Complètement givré...
Ce matin, quand je me suis levé, le ciel était complètement givré.
Mais la luminosité ne me laissait pas espérer des clichés de bonne qualité.
Vers midi, un rayon de soleil filtre à travers la grisaille.
Le temps de prendre mon repas, et je file vers le Montaigu.
Paradoxalement, plus je monte, et moins les arbres sont manchonnés.
Sur le parking, la température est de 2°, et les branches se délestent de leur chargement.
Je continue jusqu'à la chapelle... tout en ramassant parfois dans le cou quelques glaçons propres à rafraîchir mes idées!
Les branchages offrent parfois de curieuses compositions, comme celle du houx.
Ou bien le lierre qui part à l'assaut du tronc!
J'aurai donc mitraillé un max, pour ne retenir que 16 clichés qui vous permettront de "déguster" ma coupe glacée.
120 ans d'école à Bais
Le vieil instit que je suis semble de plus en plus nostalgique...
Sans doute à cause de ce qui se prépare actuellement.
Il faut en effet que j'explique pourquoi.
Rappelons que mon épouse et moi sommes arrivés à Bais tout à fait par hasard en 1966, afin de "boucher des trous" dans le personnel enseignant... et ce pour diverses raisons.
Le hasard(?) a donc encore voulu que plusieurs dizaines d'années plus tard, nous soyons toujours Baldicéens.
Ce simple fait nous permet d'avoir une vision très particulière de l'histoire locale, et plus spécifiquement à propos de l'Ecole.
Je me permettrai donc de remonter au plus loin qu'il m'est possible.
Tout d'abord en évoquant le bâtiment situé route de Trans.
Avouez qu'il en impose! Il faut dire qu'en 1905, la République avait à coeur de montrer ses muscles. Et l'un des moyens ostensibles se trouvait dans l'élaboration d'un projet immobilier que l'on souhaitait être à la hauteur.
Cette école prévue initialement pour les filles, je l'ai connue "Ecole des garçons".
Quatre salle de classes, trois logements de fonction...
Pour ma part, après avoir habité dans la grande bâtisse située au dessus de la salle Oy-Mittelberg, j'ai déménagé en 1978 pour investir le 8 rue des Alpes Mancelles.
Et si la façade en mettait plein la vue, le côté fonctionnel des pièces du logement pouvait constituer le revers de la médaille car peu conforme à ce que ses occupants pouvaient en attendre. Je ne m'attarderai pas sur le sujet
Les plans que je vous propose m'ont été offerts par monsieur Daniel Desmots alors maire de la commune, qui avait lui-même habité le 8 rue des Alpes Mancelles de 1966 à 1978, date à laquelle le Collège a quitté les lieux pour se retrouver à son actuel emplacement.
Et c'est monsieur Belaud, l'architecte du Groupe Scolaire situé près de la salle polyvalente qui avait retrouvé les plans en question aux archives départementales....
Tout ce qui précède m'amène par conséquent à contempler les 120 ans qui séparent le "vieux" bâtiment construit en 1905... et l'année 2025, où l'on va commémorer les 30 ans de l'actuel groupe scolaire.
Après avoir bénéficié de locaux fort agréables à compter de novembre 1994, j'ai quitté la direction de l'école en juin 2000. Puis-je prétendre à dire: 34 ans de bons(?) et loyaux(?) services à Bais? Plus d'un tiers de siècle! Une paille...
En fin d'année scolaire 2004, parents, enseignants, municipalité, anciens élèves, nous avions eu plaisir à fêter les 10 ans du bâtiment.
En 2014.... pour les 20 ans... je n'y reviendrai pas... Il n'y eut rien.
En 2024... il aura fallu patienter un peu... mais on fêtera les 30 ans.
Merci à tous les artisans de cette commémoration, sur laquelle je reviendrai inévitablement.
Rappelons que la date prévue est le vendredi 31 janvier 2025 à partir de 17h30... C'est ouvert à tous!
