Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué
Ce matin, on m'a transféré un mail... dont je connaissais déjà la teneur; mais je ne peux résister au plaisir de vous faire partager les inepties pondues par des gens qui n'ont sans doute jamais mis les pieds dans une classe.
Rédiger et fabriquer des définitions tarabiscotées, ampoulées, pédantes, pour le plaisir, à la manière de Jules Renard par exemple...avec comme arrière-pensée de s'approprier le fonctionnement d'un dictionnaire... je ne m'en suis pas privé, et mes élèves étaient conscients du jeu... très formateur.
Mais dans le cas présent?
Je vous laisse découvrir, parce que ça vaut son pesant de crème fortement épicée destinée à relever les plats, autrement dit, ça vaut son pesant de moutarde.
Bonne lecture!
Obsolescence programmée et repair café
Obsolescence programmée? Koitesse?
Sous ce vocable un peu hermétique se cache une pratique utilisée par les industriels afin de raccourcir le temps pendant lequel on pourra utiliser leurs appareils, avant qu'ils ne soient bons à mettre au rebut.
Pratique quelque peu amorale et qui me hérisse.
J'avais déjà traité le sujet..
.http://bernardino.over-blog.net/article-obsolescence-programmee-83622877.html
Mais pourquoi donc est-ce que je reviens à la charge?
Tout simplement en raison de deux "articles" entrés en conjonction et découverts dans mon quotidien Ouest-France.
Le premier évoque la mise en place prochaine d'un "repair" café à Mayenne.
Redonner vie à ses objets et les faire durer avec une approche citoyenne... Beau programme, n'est-ce pas?
Je vous laisse le soin d'en prendre connaissance plus en détails. (cliquer sur l'image afin de la faire apparaître en plus gros à l'écran)
Le second document? il émane directement d'un fabricant de pneus bien connu en France... et à l'étranger; je veux parler de Michelin.
Qui dit NON à l'obsolescence programmée, jusqu'à en faire un argument publicitaire!
Il fallait oser...
Là encore, je vous laisse le soin de découvrir la jolie "publicité que nous propose le manufacturier de Clermont Ferrand... qui ajoute même à ses arguments le côté écologiste qui va bien!
Le vert écolo... vertueux!
Mais pourquoi ferait-on la fine bouche face à une telle démarche?
Pour ma part, je souhaiterais voir fleurir une foule de "repair café's".
Cela pourrait même constituer mon voeu pour l'année à venir... et toutes les autres d'ailleurs!
Sans plaisir...
Il est des jours où...
On sent bien que la motivation n'est pas au rendez-vous.
Et pourtant, mon épouse me dit:
"Tu ne profites donc pas du beau temps? Tu pourrais aller faire voler, ou bien prendre ton VTT... Non?"
Ben il a fallu que je me force très fort, très très fort, pour que je me décide à sortir mon vélocipède électrique.
Et je suis parti sans ambition, avec la toute petite intention de n'effectuer qu'un mini tour.
Direction Le Montaigu.
Peu sensible au lotissement des Petits Champs, le vent de Nord-Nord-Est se montre réellement présent. Et bien que protégées par des gants, mes mains picotent.
Virage de la Caillardière, juste avant d'attaquer le raidillon... changement de vitesse... crac, la chaîne qui saute!
Un peu plus loin, je manque de perdre mes oreillettes qui, par miracle, tombent au sol sans être passées dans les rayons...
Au parking, assis sur un banc et à l'abri du vent, je profite "gourmandement" du soleil.
Et puis je décide de redescendre via Hambers... Mais, par moments, le fichu vent me prend pleine face.
Sur un cahot, l'un des supports fixés au guidon se fait la malle...
Que dire du retour au bercail? Il me semble long, fort long, même si je prends le temps de jouer avec mon ombre...
Hé... On se divertit comme on peu, n'est-ce pas?
Arrivé à Bais, je m'offre un petit détour vers le plan d'eau... là où l'air est calme.
Et je boucle enfin mon circuit, avec le désagréable sentiment de n'avoir pris aucun plaisir!
