humour et modelisme
Le Montaigu vu d'un modèle réduit
Ce lundi 11 février, le soleil est enfin revenu.
Il faut vous dire que j'ai fait tout dernièrement l'acquisistion d'un émetteur made in China....
dont je n'ai absolument pas besoin tant je suis satisfait de mon matériel Multiplex : MC 3010 et 4000!
Mais il faut dire aussi que ce nouvel équipement est vendu chez Hobby King pour une somme vraiment dérisoire.
Et si j'ajoute qu'on nous dit partout que cette
radio Turnigy est tout aussi performante que certains bidules dits "de marque"... avec un logiciel interne "ouvert",
que certains modélistes n'ont d'ailleurs pas hésité à bidouiller.
Ben... Piqué par la curiosité... j'ai passé commande de ce "bel outil" à pas cher.
Parce que vous savez fort bien à quel point je peux être curieux!
En raison de tout ce qui précède, j'ai voulu moi aussi voir, savoir, tout comprendre de cet émetteur "low coast".
Relier tout ça à mon ordinateur. Simuler, bidouiller, tripatouiller...
Pour ne pas mourir idiot! Bien sûr...
J'ai même "profité" de ces derniers jours "offerts" par le mauvais temps pour passer quelques heures à pénétrer la logique de fonctionnement et de programmation!
C'est vous dire!
Et puis, suite logique, j'ai enfin voulu valider mes "travaux", en utilisant un premier "mulet" avec le Mini Mag.
Et puis je suis passé à la taille au-dessus, en prenant un motoplaneur Easy Glider de chez Multiplex, un engin équipé lui aussi d'un moteur électrique, modèle au nombre incalculable d'heures de vol.
Mais avec une programmation un peu plus complexe que celle du MiniMag puisqu'on mixe les ailerons pour en faire des aérofreins par exemple. On déclenche le chrono utilisation moteur...
Ah, cet Easy Glider... c'est un modèle éprouvé, que je connais bien, et qui ne risque pas grand chose en cas de pépin.
Equipé de mes petites caméras, il a aussi emmagasiné un nombre impressionnant de vidéos d'où j'extrais fréquemment des vues fixes que je vous propose sur mon album Picasa.
Il n'en fallait pas davantage pour que j'aille faire une escale au Montaigu... mon terrain de jeux favori!
Avec une caméra qui filme vers l'arrière...
Une autre qui prend des vues vers l'avant...
Et si j'ajoute que la météo est fort clémente puisque le vent d'Ouest-Sud-Ouest est relativement calme. Je considère alors que j'ai réuni des conditions idéales afin de procéder à des essais.
Le premier vol de cet Easy Glider durera 36 minutes... avec 2 minuscules minutes de moteur afin de reprendre de l'altitude entre deux ascendances! Bon "investissement", n'est-ce pas?
Il faut dire que le modèle bénéficiera en effet d'ascendances certes modestes, mais qui vont tout de même prolonger le vol d'une manière significative...
Ascendances dont je ne serai d'ailleurs pas le seul à tirer profit, puisque quelques oiseaux joueront avec mon modèle, et l'un d'entre eux aura même la gentillesse de passer dans le champ de la caméra! (la petite tache noire au milieu de la vue ci-dessous)
Mais ça, je le validerai uniquement quand je serai de retour à la maison, car c'est toujours la surprise de découvrir ce qu'ont "vu" les caméras...
Et en fin de journée?
Je peux délivrer à mon nouvel émetteur un certificat "Bon pour le service"!
Vous dites?
Que vous voudriez en savoir davantage? Avec des photos?
Bon, d'accord!
Il vous suffit alors de vous rendre à cette adresse:
https://picasaweb.google.com/104003666207931930280/LeMontaiguVuDUnModeleReduit?authuser=0&feat=directlink
Délices d'hélices et d'ailes lisses: publication
Bonjour,
TheBookEdition.com a la plaisir de vous annoncer la sortie de "Délices d'hélices et d'ailes lisses", le nouvel ouvrage de Bernard MUNOZ, avec des illustrations de Gérard
Pierre-Bès.
Nous vous invitons à en découvrir plus sur Bernard MUNOZ et son livre en vous connectant sur TheBookEdition.com.
N'hésitez pas à laisser un commentaire à l'auteur. Il ne manquera pas de vous répondre.
Découvrez et commandez le nouveau livre de Bernard MUNOZ, "Délices d'hélices et d'ailes lisses "
Nous vous souhaitons une très bonne lecture,
TheBookEdition.com
Eoliennes filmées par modèle réduit
Ce premier jour de l'an, j'avais grande envie de profiter des éclaircies.
Le matin, une petite marche du côté des Batailles...
http://www.visugpx.com/index.php?i=1357038689
Et dans l'après-midi?
Ben... ça fait un bon bout de temps que mon émetteur de radiocomande n'a pas eu de mes nouvelles!
