Quid de l'Aron et du plan d'eau de Bais?
Il semblerait que, comme on le dit familièrement, ce soit "dans les tuyaux"...
Mais de quoi s'agit-il? D'un projet dont seraient l'objet de différentes discussions le cours d'eau nommé l'Aron, qui traverse notre village de part en part, et le plan d'eau agrémentant le coeur de notre cité.
Tout comme une cinquantaine de personnes, j'avais répondu samedi matin à l'invitation citoyenne formulée par les 3 signataires du document ci-joint:
Quel avenir pour notre plan d’eau ?
Un projet de réaménagement de l’Aron autour du plan
d’eau est en réflexion !!
Pourquoi un tel projet ?
Comment souhaitez -vous qu’il évolue ?
Quelle utilisation de l’argent public souhaitons-nous ?
Ayant participé au dernier conseil d’administration du
Syndicat de Bassin de l’Aron, beaucoup de questions
ont été posées et seules 2 hypothèses sont étudiées
alors que d’autres pistes existent.
Pour mieux en comprendre toutes les conséquences
nous vous proposons de chausser vos bottes et de nous
retrouver sur le terrain à l’origine de ce projet :
Samedi 11 janvier à 10 h sur le parking de la piscine
Bien cordialement
Michel Beaugas, Alain Lepont, Dominique Rouault
Etat des lieux... Echanges fort courtois et respectueux des différents avis... Propositions...
La suite?
Wait and see. Mais je crois que samedi les gens ont vécu un beau moment de démocratie participative.
Ah! Quand les citoyens se prennent en main...
Heu-reux!
Ce billet sera court...
Parce que j'ai juste envie d'exprimer ma joie d'avoir pu reprendre mon VTT électrique... après plus de 8 mois d'interruption.
En cause? Une prothèse d'épaule qui nécessitait de ma part une trêve dans mes activités pédalistiques. Avec cette incontournable recommandation: "Il ne faudra pas chuter... Pas chuter... comme ce funeste 16 janvier 2016"
Mais aujourd'hui, nombre de paramètres permettaient d'envisager une sortie.
Il m'a fallu juste surmonter une petite appréhension ... Serais-je encore en mesure de...?
Et ensuite ré-apprendre à utiliser les outils tels que Endomondo... La remise à zéro du capteur fixé au guidon... C'est fou ce qu'on oublie vite.
Mais après quelques tours de roue, j'ai vite retrouvé de bonnes sensations. C'est ainsi que, parti pour tester quelques km, au fur et à mesure, j'ai eu envie d'aller au Montaigu... avec grimpette jusqu'à la chapelle.
Un cliché... Un bon bol d'air frais... Et descente vers Hambers. Mais là, je n'y tiens plus: il me faut absolument rendre visite à mon copain le soldat romain de Jublains.
C'est fou comme il semblait content de me revoir... Et moi alors!!!
Il reste que le géocacheur qui sommeille en moi a trouvé utile de fourrer sa xxxx dans la xxxx de ce fameux soldat, afin de vérifier que la cache dont il a hérité se trouvait bien là... (lien supprimé suite à la réaction du poseur de la cache)
Retour à Hambers, et direction le château de Montesson... Un incontournable. Le classique des classiques.
Au passage, vérification de la cache que j'ai posée à sa proximité.
Et puis retour au bercail... avec 28.39km au compteur. Ah, j'avoue avoir été dispendieux au niveau consommation des électrons... mais il me restait tout de même encore 43km d'autonomie en aide max... J'avais donc de la marge.
Au final? Ben c'est un bonhomme
HEU-REUX
qui a terminé ce premier parcours de l'année.
En espérant qu'il y en ait beaucoup d'autres à suivre!
Meilleurs voeux pour 2020
Amies lectrices...
Amis lecteurs de ce blog...
Où que vous soyez, habitué(e)(s) ou pas à ma prose...
Je vous adresse mes meilleurs voeux pour cette année "à roulettes"
Pensez!
Deux deux, et deux zéros,
ça fait presque un vélo!
Ce qui m'amène à me souhaiter personnellement la possibilité de ré-enfourcher le plus tôt possible mon fier coursier qui se languit dans un coin noir de mon sous-sol.
Vous savez... cet engin qui comporte une batterie et un moteur électrique, avec lequel je par(tai)s dans la campagne afin d'y découvrir tout un tas de bidules plus insignifiants les uns que les autres... et que je vous "oblige(ais)" à partager!