Bof, on fera mieux la prochaine fois!
Parce que...
Parce que ce matin le soleil pointait le bout de son son nez...
Parce que ce matin j'avais envie de prendre l'air...
Parce que ce matin j'avais en tête des souvenirs qui me rappelaient mon ami JiPé...
Parce que ce matin...
Parce que...?
J'ai donc enfourné dans ma voiture deux modèles qui figuraient parmi son arsenal.
Modèles qui présentent l'avantage de se promener dans mon véhicule tout montés... Avantage non négligeable, surtout quand il fait froid!
Et je suis parti vers le Montaigu... mon endroit quasi mythique.
Pour découvrir que, par rapport aux communes environnantes, je me trouvais au-dessus de la mêlée... engluées qu'elles étaient dans une sorte de brouillard rampant.
J'ai d'abord envoyé en l'air la petite aile volante Xéno... Avec de nouveaux réglages"kivontbien"...
Et puis ce fut au tour de l'élégant biplan Gémini.
Une sorte de cheval sauvage, un mustang surmotorisé, qui permet des montées verticales en tonneau jusqu'à plus soif!.
Qu'il m'a fallu poser afin -justement- de calmer le mordant des gouvernes par ajout d'exponentiel sur l'émetteur.
Et puis quelque peu anesthésié par l'humidité et le froid ambiants, j'ai décidé de rentrer au bercail.
Non sans avoir reçu le salut des ruminants locaux...
Avec toutefois une courte -et traditionnelle- étape au parking, pour mieux me rendre compte à quel point la plaine d'Evron se trouvait noyée dans le brouillard...
Et je suis rentré me mettre au chaud devant un gentil feu de cheminée...
Parce que...
Parce que cela n'avait rien de bien extraordinaire en ce dimanche qui sent déjà l'hiver...
Ou comment j'ai failli devenir Xéno-phobe
Xéno... Xéno... issu du grec xenos= étranger.
Sauf qu'en ce qui me concerne, je veux parler d'une aile volante commercialisée autrefois par Multiplex. Et actuellement en rupture définitive.
La mienne a une histoire, puisqu'elle appartenait auparavant à mon ami JiPé... qui nous a malheureusement quittés beaucoup trop tôt.
Je m'étais donc mis dans l'idée de faire revivre la bestiole... en hommage à mon inséparable JiPé.
Mais, parce qu'il y a un "mais", cette aile en mousse avait subi sans doute des atterrissages quelque peu musclés. Stigmates très visibles sur l'aile droite.
L'astucieux système de pliage afin de faciliter le transport.... ben il ne respirait pas non plus la santé.
Je me suis mis au travail.
Ne dit-on pas que masticage et ponçage sont les deux mamelles du modélisme?
Et puis de production poussière en production de poussière, la restauration du modèle n'avançait guère.
J'ai décidé de mettre provisoirement le chantier en stand-by.
Egalement parce que je voulais motoriser la Xéno, et que je ne trouvais pas de solution satisfaisante... sans avoir à débourser une somme rondelette.
Sur Thingiverse, j'ai fini par dénicher un support moteur, qui était en mesure de recevoir un brushless récupéré sur un Easy Glider MPX. ( (Permax BL-0 2830-1100) )
Mise en route de l'imprimante 3D... et quelques instants plus tard, j'attaquais le montage sur la bestiole.
La partie réception rentre... mais j'ai préféré laisser le contrôleur à l'air libre, afin qu'il soit "refroidi" convenablement
Et puis je suis parti sur le terrain.
Vérification du sens de débattement des gouvernes. Allez savoir pourquoi! Elles étaient toutes à l'envers... sauf le moteur!
Quelques pianotages sur l'émetteur Taranis 9XE...
Puis, réglages effectués, je mets l'ensemble au bout de mon bras... moteur démarré... et ça ne tire guère.
Mieux vaut donc changer d'hélice.
Mais impossible de dévisser l'écrou... jusqu'à ce que l'arbre en alu me pète dans les pattes.