Je décide alors de partir vers La Roche avec mon motoplaneur Elector Junior "sous le bras".
Je le sors du coffre de la voiture, puis je l'assemble dans le pré, sous l'oeil vigilant de l'éolienne, dont les pales
sont quasi immobiles.
J'installe une mini caméra sur l'aile gauche... scratch... et un fil nylon au cas où...
Parce que je connais des petits copains qui l'ont perdue en vol! On n'est jamais trop prudent!
Cette première boîte à images filme vers l'avant.
Une seconde caméra est placée en haut de la dérive... Elle filme l'avant du modèle, ainsi que la caméra de l'aile... et parfois le pilote! Mais comme elle est tout à l'arrière, afin de retrouver un centrage correct, il me faut compenser ce déséquilibre en avançant un peu la batterie de propulsion.
Essai des gouvernes, et je lance en direction des éoliennes d'Hambers.
Le vent rafaleux bouscule littéralement mon petit oiseau électrique.
Mais bien vite, je me rends compte qu'une grosse nuée inonde littéralement les collines du mont du Saule... Hardanges reçoit une bonne douche.
Sauf que cette nuée s'approche vers l'endroit où je suis.
Je vais tout de même avoir le temps de réaliser mes prises de vues... et descendre sans trop tarder à la voiture... qui à
son tour recevra une belle averse peu de temps après que je me sois installé au volant.
De retour à la maison, je transfère mes vidéos sur le PC.
D'où il m'est facile d'extraire des images "instantanées"... comme celles qui illustrent cet article.
Pour visionner d'autres images, ouvrir l'album Picasa à l'adresse ci-dessous.
Et si vous voulez bénéficier des commentaires accompagnant chaque cliché, choisir l'option Diaporama:
https://picasaweb.google.com/104003666207931930280/EoliennesVuesDuCiel?authuser=0&feat=directlink
Une courte vidéo est également disponible... attention au "mal de mer"!
Fox pas terrier... et éolienne!
Vous le savez déjà, parmi mes multiples passions figure l'aéromodélisme...
Ce "jeu" qui consiste à faire voler des "p'tits z'avions" télécommandés.
Mais en ce qui me concerne, je suis nettement plus attiré par les planeurs, ou les moto-planeurs... ces modèles qui ne font pas de bruit, soit parce qu'ils ne possèdent pas de moteur, soit qu'ils en aient un dans le nez, mais il est électrique.
Et ce dimanche après-midi, le vent étant orienté au Sud-Ouest, je suis retourné avec plaisir sur le site de vol que j'avais délaissé depuis un certain temps. (Faut-il y voir un gros manque de motivation?)
Mon site en Sud-Ouest se trouve un tout petit peu à l'Ouest de l'éolienne La Roche!
Habituellement, je m'y rendais au départ du hameau .. La Roche... et j'empruntais le chemin de randonnée.
Mais dans la mesure où les aménagements nécessaires à l'implantation de l'éolienne ont nécessité la création d'un chemin d'accès, je ne me suis pas privé!
Alors qu'auparavant j'avais un bon km à parcourir, je n'ai plus maintenant que 250m à effectuer pour rejoindre l'endroit d'où je fais décoller mon modèle. (Cheminement bleu sur la photo satellite ci-dessus)
L'aire de lancer est assez vaste, mais il est toutefois nécessaire d'utiliser quelques secondes de moteur afin de se dégager rapidement des turbulences générées par la haie en contrebas... ainsi que le petit bois sur la droite.
Et après?
Le planeur n'a plus besoin d'aide extérieure, il évolue au gré des vents, porté par l'ascendance que génère la déflexion de l'air sur la colline.
A la manière des mouettes ou autres goélands en bord de mer!
Le vol pourrait durer ainsi plusieurs heures. Mais il est parfois fatigant d'avoir le nez en l'air... le cou n'apprécie pas vraiment cette situation.
Et comme cette pente est orientée vers le Sud-Ouest, on pilote la plupart du temps avec le soleil dans les yeux: lunettes et casquette à visière o-bli-ga-toi-res.
J'ai donc lancé mon petit planeur FOX, pas terrier pour un sou, mais franchement "éolien"! Et je l'ai fait voler presque une heure.
En fin de séance, je n'ai pu m'empêcher de faire un crochet (à pied) vers l'éolienne "La Roche"... où le chantier est
maintenant quasiment désert.
Une petite photo en direction de la Boyère et les éoliennes de Trans en arrière-plan.
(Avec mon téléphone sans zoom... c'est "loin"!)
Et je suis rentré chez moi me mettre au chaud, parce qu'en plein vent, là-haut, ben ça caillait un max!
Recycler? Vous avez dit "Recycler"?