La classe orchestre et l'harmonie municipale animeront la soirée, qui se terminera par un apéritif concert pour lequel chacun aura la possibilité d'apporter quelques mignardises.
Cette petite fête devrait être pour mon épouse et moi-même l'occasion de retrouver toutes celles et tous ceux que nous avons eu plaisir à "traumatiser"! Et il devrait y avoir de quoi faire, puisqu'on peut, à la louche, estimer qu'ils sont aux environs de 700!
Au plaisir d'évoquer d'innombrables souvenirs!
VTT et modélisme
Alors que le matin j'avais fait voler deux modèles sur notre modélodrome de Doucé...
.... je décide d'enfourcher mon VTT électrique en début d'après-midi.
Direction la route de Mayenne, virage à droite vers l'Hôtellerie... et je finis par rejoindre la voie verte quelques kilomètres avant la Chapelle au Riboul.
En vue de Marcillé la Ville, je tourne à gauche... et dans la descente vers l'Aron, je rejoins deux cyclistes... dont les montures sont sans électrons.
Tout en poursuivant notre chemin, nous échangeons quelques propos... Et ils me confient que, lorsqu'ils seront plus âgés, ils envisagent eux aussi de passer à l'électrique.
Je plaisante sur le fait qu'on m'a déjà envoyé des remarques du style: "C'est un vélo de faignant!"
Pour évoquer la réponse que je renvoie systématiquement: "Oui... J'aurais pu arrêter le vélo classique, me "cuter" dans le canapé en regardant la télé, la zapette dans une main et une Kronenbourg dans l'autre! Mais du haut de mes 4 fois 20 ans, je suis très satisfait de ce que je peux encore faire!"
Nous entrons dans Grazay... et dans la mesure où ils roulent moins vite, je finis par les abandonner derrière moi.
Pour parvenir à notre terrain de modélisme, où j'ai la surprise de trouver deux membres du club de Mayenne.
Quand arrive une Twingo que je connais bien. C'est Michel qui en descend et après nous avoir salués:
"Je me suis dit qu'avec ce temps-là, y'aurait sans doute du monde sur la piste!"
Casque sur la tête, je vais donc me convertir en moniteur de pilotage afin d'assister Michel... qui a énormément perdu après une très longue trêve et des ennuis de santé.
Il effectuera ainsi sous ma tutelle trois vols, et c'est moi qui atterrirai à chaque fois son modèle... à ses pieds.
Ce qui ne manquera pas de le faire râler: "Ah, bon Dieu, c'est beau de pouvoir être aussi précis!"
Le temps passe, et il me faut bien évidemment rentrer en pédalant vers Bais, je finis donc par saluer tout ce petit monde, enfourcher mon cheval mécanique..... direction Hambers...
Le soleil se fait de plus en plus bas sur l'horizon...
Arrivé à Bais, je m'offre un traditionnel tour de plan d'eau, avant de regagner mon "home sweet home" avec un peu plus de 31 km au compteur.
Voilà donc un après-midi fort bien rempli, où j'ai pu m'adonner à deux de mes hobbys: le VTTe et l'aéromodélisme.
Tout en profitant d'une météo très favorable.
A la prochaine!
Pour bien débuter l'année...
Pour bien débuter l'année...
Ne pas se contenter de bonnes résolutions!
Entre "il faudrait que je fasse"... et "je fais", il y a parfois un grand fossé.
Que je n'hésite pas à franchir!😉
Cela m'est relativement facile lorsqu'il est question de modélisme, à condition bien sûr que les conditions météo s'y prêtent.
Et dans l'après-midi, j'enfourche mon VTTe...
Pour un circuit effectué dans le sens anti-horaire. A savoir direction Mayenne, virage à droite l'Hôtellerie... les Aulaines, premier passage à Hambers. Je file vers Jublains, virage à gauche vers le Consent, retour à Hambers... Puis Bais. Presque 25 km...
Ce devrait rassurer mes "followers" qui, à juste titre, me faisaient remarquer que ces derniers temps je ne sortais guère mon deux roues !