Bonne année à toutes et à tous!
L'art de la céramique
C'est la belle nuit de Noël...
Chez nous, le père Noël a déposé quelques cadeaux au pied du sapin.
Parmi lesquels ces très jolis mugs en céramique...
Les deux aux tons verts pour mon épouse, les gris pour moi...
"Mais, me direz-vous, où se les était-il procurés?"
Enfin... voyons!
Ne savez-vous pas que la compagne de notre fils s'est installée à Evron, rue de la Fontaine, et qu'elle crée des pièces uniques? Reconnaissables entre autres grâce à sa signature siglée...
Toujours est-il que ce cadeau nous a vraiment fait plaisir.
Avant de conclure, je voudrais juste vous rapporter une petite anecdote...
Sophie nous racontant, lors du réveillon, qu'il y a quelques jours, elle a vu "débarquer" dans son atelier-boutique deux dames... fort intéressées par ses productions. Semblant (de plus) être fines connaisseuses en matière de céramique.
Et au fil de la conversation, elle apprend que les visiteuses ont eu connaissance de cet atelier via Instagram...
Qu'elles ont ont fait le déplacement de Paris vers Evron exclusivement pour "l'atelier de Sophie"... d'où elles sont reparties avec quelques pièces dans les bagages... non sans avoir mentionné: "On reviendra!"
A l'occasion, n'hésitez pas à faire comme les dames évoquées ci-dessus.
Poussez la porte de son atelier, qu'elle se fera une joie de vous faire visiter!😊
La Mayenne est en crue
Passant par Mayenne cet après-midi afin d'y pratiquer le géocaching...
J'ai pu me rendre compte que la rivière était "grosse".
Le halage comportait de nombreuses interdictions de circuler.
Spectacle impressionnant. Mais pas étonnant quand on se rappelle le mois pluvieux que nous avons connu.
L'écluse N°1 de la rivière est submergée...
Chat alors...
En cet automne finissant top généreux en pluie, il est des jours où je suis bien content de trouver une occupation "au sec".
Cela faisait un certain temps que je voulais confectionner des queues personnalisées, voire amusantes... pour agrémenter les dérives de mes girouettes moulins à vent.
Et en feuilletant des sites "spécialisés" en fichiers 3D, j'avais trouvé un coq... imprimable tel quel.
Je ne me suis donc pas privé de mettre mes imprimantes en action...
Mais... ce ne constituait qu'une étape dans ma démarche! Parce que je voulais absolument obtenir... "mieux"... surtout que j'avais lorgné une image sur laquelle figuraient le Petit Prince et son Renard...
Mais comment passer de cette image à un fichier en 3D?
C'est alors que je suis reparti à la chasse aux tutos concernant un logiciel que je maîtrise fort mal, j'ai nommé Sketchup
Et j'ai trouvé mon bonheur. On y expliquait qu'il suffisait(?) de photographier l'image envisagée... de la convertir au format bitmap (bmp)... puis après avoir ouvert Sketchup, d'effectuer un import en précisant les dimensions voulues...
Après quoi... ben faut jongler avec le traceur de trait, celui qui permet de réaliser des courbes... par dessus l'image qui va servir de calque. Un peu de patience, quelques retours vers les tutos... et on obtient un "volume"... que l'on va exporter au format stl... celui que mes imprimantes digèrent facilement. Et avec une certaine fierté, on obtient...
Encouragé par ces débuts prometteurs, je me suis mis en tête de reproduire les chats qui ornent la nappe de notre salle à manger...
Même démarche... Photo... convertie en bmp... envoyée dans Sketchup... On décalque par dessus... Et ça donne...
Sauf qu'il y avait un autre matou pas très loin, avec la queue bien en l'air. Et que celui-là me tentait bien itou.
Même démarche: photo, passage par bmp, envoi vers Skecthup, export au format stl...
Et ayant acquis une certaine maîtrise à propos du processus, quelques minutes plus tard... fier de son chef d'oeuvre (Enfin, restons, modeste!)
C'est ainsi que j'ai encore progressé dans la modélisation de certains objets.
Oh, je sais, il me reste beaucoup à découvrir dans ce domaine qui m'était totalement étranger il y a encore quelques mois.
Mais comme dit ma charmante moitié: "Quand t'as kekchose dans la tête... Faut qu't'ailles jusqu'au bout, hein?)😊
Elle doit bien me connaître!!!