J'ai reçu tout dernièrement un commentaire sur ce blog, dont je vous livre un extrait:
"Bonjour, j'ai lu avec attention vos mésaventures avec votre pocket pc et j'avoue avoir passé un excellent
moment :-)
Je vous avouerai que moi aussi j'essaie de faire durer mon Mio 168 le plus longtemps possible mais
malheureusement je ne suis pas aussi bricoleur que vous :-(
Concrètement, j'ai mon pocket pc depuis maintenant 7 ans ! Oui 7 ans et jamais il ne m'a fait défaut,
je l'avais même conseillé à mon frère, mon beau-père et mes amis tellement ce produit m'avait enchanté ! Mais celui de mon beau-père n'a pas fait long feu, car sa connectique pour le recharger
était apparemment abîmée ! "Arf! Quelle brute" me dis-je, ça au moins ça ne m'arrivera pas car moi j'y prends soin!
Mais voilà que 7 ans après c'est mon tour, ma recharge a commencé petit à petit à dérailler et
aujourd'hui plus rien, nada ;-(
Comme j'ai vu que vous étiez le digne successeur de McGyver ;-)
SVP? Sauriez-vous à tout hasard comment faire pour réparer mon précieux appareil.
Merci beaucoup d'avance si vous avez la réponse :-D Cdt. José.
Pour plus de détails, voir ici:
http://bernardino.over-blog.net/article-le-pocket-pc-qui-ne-voulait-pas-mourir-65877309.html
J'ai bien évidemment répondu... qu'à distance je ne pouvais pas faire grand'chose...
Mais je n'ai pu m'empêcher de revenir sur ma dernière bidouille à propos d'un chargeur de secours!... (Nettement plus simple à effectuer que sur mon pocket PC.)
D'autant plus que je venais de recevoir dans ma messagerie une pub concernant un appareil de ce type . (Voir ci-dessus.)
J'avais acheté le mien en soldes... et j'avoue qu'il me rendait grand service lorsque, partant à vélo pour l'après-midi, je "pompais" comme un malade dans la batterie de mon téléphone Nokia 5800.
Car il n'est pas rare que je fasse fonctionner en même temps sur ce
Nokia plusieurs applications gourmandes en électrons, et plus particulièrement celles qui utilisent l'antenne GPS; à savoir Endomondo et ViewRanger, quand je n'écoute pas également le lecteur MP3 incorporé..
Et tout ça nécessite du courant électrique.
D'où le message "batterie faible" qui me parvenait parfois avant la fin de mon périple.
Avec mon gadget, j'avais trouvé la parade... jusqu'à ce que la batterie interne tombe en rade.
J'ai ouvert... pour constater que je pouvais la remplacer par un élément 1300mA de mes LiPo utilisés en modélisme: aux mêmes dimensions!
Jusqu'à ce que... à nouveau... la batterie de récup' tombe elle aussi en rade.
Je viens donc de prendre une mesure drastique.
J'ai récupéré un bloc batterie de 3 éléments "déclassés" que j'utilisais sur mes avions "indoor".
En sciant la plaquette de connexion, ce bloc, dont les éléments étaient reliés en série (avec 1.2Ah de capacité), et bien ce bloc est devenu un bloc "en
parallèle" dont la capacité est de 3.6A.
Presque 3 fois plus que la batterie d'origine!
Il m'a bien évidemment fallu trouver un autre boîtier afin d'insérer tout ce petit monde.
Là encore, récupération d'une boîte en plastique ayant contenu un récepteur de modèle réduit. (Marque Futaba, en 72Mhz!).
Aménagement des trous idoines: perceuse, petites limes...
Soudures, Velcro... Quelques vis...
Et le tour est joué!
Ce boîtier peut maintenant rejoindre ma petite sacoche de cadre, et alimenter fidèlement mon téléphone (via le fil blanc sur mon cliché) , sans risquer d'entendre "Batterie faible!...
Avec une capacité presque triplée, c'est génial!
Je voudrais également vous faire remarquer le chargeur 220V.
Lui aussi est un rescapé.
Regardez bien: il est "logotisé" Motorola, n'est-ce pas? Accessoire d'un antique téléphone portable!
Sa prise avait cassé... mais le transfo était encore fonctionnel!
Dans mes boîtes à rabiots, j'ai récupéré une prise compatible avec celle de mon boîtier... encore quelques soudures... un morceau de gaine rétractable noire...
Et voilà qui remplace avantageusement le chargeur défaillant!
Vous me direz que mon "gadget" peut d'origine utiliser une prise USB pour être rechargé.
Mais cela ne m'a pas suffi, puisque j'ai aussi prévu de pouvoir recharger mon bloc via une connectique compatible avec celle de mes accus modélisme. (Prise rouge ronde: inutilisée sur le cliché du haut, mais fixée latéralement sur la toute dernière photo)
Voici donc mon "gadget" maintenant muni d'étiquettes afin d'éviter les méprises.
Définitivement customisé, il me semble à nouveau fonctionnel.
Et après ça, étonnez-vous que certains puissent me qualifier de Mac Gyver!
FOX EPP T2M
De ces modèles en mousse que l’on ne craint pas de jeter un peu n’importe où, même sur des sites où l’on n’oserait pas le faire avec un modèle plus gros et/ou plus fragile.