Et puis dans la soirée, après un rapide dépannage informatique chez mon ami Yvan, je me dirige vers le Montaigu en compagnie de mon épouse afin de bénéficier du spectacle offert par le soleil couchant... avec la complicité d'un croissant de lune et d'une petite étoile
Pas mal pour un début d'année, non?
Ah... il y manque peut-être un poil de géocaching!😀
Comme un point sur un i...
Allez savoir pourquoi, au cours de cette nuit digne d’un bon insomniaque, j’ai laissé divaguer mes neurones à propos de la lettre « i ».
Et pourquoi me suis-je posé la question de savoir quel était le mot français recordman en la matière.
J’ai commencé à chercher. Et je suis vite parvenu au fait qu’il me fallait utiliser des préfixes tels que « in », « ir », et des suffixes en « ible ».
Je suis assez rapidement tombé sur illisibilité… ce qui faisait scorer ma découverte à 5.
Et puis en poursuivant mes investigations, j’ai déniché « indivisibilité »… avec 6 i !
Cette trouvaille a dû apaiser mon esprit, et je me suis rendormi.
Mais au matin, après les ablutions d’usage, je me suis dit que le collègue chatgpt pourrait peut-être éclairer mes recherches.
Je lui ai donc posé la question :
« quel est le palmarès des mots français comportant le plus de lettres i ? »
Il m’a immédiatement retourné sa réponse :
Voici quelques exemples de mots français comportant un grand nombre de lettres "i", en tenant compte de la fréquence de cette lettre dans leur orthographe. Ces mots peuvent varier selon les sources et les dictionnaires, mais voici une sélection :
1. indivisibilité (6 "i")
2. inintelligibilité (6 "i")
3. inintelligible (5 "i")
4. irrégularité (5 "i")
5. immobilisme (5 "i")
6. invisible (4 "i")
7. initiative (4 "i")
8. insensibilité (4 "i")
9. irresponsabilité (4 "i")
J’ai pu constater qu’il a été beaucoup plus rapide que moi pour me proposer « indivisibilité »… et quelques autres mots !
Sauf que à partir du 3ème, sa logique comptable déraille un peu ! Parce que inintelligible ne peut prétendre qu’ à 4 i, ce qui n’est déjà pas si mal.
Au stade où j’en étais, je me suis tout naturellement posé la question de savoir pourquoi un point sur les « i »
Une rapide recherche m’a conduit vers cette hypothèse, extraite du site https://www.rtl.fr/culture/culture-generale/d-ou-vient-l-expression-mettre-les-points-sur-les-i-7900205763 :
C'est ce qu’on fait quand on veut mettre les choses au clair et éviter toute forme de confusion possible. Si c’est une expression au sens figuré, son origine, elle est au sens propre et ça nous ramène au XIe siècle quand les moines copistes ont la tâche, comme leur nom l’indique, de recopier à la main les manuscrits pour la population capable de lire.
À l’époque, il n'y avait pas de photocopieuse, ni même encore d’imprimerie. Ces ecclésiastiques passaient donc leurs journées à écrire. Ils utilisaient alors l’écriture gothique, une écriture serrée et abrégée choisie non par pour des raisons esthétiques mais tout simplement parce qu’elle permettait d’économiser le parchemin. À base de peau de mouton, de chèvre ou de veau, il coûtait la peau mais des fesses. (sic!)
Sauf que cette écriture gothique a fini par poser problème, car elle était assez illisible et pas mal de lettres se confondaient avec d’autres, notamment le "i". On l’écrivait alors sous la forme d’un simple trait vertical, donc on pouvait le prendre aisément pour un "l". Et deux "i" côte à côte, ça se faisait dans le français d’alors, ça pouvait ressembler à un "u". Bref un enfer.
C’est pour ça que pour le distinguer, les moines copistes décidèrent de mettre une marque au-dessus de lui et ils choisirent le point. Ce qui permit dès lors de clarifier la lecture. Eux aussi en mettant les points sur les "i" avaient vis-à-vis des lecteurs mis les points sur les "i" et même les points sur les "j" puisque cette lettre reçut le même traitement.
