problème, Multiplex a équipé l'Easy Glider "nouveau" d'un système
ressemblant, sauf que ses prises sont disposées horizontalement...
J'ai opté pour le vertical!
Il m'a fallu toutefois aménager l'emplanture de chaque demi-aile. Le travail aurait sans doute été plus facile et plus soigné si j'avais envisagé la chose avant assemblage des deux
demi-coquilles du fuselage...
M'enfin... y'a que le résultat qui compte, et quand tout ça est en place, l'esthétique(?) ne semble pas trop en souffrir!
Et puis j'ai coupé l'embarrassant
tube/longeron noir en deux morceaux de 50cm. Ils sont solidarisés par un manchon central de 12 cm en fibre, (Voir tube en blanc sur la photo),
que j'ai inséré à force pour moitié dans l'aile droite dont il reste solidaire.
Il entre plus facilement dans la gauche du fait que j'ai alésé un chouïa: tube noir sur lequel j'ai enroulé du papier de verre.
Les deux moitiés de ce tube noir ont reçu une très fine pellicule de scotch afin d'augmenter un tout petit peu leur diamètre, ce qui leur évite de sortir seules et de
les perdre pendant le transport.
Mais tout le système est encore amovible, et ne m'empêche pas, si je le souhaite, d'insérer une tige filetée de 7mm sur 1 m de long afin de ballaster pour les jours venteux à la
pente.
Des images valant mieux que de longs discours, voir le "roman photos" ici:
http://bernardino.over-blog.net/album-1559521.html
Mais en savourant le confort qu'elles procurent, je me demande bien pourquoi je n'ai pas fait ces
modifs beaucoup plus tôt!!!
Assan 2.4GHz intérieur du boîtier MPX4000
La bidouille décrite ci-dessous permet de conserver les deux modules à l'intérieur du boîtier... pourtant déjà bien
rempli de l'émetteur 4000.
En utilisant un inverseur bipolaire à verrouillage, nul besoin d'ouvrir le boîtier afin d'interchanger les prises... De plus, le verrouillage évite une fausse manoeuvre en vol qui risquerait de
se traduire par une catastrophe si on changeait par inadvertance le mode d'émission...
A noter qu'en réalité, sur la nappe de fils issue du module Assan, on trouve le plus(rouge) entre le noir et le signal... Mais pour mon schéma, cela ne me rendait pas service.
Bons vols
intérieur du boîtier MPX4000
par Bernardino
Minimag à skis
Vite fait, j'ai réalisé des skis adaptables sur le Minimag.
Et je suis sorti à pied vers les collinettes situées à 800 mètres de chez moi.
Ah, comme j'aurais voulu prendre des clichés de ce petit modèle en vol... mais tout seul, c'est pas facile.
J'ai quand même tenté le coup, tout en pilotant.
Emetteur dans la main gauche et Nikon Coolpix dans la main droite... Visée au jugé et à la sauvette...
A ma grande surprise, j'ai obtenu une vue à peu près potable... mais loin, loin...
J'ai enchaîné les atterrissages et les décollages; l'herbage est d'ailleurs zébré de longues glissades...
Parfois, je suis arrivé à l'atterro pas assez cabré et un peu trop lentement: entre les traces des skis, l'hélice a laissé des stries parallèles sur la nappe, jusqu'à ce que le modèle finisse par lever la queue et enfourne le nez dans la poudreuse... sans dommage.
Une randonneuse est passée dans le chemin voisin. Elle s'est arrêtée, a regardé, a posé quelques questions...
J'en ai profité pour lui demander si elle accepterait de prendre quelques photos avec mon appareil.
Elle a dit que c'était pas facile de viser ce moucheron... elle a fait ce qu'elle a pu... et a immortalisé un décollage.

Merci à elle.
J'ai vidé plusieurs accus... et j'ai abondamment rayé la nappe neigeuse du pré devenu aérodrome improvisé....
Vive la neige!!!!
Autres photos dans l'album consacré au Minimag...
http://bernardino.over-blog.net/album-1543090.html
ASSAN 2.4GHZ X8D Notice
Module Assan X8D
Lexique:
Binding: accouplement, appairement...
Tx: émetteur
Rx récepteur
Note à propos des émetteurs Multiplex 3010/3030 et 4000
La fiche sur laquelle s'enquille le module
d'origine est brochée comme suit, de haut en bas, émetteur ouvert et antenne dirigée vers le haut:
rien,
rien,
noir/moins,
rouge/plus,
rien,
signal/orange
1.Instructions sur le module X8 2,4GHz
2. Installation
Step 1 Installation dans l'émetteur... blabla.
Step 2-2 blabla...
Step 3 Installer l'antenne sur l'émetteur...