Et comme les pentes utilisables par chez moi sont déjà d’un rendement médiocre, et de moins en moins accessibles pour différentes raisons… la joie de posséder un moteur dans le nez faisait partie du cahier des charges.
Après avoir longuement fouiné sur le Net, je suis tombé sur un petit FOX électrique.
Pensez : 1.80m d’envergure. Ailes et stab démontables. Bonnard pour le transport.
Quant au prix ! 79€ chez Staufenbiel. (Plus port : 9.90€)
Ben on reçoit un carton contenant la boîte entourée de bourre (Bien pour le transport !)
A l’intérieur, on découvre toutes les pièces enveloppées de truc à bulle, séparées les unes des autres par des supports moulés en plastique.
Un sachet de visserie… une notice de montage, claire multilingue, illustrée de nombreux clichés. C’est la même que pour la version « complète » dans laquelle la radio, l’accu et le chargeur sont livrés.
Pas vraiment grand boulot...
Dans la mesure où l'hélice, le moteur, le variateur et les servos sont déjà en place...
Visser le stab sur son support (avec une vis plus longue, car celle fournie est trop courte), connecter les gouvernes, implanter le récepteur ainsi que l’accu…
Brancher tout ça, vérifier le serrage des dominos sur les tiges de commande…Pianoter sur la radio afin de programmer l’ensemble et vérifier le
sens correct des débattements. Quelques autres ajustements encore.
Placer l’accu à l’endroit idoine afin d’obtenir le centrage préconisé…
Et si on est courageux, apposer les planches de décors en adhésif.
En y prenant largement son temps, ça fait moins de deux heures !
Il se trouve que le jour où j’ai reçu ce Fox, le vent était axé Sud-Ouest, pile sur « ma » pente de La Roche. Et je n’ai pas même eu à le démonter, puisqu’il rentre entier dans ma bagnole !
Planeur sous le bras, j’ai effectué le petit km qui me conduit au site.
Face au vent, dernière vérification des gouvernes, du moteur… ma petite main a du mal à maintenir tout ça à plat... puis on lance.
Le Fox part bien droit… mais pour quitter rapidement la zone de décollage où ça ne porte pas dur, j’y vais d’un petit coup de moulinette.
Le taux de montée est correct, et le Fox atteint assez rapidement l’endroit où ça porte.
Notez bien que je n’aurai absolument aucune correction à exécuter au niveau des trims !
Le planeur grandeur est un modèle dont la vocation première est la voltige. Mais
chacun sait qu’en réduisant un modèle, on n’aura pas forcément les mêmes caractéristiques que son grand frère.
Cependant, je vais être conforté dans l’idée que les gouvernes de ce petit FOX sont sans doute en phase avec celles de son homologue plus grand.
Elle s’avère d’une neutralité étonnante. Aucun effet induit. Si en vol à plat on braque le volet, le fuselage part en attaque oblique… et c’est tout !
Faut dire que le dièdre des ailes pratiquement à zéro n’y est sans doute pas étranger.
Cette même dérive, je vais avoir du mal à la maîtriser lors des renversements, pour lesquels il va me falloir une quantité impressionnante d’essais avant de trouver la bonne cadence et les dosages idoines afin d’obtenir une figure acceptable.
Pas de lacet inverse du tout. Là encore une neutralité digne d’un modèle de voltige.
Je les aurais souhaités un peu plus mordants quand même.
Ils permettent toutefois de passer le tonneau de façon sympathique… sauf que dans la seconde moitié, ça barrique un poil et c’est un peu plus lent. J’ai eu beau mettre de la dérive pour aider à en sortir… modifier le différentiel qui était à zéro, je n’ai pas constaté vraiment d’amélioration.
Il va me falloir tatonner encore.
Elle répond à mon attente.
Permettant d’amener lentement l’oiseau au décrochage, qui s’effectue sans surprise. Et si on maintient l’ordre, le Fox bascule gentiment sur une aile, et part en longues oscillations, qui s’arrêtent dès qu’on relâche les manches.
On peut alors tâter de la boucle droite. Petite prise de vitesse, et on tire… sans problème pour exécuter un beau rond dans le plan vertical
Mais la première fois que j’ai réalisé cette opération, j’ai frémi. Les ailes prennent en effet un impressionnant
dièdre…
Je suis passé ensuite au vol dos, qui s’effectue aisément avec une très légère pression à piquer. Sympa comme tout ! On peut même continuer à grimper dans l’ascendance avec la tête en bas. Il faut noter que le volet de dérive m’a semblé plus efficace dans cette position !
La boucle inverse ? Elle demande un poil plus de volume que la droite, toujours avec ce dièdre que prennent les ailes au bas de la figure !
Et si on combine les trois gouvernes, il est possible d’obtenir de jolis déclenchés, pas violents, sans même avoir besoin d’une prise de vitesse extraordinaire. Tout revient en ordre dès qu’on relâche les manches.