Me voici donc renseigné, et fort satisfait d’avoir mis des points sur mes propres i !
Moyennant quoi, j'ai pu revisiter ce poème... "comme un point sur un i... la lune..."
Alfred de Musset 1810 - 1857
Les "petits commerces"...
Chapitre un:
Jeudi19 décembre, c'était l'anniversaire de mon épouse Annie.
Sans rien lui dire, j'avais commandé un plateau d'amuse-bouche à la supérette Carrefour, et un plateau de pâtisseries chez Fabienne Roulland.
Une amie complice était chargée d'arriver "à l'improviste" avec ces "gourmandises" vers 18h30
Progressivement d'autres personnes ont rejoint le petit groupe: amis... cousins...
On a bien rigolé... et on a aussi tenté de refaire le Monde!
Chapitre deux:
Vendredi matin, je suis bien évidemment passé rendre les plateaux, et éponger mes dettes.
Je me plais dès lors à signaler que la boulangère avait joint un petit paquet "gratuit... pour l'anniversaire de madame Munoz"
Et à la supérette Carrefour Contact?
Si le prix annoncé par le patron Christophe m'a semblé dérisoire (15€ le plateau figurant sur le cliché), je suis tombé sur le cul lorsque j'ai soudain vu son épouse Delphine déserter sa caisse pour aller récupérer un bouquet en bout de gondole, enlever prestement l'étiquette, tout en ajoutant:
"Vous l'offrirez à votre épouse de notre part! Et vous lui souhaiterez un joyeux anniversaire"
A quand le même rapport clientèle chez Hyper bidule ou autre enseigne à taille inhumaine?😁
Chapitre trois:
Ayant fait part de cette belle aventure à plusieurs personnes de mon entourage, j'ai reçu quelques messages parmi lesquels:
Excellent !!!!
Tu conviendras Bernard que tu n'es pas un client très assidu d'un U que ce soit à Evron ou Mayenne. Cependant ces deux commerçantes sont très gentilles et d'une délicatesse remarquable.
A plus, et bises à Annie.
Beau geste de la part des commerçants.
Ces commerces qui sont si précieux à la vie locale!
Joyeuses fêtes à tous
Chapitre quatre:
Il ne tient qu'à vous de l'enrichir!
Alpha planeur Muliplex
Voilà-t-y pas que l’autre jour, mon ami Stéphane me dit :
«Je suis allé au Ménez-Hom en compagnie de mes camarades d’Alençon. Mais le vent était aux abonnés absents… pente Sud qui plus est !
Même les planeurs les plus récents tout plastique aux prix faramineux allaient au trou.
Sauf un ! Celui d’un « vieux modéliste » ayant repris de l’activité après de nombreuses années d’interruption, et qui avait sorti un Alpha Multiplex !
Il était le seul à tenir l’air…. A tel point que mes copains vont mettre en route une petite série, découpage laser !
Tu as encore le tien ?
- Bien sûr… Il dort sur une de mes étagères, mais je vais voir…
- Ah… essaie de le remettre en vol ! »
Suite à quoi, j’ai étalé sur mon plan de travail le fuselage et les ailes de mon ancêtre… pour constater que s’il n’était plus neuf, il avait encore fière allure.
Je me suis mis alors à chercher… et je suis tombé sur un moteur brushless Mega 20/30 3… accusant sur la balance environ 220 grammes.
D’où l’idée de virer les grains de plomb qui se trouvaient dans le nez pour les remplacer par cet « accessoire ».
Ah, j’ai gratté... gratté… pour constater que ce lest équivalait pratiquement à la masse du moteur !
Il n’en fallait pas davantage pour m’inciter à entreprendre une rénovation !
J'ai donc entrepris de moderniser.
Avec la ferme intention cependant de ne pas trop amocher son look,: couper le nez certes, sans trop amocher la verrière.
Ce qui fut obtenu quelques jours plus tard !