Je n'ai plus qu'à adapter ces figurines à la queue de mes petits moulins... mais un jour où il ne pleuvra pas des cordes et où le vent se sera calmé!!!
Complètement givré...
Lorsque ce matin, après avoir levé les paupières de ma maison... j'ai collé le nez au carreau, j'ai vu... pas plus loin que le bout de mon nez... ou presque!
Le brouillard avait tout pris dans ses filets.

Et comme le thermomètre jouait à qui ferait le plus froid, tout ce petit monde était complètement givré.
Givré? Il fallait assurément l'être pour s'aventurer au bout du balcon, transformé pour l'heure en véritable patinoire!
Mais quand on aime... n'est-ce pas?
Je me suis donc amusé à prendre quelques clichés...
En faisant bien attention à ne pas me retrouver dans les décors!
J'ai même poussé la témérité(?) jusqu'à descendre sur la rue afin de rendre visite à ma petite rose trémière jaune... intrépide, qui ne veut pas mourir avec cet automne finissant.
Aurait-elle l'intention de jouer les roses de Noël?
Et puis remontant l'allée qui contourne la maison, un clic par-ci, un clic par-là...
Et après avoir effectué ma cueillette, je suis rapidement rentré me mettre au chaud!
Non sans avoir remercié les araignées sans lesquelles je n'aurais pas eu le loisir d'admirer les oeuvres!
Brouillard sur Bais
En ce dimanche matin où le vent semblait avoir pris des vacances... Un brouillard épais noyait tout ce qui lui tombait sous la main.
Puis, petit à petit, j'ai commencé à voir un peu plus loin, et encore un peu plus loin.
Mais la crasse s'accrochait avec ténacité sur le bois de Mirebeau...
Pourtant, dans la mesure où le processus de "décrassage" s'amorçait lentement, après avoir enfourné deux modèles dans la voiture, j'ai quand même tenté une escapade vers le Montaigu.
Sauf que, pas vraiment surpris de la situation, je me suis arrêté prématurément au chemin de la Beslière afin de réaliser quelques clichés. Parce que j'avais pris la précaution d'emporter un numérique.
Le bourg de Bais apparaissait englué dans une ouate mollasse.
Seul le château de Montesson pouvait se vanter d'être un peu sous le soleil...
Avec ces quelques clichés "dans la poche", je suis tout de même allé jusqu'en haut... pour me rendre vraiment compte que l'on n'y voyait goutte, et qu'il aurait été suicidaire de faire évoluer un modèle que la masse brouillardeuse risquait d'avaler en un instant.
J'ai donc pris encore quelques photos..
Puis je suis redescendu me mettre au chaud.
Peut-être que dans l'après-midi?
Causerie de Sainte Gemmes
Est-il nécessaire de redéfinir la genèse de ce projet dont j'ai beaucoup parlé sur ce blog? Si cela vous a échappé, il suffira de parcourir quelques pages et vous retrouverez.
La date fatidique avait été fixée au vendredi 15 novembre.
Nous nous sommes donc retrouvés à la salle en milieu de matinée, où quelques bénévoles efficaces ont mis la main à la pâte afin de "décorer" les murs comme s'il s'agissait d'une classe.
Il faut dire que nous avions de la matière! Nombreux prêts de particuliers, cartes murales provenant de l'école de Bais, ainsi que quelques pépites issues du Musée de l'Ecole Publique à Laval, que nous remercions chaleureusement. http://www.museeecole-laval53.fr
Dont ce "monument" que madame Heinry a accepté de nous confier... sans avoir émis quelques grosses réticences!
Fin de journée... Repas pris en commun avec les membres de cet actif "Point Lecture".
Et on retourne à la salle... Devant la porte de laquelle nous attendent déjà quelques personnes.
Et puis les gens arrivent... arrivent... arrivent. Il faut rajouter des chaises! Mais le flot finit heureusement(?) par se tarir... Avec une salle pleine comme un oeuf!
Prévue à 20 heures, la séance débute après son traditionnel petit quart d'heure mayennais.
Responsable au service lecture de la Communauté de Commune des Coëvrons, Fabienne Gosselin présente la sympathique équipe de Sainte Gemmes dont Sylvie Plard nous donnera quelques détails supplémentaires.

Lui qui est allé "pêcher" son ami Pierre Candela afin de jouer la comédie d'un soir...