Step 4 Sélectionner le mode de transmission Allumer l'émetteur, et sélectionner
le mode PPM. Note: le signal du module ASSAN X8 2,4GHZ n'utilise que le mode PPM, à l'exclusion du PCM,
2.2.Installation du récepteur
Step 1: sélectionner la position appropriée dans le modèle.
L'antenne du récepteur ne doit pas être obstruée ou recouverte de métal, carbone, matériaux fibreux ou conducteurs, ou encore faisant écran...
Step 2: fixer le récepteur
Step 3: connecter
A noter que tous les « - » sont en haut du boîtier récepteur X8R
3.Utilisation du Système X8 2,4GHZ
Binding, ou appairement
Le module émission et le récepteur doivent être appairés (couplés?)
Assurez-vous que l'installation a été correctement et complètement exécutée, que l'émetteur est bien en mode PPM. Alors on peut commencer le « binding »
-
Insérez la prise « binding » dans les plots « signal » du récepteur: elle ponte le plot 1 et le plot 3.
-
Allumez l'émetteur, La LED du module émission passe au rouge. Actionner complètement le manche correspondant à la voie 2. (Soit gauche-droite, soit haut-bas selon l'attribution des manches sur l'émetteur). La LED rouge du module émetteur clignote alors rapidement et cela bippe, ce qui signifie que le module attend un signal du récepteur.
Si le "binding" ne démarre pas, vérifiez que le neutre n'a pas été décalé de manière importante sur le Tx; vérifiez également que la course n'est pas limitée par "dual rate" ou autre dispositif. Pour comparer: on se trouve dans le même cas que lorsqu'on étalonne une manette de jeu pour simulateur: il faut disposer de toute la course. -
Allumez la partie réception, la LED du récepteur se met aussi à clignoter,
-
Après quelques secondes, le système va se connecter automatiquement. Les 2 LED vont passer au vert et les bip du Tx cessent.
-
Débranchez le cordon « binding » et rangez-le en lieu sûr... pour un éventuel futur usage.
-
Le « binding » est terminé. Il n'y aura plus besoin d'effectuer cette opération entre les deux membres de ce couple Tx et Rx.
-
Si l'on souhaite utiliser ce récepteur avec un autre module émission, il faut impérativement ré-appairer ce Rx: ayant déjà été « couplé », il doit forcément « divorcer » de son ancien module émission! Il suffit simplement de reprendre la procédure ci-dessus.
Note1:
la durée du « binding » peut parfois atteindre une douzaine de secondes.
Le module émission peut se révéler polygame! A savoir qu'il peut "épouser" plusieurs récepteurs... après "binding", bien évidemment.
Note2:
Et enfin expliquons la présence du condensateur accompagnant le Rx:
Sur un modèle possédant de nombreux servos, ces derniers peuvent faire un appel important de courant: il se peut alors que le récepteur se trouve sous-alimenté en énergie, et il
risque de "décrocher", d'où une perte de liaison momentanée avec l'émetteur. Pour pallier cet inconvéneient, on peut utiliser un condensateur 4700µf branché sur une voie
quelconque du Rx ou sur un cordon en Y si toutes les prises sont déjà utilisées. Ce dispositif permet d'éviter la chute brutale de tension due à un appel de courant
provenant de plusieurs servos actionnés simultanément.
Signalons que la plupart des nouveaux RX 9 voies ont la possibilité de leur de brancher deux alimentations séparées, éliminant de ce fait le problème de décrochage.
Autre solution: la double alimentation: une batterie pour le Rx et une autre pour les servos...
Baron à skis
Oh, pas des tonnes!
Tout juste ce qu'il faut pour que je puisse envisager de faire décoller mon Baron sur le tapis neigeux, le modèle ayant troqué ses roues contre des skis.
Le passage de l'option "roues" à l'option "skis " s'éxécute en moins de cinq minutes, dans la mesure où l'axe des roues est également celui utilisé pour l'articulation des skis.
Ces derniers doivent adopter en l'air exactement la même incidence, sous peine de vol dissymétrique; et à l'atterrissage, ils se doivent d'être cabrés, sinon la spatule va "enfourner"... avec risque de capotage et passage sur le dos.
L'astuce? L'avant du ski est tiré vers le haut grâce à un élastique qui traverse un tube laiton. Voir photo.
Tout ce système constitue un amortisseur très efficace...
Je me suis rendu à pied dans un herbage situé 500 mètres derrière chez moi...
Branchement de la batterie, vérification des gouvernes et du moteur électrique...
Et après, il suffit de mettre mi-gaz et laisser glisser longuement le modèle sur la neige avant de tirer doucement sur le manche.
Ensuite, les "touch and go" s'enchaînent avec plaisir...
Et comme le soleil a pointé son nez, j'ai passé quelques dizaines de minutes fort agréables!!!
Dommage qu'il ne neige pas plus souvent dans nos contrées...