Equipé d'un moteur alimenté par un accu LiPo 1500mAh 3S... je me retrouve avec un modèle dont la masse est de 1750 grammes… sensiblement ce qu’il affichait en planeur pur.
J’aurais même pu gratter quelques grammes en remplaçant ses servos obèses par des plus légers…
Bref...
Il ne restait plus qu’à...
Travail terminé, je me suis mis à lorgner les jolis nimbus et les petits cumulus en attendant des conditions favorables.
C’est ainsi que ce samedi 14 décembre je m’aperçois qu’un vent faible caresse la pente de la Roche !
Bien que le ciel soit particulièrement brumeux et la température voisine de 2°, il n’en fallait pas davantage pour me motiver.
Arrivé sur zone, je vérifie une dernière fois les gouvernes, j’inspire un bon coup et je lance !
Alpha part gentiment tout droit et commence à grimper ! Doucement, mais il grimpe !
Je viens de retrouver mon Alpha, dont je me plaît à être le Roméo ! (gag)
Je précise une fois de plus que le vent parvient tout juste à faire tourner les 2 éoliennes Enercon toutes proches, mais les 4 d’Hambers sont complètement immobiles, Eole étant insuffisant pour elles !
Lorsque mon planeur est arrivé à une certaine hauteur, je mets progressivement le moteur en route, mais cela génère un couple cabreur fort désagréable. Je coupe… sauf que l’hélice continue à mouliner ! Il me faudra donc régler le contrôleur en activant le frein, ajouter un mixage sur la profondeur du style « moteur donne à piquer 15 % », et peut-être installer une hélice un peu moins grande.
Toujours est-il que je viens de remettre en vol un modèle sorti de mon atelier en juillet 1976… (c'est écrit sur la dérive) avec lequel j’ai accumulé un nombre impressionnant d’heures. Avec lequel mon fils Olivier a fait ses débuts de pilote. Anecdote : je lui avais un jour fait part de mon intention de vendre cet Alpha pour me permettre d’acheter un planeur plus grand ! Ce qui avait déclenché une vive réprobation de sa part!
Me permettrais-je d’ajouter que cet Alpha était devenu une sorte d’icone au Ménez-Hom. Ceux qui se souviennent pourront témoigner. Combien de fois n’ai-je pas été mis au défi par des modélistes chevronnés: "Le dernier qui pose!" eux qui possédaient des modèles dits plus sophistiqués, agacés qu'ils étaient parce que dans le petit temps mon Alpha était encore en l’air alors que leurs super-machines allaient au trou ?
A ce propos, j’ai en mémoire un article paru dans Radio-Modélisme je crois, dans lequel on pouvait lire : « Seul le planeur de monsieur Munoz était encore et toujours en l’air, au point qu’on pouvait se demander s’il n’était pas gonflé à l’hélium ! »
Souvenirs, souvenirs !
PS : combien sont les modélistes qui possèdent encore un modèle capable de voler presque 50 ans plus tard ? Vous avez dit VINTAGE...
O'Ciel nouveau restaurant à Mayenne
Le quotidien Ouest France lui avait consacré un article
C'est donc mû par une certaine curiosité que je me suis rendu sur place.
Et j'ai bien fait d'arriver avant 12 heures, parce que je visualisais parfaitement l'endroit et que je connaissais l'étroitesse du parking.
Bien m'en a pris! Lorsque je suis sorti vers 13 heures, tout était plein, y compris chez les voisins Aldi et Total de l'autre côté de la route Nationale 12, pas si facile à traverser!
Je pense que cela va être le point faible de l'enseigne. (Problèmes de voisinage à court terme!)
Revenons-en à l'accueil: il n'était donc pas midi, et en compagnie d'une vingtaine de personnes j'ai poireauté dans l'entrée jusqu'à l'heure fatidique.
Puis on m'a trouvé une place... un serveur m'a demandé si je voulais une boisson... et m'a dit que je pouvais aller me servir.
IMMENSE! DELIRANT!