Il va sans dire que la faible masse du modèle ne permet guère d’envisager des figures en série.
Cependant, j’ai été surpris par la capacité de ce petit FOX à accélérer joyeusement.
Plusieurs fois, je me suis amusé à le faire dégringoler du sommet de l’ascendance, et le faire passer comme un bolide devant moi, dans un sifflement bien agréable.
La restitution étant toutefois modeste, il se ralentit vite dans la ressource qui suit.
Phase indispensable et incontournable ! Après avoir testé les capacités de l’engin à voler lentement, je n’avais gère de souci dans le domaine. J’avais pourtant programmé les ailerons à se relever en guise d’aérofrein. Mais cela ne me paraît pas vraiment utile, car en se rapprochant du sol, le Fox a besoin qu’on le relance en piquant un peu, il aurait même tendance à se positionner en stationnaire face au vent. Aurais-je opté pour un centrage trop arrière ?
Ce Fox n’est pas maquette, ne serait-ce qu’au niveau des ailes qui devraient posséder un saumon nettement plus étroit. Mais il a quand même une très bonne bouille qui, sur un modèle en mousse, est agrémentée par la verrière transparente.
On m’avait dit le plus grand mal concernant ce système de commande adapté du RDS. ( Rotary Drive System)
http://www.youtube.com/watch?v=X5JoxLxJ3tM&feature=related
Si on n’y apporte pas le plus grand soin, cela génère du jeu rendant le pilotage délicat. Pour l’instant, cela me semble très correct. Je vais guetter le comportement de ces commandes quasi invisibles et peu sensibles à la végétation puisqu‘il n’y a aucun guignol à dépasser. Et si par hasard, elles finissaient par manifester un jeu trop important, il me sera facile de revenir à un système plus traditionnel. Juste un mauvais point pour le volet de dérive que j’aurais aimé voir collé de façon à obturer ce vilain jour néfaste au rendement !
Ø Je crois que mon premier objectif sera de rigidifier la voilure.
Insérer un tube carbone diamètre 6mmm dans celui existant… Je devrais trouver ça au rayon cerf-volant chez Décathlon.
Et si je trouve du plat de carbone comme on peut en mettre dans les ailes de modèles
indoor, je ne vais pas me priver de le faire afin de rigidifier l'ensemble.
Ø Lester davantage le modèle, avec une gueuse de plomb afin d’augmenter la charge alaire, donc améliorer la restitution, rendre plus violents les déclenchés…
Mais plutôt avec un accu plus lourd… si je parviens à le loger tout en respectant le centrage. Cela devrait me permettre de gagner en autonomie moteur. Notons qu’hier où j’ai fait voler une heure, j’ai utilisé le moteur 55 secondes, et j’ai dû recharger 513 mAh sur un accu de 1050.
Ø La jolie verrière : elle est arrimée par un ergot à l’arrière et deux pattes en plastique latéralement sur l’avant (comme sur l’Easy Glider Pro)… A tort ou à raison, je n’ai qu’un confiance limitée dans le système, d’autant plus que cette verrière ne ferme pas très bien : elle présente une lèvre par rapport au profilage du nez, et j’ai peur que sur une prise de vitesse, tout ça ne s’éjecte ! Plutôt que de scotcher le nez avant chaque vol, je pense que je vais insérer un petit élastique là-dessous…
Ce petit modèle me plaît bien. Il vient compléter un domaine de vol que je trouvais insuffisant sur l’Electro Junior ou l’Easy Glider pro.
Et si j’ajoute que, malgré ses petits défauts, je trouve son rapport qualité prix fort intéressant, vous ne serez pas surpris d’apprendre que je luis mettrais volontiers un joli 18 sur 20 !
Envergure : 1800m
Longueur : 880mm
Surface alaire : 23 dm²
Masse annoncée : 685 grammes
Masse obtenue (sans la déco) : 686g avec un accu 3S/1050
Charge alaire : environ 30g/dm²
Hélice 10x6 repliable
Moteur brushless
Distributeur : T2M www.t2m.fr
Album photos ici :
https://picasaweb.google.com/104003666207931930280/FoxEPPElectrique?authuser=0&feat=directlink
Fox EPP électrique
2 août 2012
> de Bernard MUNOZ |
> https://picasaweb.google.com/lh/sredir?uname=104003666207931930280&target=ALBUM&id=5772005779370251633&authkey=Gv1sRgCNrQlbfDkojkMg&feat=email
Un garçon dans le vent
Quand j'étais ado, on évoquait parfois les Beatles, en disant d'eux: "Quatre garçons dans le vent".
Qui chantaient:
"All you need is love..." (Tout ce dont vous avez besoin, c'est d'amour...)
Mais aujourd'hui... le seul garçon "dans le vent" dont je veux parler, c'est moi!