Retour à la maison. Fouinage dans mon fouillis. Et je trouve de quoi remplacer le porte-hélice.
Je troque la 6x4 par une 8x6. Elle consommera davantage... mais du moment qu'elle entraîne mon "oiseau"!

Retour sur le terrain.
Là, ça semble pousser.... mais justement sous l'effet de cette fameuse poussée, l'extrémité des pales grignote un peu le bord de fuite... Un petit coup de cutter apportera vite un remède à cet 'inconvénient.
Après quoi, allons-y donc pour un premier lancer... souvent hasardeux sur les ailes volantes... et Xéno n'échappe pas à la règle! Elle s'affale quelques mètres plus loin...
Je relève alors un peu les élevons...
Deuxième essai... ça va un peu plus loin...
Mais il m'aura encore fallu quelques autres tentatives avant de voir Xéno quitter (enfin) la planète.
En vol?... les commandes sont lourdes... Le test du piqué révèle un centrage avant, très avant. Désagréable...
Atterrissage, et je retire le plomb que j'avais inséré dans le compartiment avant.
Re-décollage... c'est mieux... mais c'est pas encore ça.
Là, moi qui pensais être Xéno-phile, je commence à envisager de devenir Xéno-phobe tant la bestiole semble complètement étrangère à me procurer le moindre plaisir!!!
Retour à l'atelier... changement de l'accu 2100 mA 3S par un 1500 plus léger.
A ce propos, vous n'aurez pas été sans remarquer que, au fil de mes essais, la bestiole a subi une sérieuse cure d'amaigrissement, passant de 950 grammes au début des tests à 815 grammes. Soit 135 grammes de moins! 17% de la masse initiale... C'est pas rien!
Mais cela reste encore nettement au-dessus des chiffres annoncés par Multiplex avec ses 690 grammes en version tuning!
Beaucoup plus "légère" au bout des manches et en vol, cette fois, la petite Xéno commence à me plaire.
Pour 5 minutes 21 de moteur, j'ai obtenu 15 minutes de vol... et la batterie contient encore 45% d'électrons!
Certes, la motorisation adoptée ne fournit pas une montée aux arbres, mais elle est très correcte. Le vol plané me plait bien... et devrait se trouver augmenté lorsque j'aurai fait en sorte de bloquer l'hélice quand le moteur n'est pas sollicité... car en la laissant tourner dans le vent relatif, j'ai un "magnifique"(?) aérofrein qui perturbe bien évidemment les performances.
Et alors, maintenant?
Je pense que je vais enfin terminer le ponçage de l'intrados... ajouter quelques motifs colorés par-ci par-là...

Et, tout en me remémorant les joyeuses séances en compagnie de mon ami JiPé, je serai (re)devenu carrément Xéno-phile!!!
A la mémoire de...
Bien curieux titre, n'est-il pas?
Et qui mérite par conséquent quelques éclaircissements.
J'avais un ami, un frère.
Un grand gaillard à qui j'aurais volontiers acheté la santé et la force physique.
Jusqu'à ce que une saloperie de crabe finisse par le détériorer complètement.
Il s'en est allé courant septembre.
Et l'urne contenant ses cendres a été immergée entre Granville et Chausey... là où il a tant de fois navigué avec le bateau de son oncle.
Et puis il y avait tout son matériel de modélisme. Pour lequel sa veuve souhaitait qu'il soit réutilisé et qu'il revive par le biais des membres de notre club, dont il avait été un élément incontournable.
Hier, donc nous sommes partis, Stéphane et moi, afin de rapatrier l'important stock de planeurs et avions de toutes sortes.
Au moment de décharger sa camionnette dans le local du club, Stéphane m'a incité, que dis-je? Il m'a presque forcé à embarquer deux biplans, en arguant du fait qu'ils seraient nettement mieux entre mes mains expertes. Et que jiPé serait ravi de savoir...
Bref...
J'ai fini pas céder.
Et ce matin, j'ai entrepris de remettre l'un des modèles en état de vol.
Ce qui ne fut pas très long.