Les deux clichés que je vous propose ne peuvent traduire à eux seuls l'impression de délire que j'ai pu ressentir.
Et tout pendant mes allers/retours vers les différents buffets, la foule n'a pas cessé d'affluer.
Je suppose qu'il faut y voir une curiosité semblable à la mienne... Sera-t-elle pérenne? Wait and see!
Tiens, justement, au niveau de la langue, j'ai cru percevoir une maîtrise imparfaite chez certains de ces employés, tous d'origine asiatique.
Ceci dit, je n'ai eu que l'embarras du choix.
Au moment de payer, le terminal n'a jamais voulu digérer mon "sans contact smartphone"... Retour à la CB classique.
Et toujours très souriant, le gérant m'a offert le café...
J'ai payé 21.10€ (repas à volonté 16.80€ + bière 4.30€) Raisonnable.
Y retournerai-je?
Sans doute, en raison des fruits de mer et des desserts... mais sans mon épouse du fait de sa mobilité réduite.
Pour conclure...
Si je devais utiliser une seule expression pour traduire mon expérience du jour, ce serait:
Au Royaume de la démesure!
Inauguration de la piste d'aéromodélisme
J'ai tout dernièrement rencontré Françoise Esnault-Fourmond. Elle a dirigé la maison de retraite de Bais. Quant à son mari Jean-Pierre, c'était un fidèle du Club d'Aéromodélisme.
Elle m'a confié provisoirement un imposant album... qui retrace une bonne partie de la vie du club...
Avec ses meetings qui attiraient des modélistes de haut niveau venus de très loin.
Nos échanges avec le club britannique de Hartford.
La participation aux différentes manifestations régionales et nationales, avec des résultats que beaucoup nous enviaient...
Et puis... l'inauguration de la piste à Boyère, chez Guy et Christiane Couanon. (1985)
De gauche à droite: Bernard Munoz, Guy Couanon, Noël Riché président, Albert Chauveau maire de Bais, Gustave Drou conseiller général, Félix Nay trésorier. De dos, Sophie Esnault....
Bientôt 40 ans...
Souvenirs souvenirs!
Tout en rondeur... Soleil ou lune?
Commençant à observer des couleurs vives dans le ciel, je suis parti vers le Montaigu avec l'espoir d'assister à un spectacle flamboyant.
J'ai attendu... J'ai attendu... Et je n'ai pas obtenu mieux que les deux clichés ci-dessus.
J'ai donc fait demi-tour, quelque peu déçu de ma "chasse" au trésor.
Et juste avant le virage de la Gueffière...
Un oiseau de proie perché sur un poteau. Il m'a juste laissé le temps de le prendre en photo... Puis il a décollé, me faisant comprendre que je l'importunais... J'ai toutefois pu admirer son vol très coulé, terminé par une courte ressource pour se poser dans un chêne
En cours de route, j'aperçois une autre forme ronde: la lune... pleine.
J'effectue donc un autre arrêt, cette fois au bout de chemin de la Beslière...
Je me dis alors qu'en passant par la rue Henri Quentin, il me serait peut-être possible de jouer sur différents plans... et le clocher de Bais.
Et puis le ciel semble rougir à nouveau... Je file alors vers la Haute Brosse, d'où je prends...
Mais je n'aurai pas mieux.
Retour à la maison... et je constate que la lune se montre joueuse.
J'accepte bien volontiers son invitation en lui proposant une girouette chat... ou bien mon biplan perché sur son mât...
En y regardant de plus près, je n'ai peut-être pas obtenu ce que j'aurais voulu, mais j'ai donné un peu de nourriture à mon fidèle appareil photo numérique.
Et cela suffit à mon petit bonheur.
PS: j'espère que ce très court article satisfera les gens qui me glissent malicieusement ne pas être concernés par mes productions modélistiques! Il en faut pour tous les goûts, n'est-ce pas?
Et puis, pour le prix qu'ils paient, hein?😄
PS: une lectrice m'a fait remarquer que ce 15 novembre, on pouvait évoquer la lune Taureau...
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