A qui l'on pourrait dire:
"All you need is slope..." (tout ce dont tu as besoin, c'est d'une pente)
Merci Daniel de m'avoir suggéré ce jeu de mots!)
Il faut dire que vous devez déjà connaître mon goût pour les engins volants que sont les modèles réduits.... que j'adore faire jouer avec le vent!
Surtout les planeurs... en vol de pente justement!
J'ai la chance d'habiter une région de bocage, avec des collines, sur lesquelles vient opportunément frapper le vent.
De ce fait, l'air est soit obligé de contourner l'obstacle, soit de passer par dessus.
Et c'est cette seconde option qui m'intéresse.
Car "en passant par dessus", le vent génère une force ascensionnelle dont je tire profit afin de faire voler mes "zoiseaux" aussi longtemps que possible, en utilisant une énergie absolument gratuite.
Et si l'on aborde le problème "énergie"... on va largement déborder du sujet modélisme.
En effet, la communauté de communes de Bais voit actuellement pousser des éoliennes. Elles seront à terme 9, capables de fournir davantage que nos propres besoins locaux en électricité, hors chauffage.
L'une d'elles, située du côté de La Roche, vient tout juste de voir ses travaux de terrassement débuter.
Située à proximité d'une de mes zones de vol, elle ne gênera en rien ma pratique...
Je peux même supposer que les aménagements au niveau des chemins d'accès risquent de me raccourcir le temps consacré à rejoindre le site.
Ce que j'ai tenté de vérifier ce matin.
Je partais en effet à pied du point rouge "La Roche".
A l'avenir, il devrait m'être possible de stationner à l'endroit "voiture" (voire un peu plus près), et de cheminer selon le trait bleu. (500mètres environ).
Et ce matin, longeant un champ de blé, j'ai la surprise d'apercevoir... une biche? un chevreuil?.
L'animal ne m'a pas vu.
Avec d'infinies précautions, je sors mon téléphone afin de pouvoir effectuer un cliché... mais je n'en aurai pas le temps.
Le cervidé s'enfuit en effectuant de magnifiques bonds, disparaissant au milieu des céréales.
Effectuant alors quelques dizaines de mètres en montant, je vois déboucher... sans doute le même animal, qui m'offre à nouveau un réjouissant spectacle...
Mais toujours pas de photo!
Je m'installe ensuite au point "Décollage de ce jour".
Parce que cela fait bien longtemps que j'ai dû abandonner le point "Très ancien décollage"... en raison du maïs omniprésent.
Avec l'option qui me reste... la haie en contrebas ne permet plus de décoller en planeur pur. (voir cliché ci-dessous).
Il faut nécessairement utiliser un peu de moteur électrique afin de gagner la zone ascendante avec un maximum de sécurité.
Ensuite, le vol est très facile: la portance est au rendez-vous!
Cela monte très haut. Mon planeur va de temps en temps tutoyer des vols d'hirondelles, qui matérialisent les ascendances.
Quelle en est la raison?
Ben.. naturellement paresseux, mais pas forcément dénués de cervelle, les oiseaux y trouvent à bequeter tout un tas de moucherons évoluant dans la masse d'air qui monte!
A d'autres moments, c'est avec deux buses que mon planeur tournicotera dans le ciel.
Tout en pilotant juché sur mon promontaire, je bénéficie d'un magnifique panorama, avec le Montaigu en
arrière-plan.
Emetteur au bout des pouces, je vais même essayer de prendre un cliché.
Mais c'est pas facile! Il me faudrait au moins trois mains.
Et puis sans zoom sur mon smartphone...
M'enfin... vous devriez quand même distinguer mon oiseau à la verticale du Montaigu. (détail
ci-dessous).
Bientôt, j'aperçois au loin comme un rideau gris qui s'avance.
Mais j'ai l'habitude! Lorsque j'utilise cette fichue pente, je sais par expérience que la pluie ne va pas tarder... De quelques dizaines de minutes à plusieurs heures.
Et aujourd'hui, face à la menace qui se précise, je fais sagement atterrir mon planeur au bout d'une quarantaine de minutes... puis je regagne gentiment ma voiture.
Pour ce faire, je me glisse dans le sentier pédestre (Voir sur le schéma: Chemin habituellement emprunté).
Deux piverts décollent en braillant.
Un peu plus loin ce sont des pigeons qui partent en froufroutant.
Puis un geai aux ailes multicolores.
J'arrive à la voiture.
Déjà quelques gouttes de pluie semblent pointer leur nez.
Démontage du modèle, que je range dans le coffre...
Quelques centaines de mètres, et les essuie-glaces automatiques se mettent en route.
Au niveau timing, je me suis montré pas trop mauvais!
Voilà, j'ai donc été un "garçon dans le vent"... durant un laps de temps tout de même un peu trop court à mon goût.
Mais j'ai eu le loisir d'apprécier quelques images fort sympathiques!
Situation que j'aime...!
"All you need is love..."