Début d'après-midi, j'ai filé vers mon lieu de vol habituel, à savoir le Montaigu.. et j'ai mis les gaz.
Le petit Gémini a décollé sans problème.
Un atterrissage afin d'effectuer quelques réglages mineurs...
Et puis encore un autre... Jusqu'à ce que je pose définitivement avant que la batterie de propulsion ne me lâche.
Et puis je suis resté là... comme prostré... longuement, à re-visionner mentalement de nombreuses images...
D'autant plus que c'est à cet endroit précis que nous avions effectué, JiPé et moi, notre dernière séance de vol en commun.
Voilà, mon bon JiPé, ton Gémini a repris vie... avec beaucoup d'émotion.
Qu'il puisse le plus longtemps possible sillonner le ciel...
En ta mémoire.
Le Héron en patois mayennais
Dans la mesure où les habitants de mon village connaissent mon penchant pour ce fameux patois, il y a peu de temps, je me suis vu offrir quelques feuillets sur lesquels se trouvaient des fables de La Fontaine...
Elles avaient été rédigées par un ancien instituteur nommé Abel Royer. Je me suis donc amusé à les travailler afin de les lire aussi correctement que possible...
Et puis j'ai fini par enregistrer le Héron, que tout le monde connaît fort bien.
Mais j'ai éprouvé d'énormes difficultés d'abord au montage...
En effet, je n'ai pas réussi à faire en sorte que le texte apparaisse tout le temps sur la vidéo... plantage systématique!
Et quand il a fallu déposer le fichier sur sur le Net... ben ça n'a pas été non plus de la tarte.
Par conséquent, si vous voulez suivre le texte à l'écran... Il faut rester sur l'affichage du blog...
Bonne écoute!
Technique de la multiplication... et pédagogie.
Voilà-t-y pas que ce matin, je découvre dans mon journal Facebook une page proposée par une ancienne élève...
Son sujet? Comment les petits Japonais apprennent-ils la multiplication?
Il m'est arrivé d'introduire cette technique dans ma classe. Par jeu... sans doute.
J'avais fourni aux élèves un document expliquant la méthode... Et répartis en groupes, ils devaient comprendre, puis appliquer, essayer, réussir, souvent après quelques errements. (formateurs!)
Moi... stoïque. Je laissais faire, observant les uns et les autres.
Bien sûr, face à certains enfants quelque peu désorientés, j'eus à fournir le but de ma démarche. Mais connaissant mon goût pour la façon dont on peut se "décaler", d'autres avaient compris ma logique.
"M'sieur, on a l'impression de jouer, mais qu'est-ce qu'on bosse! Et avec plaisir!!! sic)
Ma manière d'enseigner n'a pas vraiment suscité d'inquiétude particulière chez les parents, d'autant plus que les élèves sortant de notre école jouissaient d'un bonne réputation au niveau du collège local. Mais inévitablement, j'ai eu droit à quelques questions.
Pour faire aussi simple que possible.
Cette méthode ne constituait pas une fin en soi. Elle me permettait de mettre les enfants dans une situation d'apprentissage non frontale. Le travail en groupe prend alors toute sa dimension, avec les débats internes qu'elle provoque inévitablement. Argumenter, écouter les autres, prendre parti, et dire pourquoi... Comportement civique n'est-il pas?
Comprendre aussi qu'il n'y pas qu'une seule forme de pensée... Que d'autres peuvent procéder différemment... et que ce n'est pas condamnable.
Que cette "nouvelle" méthode peut également être un palier permettant aux élèves en difficulté de parvenir à la réussite...
Je pourrais ainsi disserter assez longuement sur le sujet. Moi à qui on avait proposé de devenir conseiller pédagogique...
Et avec tout ça?
L'un des mes autres objectifs était de faire rédiger une fiche d'évaluation qui réflèterait le vécu du groupe classe.
Avec rédaction d'une fiche au bas de laquelle on trouverait deux colonnes, l'une destinée aux avantages, l'autres aux inconvénients présentés par cette technique.
Et tout au bas: Conclusion.
Je me rappelle grosso modo de ce qui en découlait.