Et vous voilà en présence du trio infernal!
Lorsqu'on me donne la parole, j'annonce d'entrée de jeu:
"Nous sommes heureux de vous accueillir ce soir pour ce spectacle sans doute original... Mais, parce qu'il y a un MAIS, si vous considérez que les acteurs sont minables, inutile de leur jeter des tomates... Ou bien si vous pensez que... Ajoutez-y des carottes, des patates et autres poireaux afin que nous puissions confectionner une bonne soupe! Et arrangez-vous également pour qu'il s'agisse de légumes bio! Quant à réclamer sur l'air des lampions REMBOURSEZ! REMBOURSEZ! On ne vous a pas réclamé un seul centime, alors soyez sérieux!"
Le ton était donné.
Nous avions prévu un scénario... et afin d'assurer le coup, Pierre s'était confectionné un "prompteur" papier.
Moi, j'avais voulu faire dans l'anachronisme complet en me fiant à du matériel "moderne"... comme au journal télévisé! Un bel ordinateur portable de marque Asus!
Sauf que... cela ne m'a pas empêché de me planter... ce qui a occasionné quelques sueurs froides à mon "élève"... que je sentais parfois un peu perdu. Merci à lui d'avoir remis "le maître" sur les rails!
Maître qui ne pouvait en aucun cas prétexter avoir froid aux pieds!
Tout s'est enchaîné jusqu'à l'arrivée de la fatidique dictée! Que serait en effet la reconstitution d'un temps d'école sans cet autre monument de l'instruction nationale?
A cet effet, j'avais choisi un texte du vrai-faux Mayennais qu'est Jules Renard. Né par hasard en Mayenne à Châlons du Maine où son père était venu pour conduire les travaux de la voie ferrée Laval-Mayenne-Alençon... avant de repartir dans l'Yonne, où notre ami Jules deviendra maire après son père à Chitry les Mines.
Je lis le texte... La poule... que j'interromps juste après: " Elle ne boit que de l’eau"... ajoutant: ELLE! Tout en pointant le fameux tableau sur l'alcoolisme! Salve de rires dans la salle.
Puis je dicte:
" Pattes jointes, elle saute du poulailler, ...
dès qu’on..."
Hésitation de l'élève au tableau... qui finit par écrire...
"Pattes jointes, elle saute du poulailler, dès qu’on lui ouvre la porte."
"Crois-tu que Jules Renard aurait apprécié que tu maltraites ainsi son texte?"
On laisse tomber la dictée pour passer à des interprétations de Pierre extraites du livret "Le Corbeau et le Renard"... confectionné par mes élèves de 1991... ayant imité l'idée émise par Raymond Queneau dans "Exercices de Style", où l'auteur reprend le même fait divers rédigé de façon différente.
Puis "Onomatopées"... On change d'auteur avec une fable intitulée "la mouche..."
Tout se poursuit jusqu'à l'évocation de mes lutins qui, disais-je, corrigeaient mes cahiers durant la nuit...
Pour en arriver à l'épilogue. Au cours duquel Pierre me dit qu'il sait des choses, confiées justement par les lutins... Me tendant alors une feuille sur laquelle se trouve un texte dont le titre contient un mot valise: Désoraison funèbre.
Et mon élève d'un soir demande à son maître de bien vouloir lire...
Je m'exécute.... Puis le rideau tombe... Fin du spectacle.
Gérard demande alors aux spectateurs s'ils ont envie de s'exprimer...
Vont ainsi se succéder différents intervenants dont notre madame de Sévigné... Puis Laurent, qui n'hésitera pas à se positionner devant le public, pour raconter ses souvenirs: les planeurs, l'interdiction des cutters, les lutins , les caranougats...
S'exprimeront ensuite Charles, avec des souvenirs d'une précision étonnante, dont l'épisode de la grue incongrue.
Puis son cousin Thomas...
Et la soirée s'achèvera par un atelier écriture à la plume alors qu'à l'autre bout de la salle les bénévoles proposaient un coin boisson/brioche.
Si je devais dresser un bilan de cette soirée, je m'en remettrais uniquement à un mail reçu le lendemain... ainsi libellé:
Merci à vous tous pour cette belle soirée. Nous avons passé un agréable moment en votre compagnie. Que du bonheur!
D'après les échos, tout le monde a apprécié!