Les chevrons du bocage
Il faut absolument que je vous remette en mémoire mon ami Félix, « le Félix des histoires »… celui qui durant de nombreuses années a tout fait pour alimenter la chronique mensuelle que je tenais dans la revue de modélisme MRA, avant de poursuivre chez Looping.
Félix a effectué un break de quelques années avec l’aéromodélisme.
Mais il nous est revenu tout dernièrement .
Durant ce laps de temps, il avait ajouté à ses hobbys la collection de vieilles voitures.
Une Triumph Spitfire… suivie par deux Citroën 2CV.
Devenant par la même occasion membre de l’association « Les Chevrons du Bocage des Coëvrons ».
Mais je vais m’arrêter plus particulièrement sur la version camionnette de ses 2CV.
Parce que celle-là, je la connais fort bien. Pour l’avoir vue très fréquemment !!!
Et pour cause…
Figurez-vous que cette Deuche grise, elle appartenait à monsieur Leroux, le menuisier qui avait son atelier à Villaines la Juhel, rue du Bignon, là, où je suis né !
Là où résidaient mes grands-parents.
Là où j’allais passer mes vacances scolaires.
J’évoque d’ailleurs l’anecdote dans mes « Chroniques des années 50 ».
Livrée neuve par le garage Albert Tireau ("Bébert" était cousin de ma mère par alliance!), cette 2CV n'a connu qu'un seul
propriétaire avant que Félix ne l'achète; il a pu récupérer tous les documents concernant le véhicule : facture(s), bon de livraison, carte grise, carnet d’entretien… et même le
porte-clé offert par la quincaillerie Vallée ! Authentique, et d’époque !
Vous aurez pourtant noté que l’ancêtre arbore fièrement une enseigne de plombier nommé Lafuitedo… imaginaire. Sauf qu’à l’origine, Félix était plombier ! Clin d’oeil à son ancien métier !
Malicieusement, même le N° de téléphone a été « maquillé » en 19 64…. 1964, année de mise en circulation de cette Deuche !
Mais où je reconnais l’astuce de mon ami Félix, c’est quand je vois la façon dont il a aménagé son véhicule… pour accroître le volume arrière, permettant ainsi de transporter un Fieseler Storch construit en 199 x?
Equipé à l’origine d’un moteur thermique « 4 temps », le modèle réduit a tout dernièrement subi une petite mutation, afin d’être converti à la propulsion électrique.
Et puis comme j’en suis à divulguer des secrets d’Etat, je vous fais part d’une utilisation très particulière de cette camionnette.
Hé oui, lors des rassemblements de « Chevrons », notre ami Félix effectue parfois de longs déplacements… étalés sur plusieurs jours. Il faut bien faire dodo de temps en temps, non ?
C’est alors que la Deuche devient… camping car !
Avec volet roulant à l’arrière, actionné par un moteur électrique comme on en trouve dans vos maisons, mais celui-là puise son énergie au travers d’un appareil convertissant le 6V de la batterie du véhicule en 220V !
Et ça marche !
Bref. J’en suis toujours à me poser la question de savoir si dans les « entreprises » de mon ami Félix, il n’y aurait pas à chaque fois une petite idée derrière la tête : donner à son homologue barbu (moi !) matière à rédiger.
Quand on sait qu’avec un rien j’arrive à élaborer une histoire !
Merci Félix !
PS: "C'est bien beau de raconter tout ça, mais tu pourrais pas signaler à tes lecteurs que je cherche une optique de phare pour cette Deuche? Signé Félix"
Voilà, c'est fait!.
Vidéo de la chapelle du Montaigu
Cela faisait un certain temps que je n'avais pas filmé à partir d'un modèle réduit.
C'est en allant faire un tour à la chapelle du Montaigu que j'ai eu envie de sortir à nouveau mon motoplaneur Easy Glider et la petite caméra.
En effet, d'importants travaux de déboisement ont été effectués tout dernièrement,
et le panorama qui s'offre maintenant aux visiteurs est très dégagé. On aime... ou on n'aime pas!
Mais dans la mesure où les arbres ont en partie disparu, cela m'offrait la possibilité de faire décoller mon modèle juste à côté de la chapelle.
Il faut reconnaître que la vue s'étend maintenant sans obstacles du
Mont Rochard et son antenne (juste sous le stab gauche),
en passant par le bois de Crun, Sainte Gemmes le Robert, Sainte Suzanne, Evron, Neau, Mézangers, l'étang de Gué de Selle, Jublains, Mayenne,
Hambers (ci-dessous), le
bois du Tay (derrière la tache jaune de colza tout au fond),
les collines
d'Hardanges et de Pail...
Plus de 270°...
Et d'en haut, mon modèle pouvait même filmer Bais! (Dans l'axe du fuselage)
Avril est le mois où les champs de colza illuminent la verdure de leur jaune flamboyant... C'est aussi le mois où l'on peut entendre le coucou... dont le répertoire est malgré tout fort limité!