Les gamins avaient trouvé ça très marrant. D'où il ressortait que si la méthode nippone n'exigeait que la connaissance de l'addition, la méthode occidentale nécessitait d'apprendre ses tables...
Mais que la méthode enseignée dans les classes françaises était nettement moins gourmande en papier et en temps! Surtout lorsqu'on sortait des nombres ne comportant que peu de chiffes.... plus proches du 1 que du 9!
Dommage que je n'aie pas eu la sagesse de conserver les documents en question... comme tant d'autres d'ailleurs.
Regrets que j'ai encore plus éprouvés lors de la rédaction de mon petit livre "Chroniques d'un instituteur original".
Et puis... ce que je viens de vous narrer ne serait-il pas une des raisons pour lesquelles on me qualifiait d'instituteur original?
Ah, j'allais oublier! La méthode nippone. Après quoi, vous serez en mesure de vous faire votre propre opinion... Tout comme pour mes élèves.!
Quand j'atteins 400 caches
Cela faisait déjà un bon moment que je n'étais pas parti à la chasse aux caches.
Et mon compteur était bloqué légèrement au-dessous de la 4ème centaine.
Bien que je ne sois pas obnubilé par tout ce qui est score, l'envie d'atteindre un compte rond me trottait pourtant dans la tête.
Mais, dans la mesure où j'ai écumé les sites proches de mon domicile, il me faut forcément élargir mon champ d'action.
Je me suis donc penché sur la carte, pour m'apercevoir que quelques caches venaient de voir le jour pas très loin de chez moi...
Décision est prise: j'irai débusquer celles-là, et je poursuivrai mon chemin en direction du plan d'eau d'Argentré, là où je pourrai également effectuer une petite marche.
(Carte en fin d'article)
Evron... une magnétique signalant un point d'histoire locale:
Évron, dans la nuit du 13 au 14 juillet 1941. Devant la Kommandantur, actuelle Caisse d'épargne, cinq jeunes Évronnais remplacent le drapeau nazi, par les drapeaux français et anglais.
Direction Brée... et la vierge de la chapelle Sainte-Croix.

:
Cela fait 2 découvertes, portant mon score à 392.
Arrivée dans le bourg d'Argentré. Derrière la mairie... où je ratisse de nombreuses feuilles avant de mettre la main sur une tronçon de noisetier contenant une capsule.

Descente vers le plan d'eau. Et j'entame le circuit par la droite... pour trouver une, puis deux boîtes.(sourires du personnage en jaune) Mais je suis stoppé dans mon élan par les importants travaux d'enrochement des berges.
Impossible d'accéder à la langue de terre située entre le lac et la rivière...
Je suis donc obligé de laisser 4 caches inexplorées. (en vert sur la carte)
Mais comme je dispose encore d'un peu de temps, je décide de filer vers La Chapelle Anthenaise...
Où je serai bredouille avec la cache "Chapelle saint Aubin"... (tête en bleu sur la carte)
Je n'ai pas trouvé l'outil dont parlait le poseur... Ou alors je n'ai pas compris l'indice... Toujours est-il que je dois être le premier DNF... (Did Not Found... N'ai pas trouvé)
L'église, cache magnétique...
La Croix Hosannière présente une cache "hydraulique" fort sympathique.
Près du centre Eugène Ionesco, une petite boîte accrochée dans un arbre...
Et je décide de rentrer.
Sauf que pas très loin de mon chemin retour...
Allez, encore une au château de Gresse, avec un camouflage pierre... mais au pied de la croix, il y a pierres et pierre!
Une petite dernière? direction le château d'Anthenaise, avec une magnétique planquée tout en haut d'un poteau.
Et c'est une fois rentré chez moi que, visionnant le site geocachim.com, je m'aperçois d'une erreur de calcul. Je pensais ne pas avoir atteint 400... or j'en suis tout de même à 401!
Toujours est-il qu'au travers de cette activité, je découvre avec encore plus de précision mon département... que j'ai toujours plaisir à arpenter.
Et vous, le géocaching, ça ne vous tente pas?