A+ Josiane et Patrick
Me permettrais-je d'ajouter que même les acteurs y ont pris un énorme plaisir...? La preuve:
Merci à mon cousin Pascal, que j'avais chargé de jouer les reporters... Ce qui m'a permis d'illustrer abondamment le billet du jour.
Merci également à tous les acteurs de cette fantaisie d'un soir!
Grands moments... que le vieux maître d'école n'est pas près d'oublier!
PS: si certains faits évoqués dans ce texte ont pu vous échapper, je ne saurais trop vous conseiller d'acquérir le livre qui est à l'origine de cette "causerie".
Disponible via internet chez l'imprimeur: https://www.thebookedition.com/fr/chroniques-d-un-instituteur-original-p-347512.html
Ou par mon intermédiaire.
Le philosophe
Ah... j'vous vois venir! Vous allez me demander pour quelles raisons mon billet du jour s'intitule sobrement "le philosophe"?
Mais c'est que je ne vous répondrai pas tout de suite... Dans cette fichue époque caractérisée par l'immédiateté, j'veux tout et tout de suite, il faudra vous montrer quelque peu patient(e)(s).
Figurez-vous que je me nomme Muñoz avec la tilde sur le "n"... Ce fichu caractère graphique que les scribouillards de l'Etat Civil n'ont jamais su interpréter!
Mais qui fleure bon l'Espagne dont sont originaires mes ancêtres tant maternels que paternels.
Entourant ma mère, mes grands-parents maternels... Lui, né José-Bernardino Duarté, et elle Antonia Sanchez.
Et que dans la province de Murcie j'y ai encore des cousins, résidant à Puerto Lumbreras.
C'est ainsi qu'un jour j'ai reçu une invitation via Facebook... à laquelle j'ai répondu favorablement.
J'aime bien recevoir des nouvelles de là-bas. Surtout que ma cousine Fatima rédige ses textes en espagnol, cela me permet de garder agréablement contact avec la langue.
Voilà donc où je veux en venir: ce matin, je vois s'afficher l'image d'un type avec une cartouchière.
Avec un texte en surimpression... Pour lequel je me suis fait un plaisir d'effectuer la traduction afin de la balancer en commentaire. Et ça dit quoi?
« Prends une assiette et jette-la par terre.
- Prêt.
- Elle est brisée?
- Oui!
- Alors maintenant tu lui demandes pardon.
- Pardon!
- Est-ce qu'elle est redevenue comme avant?
- Non!
- Alors , t'as compris?🤓 »
J'y ai alors ajouté, en espagnol...
Estas son palabras que mi abuelo podría haber pronunciado. Lo que algunos apodaron al filósofo.
Mais, vous allez vous récrier en m'envoyant: "Je ne comprends rien à la langue de Cervantès!"
Rassurez-vous, je vais faire en sorte que...
Mais auparavant j'aimerais vous dire que nous avons eu la chance de bénéficier d'un grand-père maternel d'une qualité rare. Ce que ma soeur Marie-Jo a immédiatement traduit de cette façon:
Ce sont des paroles de sage !!!!! le grand père en disait beaucoup et on adorait l'écouter....... nous les dire au fond du jardin assis sur un billot de bois 🙂
Quels merveilleux souvenirs !!!
Notre grand-père n'avait pu bénéficier d'un grande scolarité. Mais il était autodidacte. Curieux de tout... et fin penseur.
Subtil conteur qui nous susurrait de courtes histoires identiques à celle que je vous ai rapportée à propos de l'assiette brisée.
Nous l'écoutions presque religieusement... Mais la teneur de son récit avait pour but d'engager un dialogue... pour nous amener à réfléchir.
Etait-ce en quelque sorte de la philosophie appliquée?
Sans doute... Ou alors il faudra qu'on m'explique pourquoi ses collègues entrepreneurs de carrières...
De plus ou moins modestes casseurs de cailloux l'avaient surnommé... le philosophe!!!
Ai-je maintenant besoin de vous traduire la phrase mentionnée plus avant dans ce texte?
Estas son palabras que mi abuelo podría haber pronunciado. Lo que algunos apodaron al filósofo.
En voici tout de même la traduction:
Ce sont des paroles qu'aurait pu prononcer mon grand père.🤓 Que certains avaient surnommé le philosophe.😊
A vous maintenant de réfléchir quant à la leçon que l'on doit tirer de cette assiette brisée...