Malheureusement, si j'ai quand même pu bénéficier du "son et lumière" offert par le coucou et les colzas... le jour choisi n'était pas des plus propices. Jugez plutôt:: vent d'Ouest en rafales, générant de "joyeuses" turbulences qui ont malmené le planeur, temps couvert, luminosité insuffisante, et pour couronner le tout, une "magnifique" averse de grêle alors que je prenais ma vidéo.
Mars et ses giboulées en avril!!!!
J'ai alors entamé rapidement la procédure d'atterrissage... qui se fait obligatoirement dans les ronces et restes de troncs coupés.
Pas vraiment l'idéal...
Bonjour les éraflures un peu partout sur le matériau dont est fait l'Easy Glider... Sans parler des risques de rencontrer un gros bloc de granite!
Je suis alors rentré à la maison, pour me rendre compte que ma caméra était tombée en panne: elle s'était arrêtée bien trop tôt!... (il y a des jours comme ça où la poisse...)
Quoi qu'il en soit, au travers de la courte vidéo... un peu turbulente, (mais je vous ai prévenus que ça secouait sévère en l'air), vous pourrez quand même "voir" les résultats du déboisement.
Faites donc sagement un arrêt sur image...et essayez de vous repérer!
http://www.youtube.com/watch?v=qDcb-tMT2m0
PS: vous me direz que l'arrière de mon modèle est un peu trop "présent" sur les images que je vous propose aujourd'hui... et que même sur son support, la caméra semble gigoter pas mal! C'est vrai, mais lorsque je pose ma petite "keycam" sur le velcro de l'aile, je n'ai pas de "viseur"... et je ne sais pas vraiment quel est le cadrage. Tout au pif! C'est une fois redescendu chez moi que je découvre le résultat sur l'écran de mon PC... Soyez donc indulgents!
Curieux phénomène au Montaigu
En ce matin du 12 avril, je décide d’aller au Montaigu afin d’y pratiquer alternativement deux activités.
La première consiste à s’installer sur « la route neuve », celle qui est exposée au Nord, d’où l’on aperçoit Hambers, le bois du Tay, le Mont du saule et les collines d’Hardanges…
J’ai pris mon fidèle Easy Glider Pro, que j’assemble bien vite.
Vérification pré-vol, et je jette face au vent.
En effet , partant du pied de la pente il est possible après un petit coup de moteur d’aller coller au talus et de profiter ainsi de la portance dynamique créée par le dénivelé. Il s’agit en quelque sorte d’une variante de VdP (Vol de pente) lorsqu’on ne peut décoller du sommet.
Bien que le vent soit faible, je m’attendais à un rendement un tout petit peu meilleur.
C’est quand même au bout de 25 minutes que je fais atterrir mon « oiseau » sur la route.
Avec un minimum de satisfaction.
Je remballe, et j’attaque la seconde partie de mon programme : faire à pied les 3.2km que représente le tour de la butte, corde à gauche cette fois. Faut bien varier de temps en temps !
Arrivé au parking, je me retrouve « sous le vent », derrière la butte.
C’est alors que j’aperçois tout en bas à gauche, en direction de Sainte Suzanne, un champ fraîchement labouré. Les ¾ de sa surface sont au soleil. Le reste est masqué par un nuage qui en assombrit la surface.
Et sur toute la partie ensoleillée, je vois filer au ras du sol comme des vaguelettes de brume blanche qui courent, à la manière de vagues dont les crêtes lâcheraient des embruns.
Curieusement, ce mouvement s’effectue perpendiculairement à l’axe du vent constaté en altitude !
Et si j’ajoute que le nuage au-dessus semble s’épanouir et bourgeonner dans tous les sens, il mange petit à petit la surface ensoleillée du champ qui se réduit telle une peau de chagrin.
Mais, en levant les yeux, que vois-je ?
Deux buses, qui enroulent majestueusement une ascendance se déplaçant juste au-dessus de la zone aux vaguelettes.
Les oiseaux vont ainsi gagner une altitude très confortable, jusqu’à ce qu’ils mettent cap à l’Ouest et disparaissent à ma vue.
J’ai bien tenté de prendre quelques clichés… Mais mon appareil numérique n’a pas rendu ce que j’en attendais.
Quoi qu’il en soit, bien qu’il m’ait été donné d’observer des conditions climatiques diverses, c’est la première fois que je bénéficie d'un tel spectacle !
Magique !
------------------------------ Une explication qui m'a été fournie ------------------- Merci Jean-François --------------------
Je dirais que c'est une ascendance sur un champ sombre, donc absorbant la chaleur du soleil dans une
atmosphère à la limite de la saturation; ce qui explique la brume au ras du sol (rencontre air chaud et humide issu du contact du sol avec de l'air plus froid en l'air d'où condensation).
et en travers du vent pour cause d'aspiration centripète sur l'ascendance.
Mais c'est dur à dire à partir de la relation de la chose, fût-elle détaillée comme ici!