Ciel en feu...
Je revenais d'Evron.
Et en gravissant la corniche du mont Rochard...
Sur la gauche... un spectacle étonnamment flamboyant...
Le ciel est en feu... avec des couleurs dignes d'un brasier.
Je m'arrête une première fois à l'aire de la Grande Barre...
Je repars... et un peu plus loin, nouvelle halte... pour en prendre plein les yeux, ce que la photographie ne traduira pas avec suffisamment de qualité.
M'enfin...
Cela restera tout de même un magnifique souvenir!
Zéro, singulier ou pluriel?
Géocaching au bois de l'Huisserie
Lundi 18 octobre...
Un ciel gris et bas... Je me dis que ce n'est pas un temps à mettre un "paroissien" dehors.
Sauf que... vers 13h15, je reçois un message ainsi libellé: "Si tu es disponible, je t'attends pour une sortie géocaching!"
Je pars à rire, en me demandant si mon acolyte n'est pas en train de plaisanter. Je me saisis donc du téléphone... et il me confirme qu'il est vraiment sérieux!
Qu'à cela ne tienne. Je prends mon véhicule, et sur la corniche du mont Rochard, un épais brouillard procure une visibilité vraiment réduite.
Arrivée à Evron... où je fais part de ma tiédeur. Mais mon ami Félix se montre très (trop?) persuasif...
Et nous voilà partis en direction du bois de l'Huisserie.
Il faut bien avouer que la recherche de caches au plus près de chez nous devient difficile, tant nous avons "ratissé" le terrain.
De plus, la série que nous avons entamée fait partie de ce que l'on appelle un géoArt. A savoir que toutes ces caches identifiées par un point d'interrogation sur fond bleu forment un G majuscule. Mais leur position sur la carte est fictive.
Pour obtenir les véritables coordonnées GPS, il faut auparavant déchiffrer les énigmes proposées par le poseur, à savoir Olivier du Team CBO.
Et je dois avouer que j'en ai bavé! Même avec utilisation d'un magnifique outil en ligne tel que GCODE. Il m'a fallu faire appel à des chevronnés afin d'obtenir le petit (grand?) coup de pouce m'orientant peu ou prou vers la solution. (Merci à Christine, aux Fouilloux, et à quelques autres.
Ayant décodé l'emplacement exact de ces 53 caches, j'avais proposé à mon ami Félix d'aller gambader dans ce bois.
Une première sortie se solde par 7 caches trouvées. Une deuxième, et encore 7 caches.
Mais revenons à ce lundi 18 octobre...
Au fur et à mesure que nous approchons de Laval, le brouillard se transforme en bruine... Tenace et incessante.
Nous débarquons près du centre équestre, et la chasse commence. Heureusement que nous sommes en sous-bois, l'eau du ciel nous touche moins que si nous étions en terrain découvert.
Et nous enchaînons les "trouvailles".
Jusqu'à ce que mon compagnon soit aux anges en découvrant qu'il va pouvoir (enfin) mettre en oeuvre ses talents de grimpeur.
La boîte contenant le livre de bord (nommé logbook) se trouve tout en haut de ce têtard!
Félix aura encore l'occasion de jouer les alpinistes sur la N° 17.
Sachant que la gentille(?) bruine nous accompagne encore et toujours.
Au détour d'un chemin, cette cabane...
Et puis... et puis... il faut bien reconnaître que nos vêtements censés nous protéger de l'humidité finissent par demander une trêve.
Et puis... et puis... je caressais le secret espoir d'atteindre 2.600 caches trouvées... (ce qui fut fait sur la N° 26... curieux, non?) Et qu'avec 13 caches obtenues aujourd'hui, j'ai dépassé de 3 unités.
Retour à la voiture.
Et c'est confortablement installé à l'abri que je questionne mon smartphone. L'application STRAVA nous crédite de 6.890km... avec une moyenne inférieure à 15minutes/km... soit légèrement plus que 4km/h... sous la pluie:
Pourquoi une telle distance, alors que les caches pourraient se trouver à minimum 170 mètres l'une de l'autre? Sans doute parce que le poseur a voulu occuper le maximum de terrain.
Vous trouverez ci-dessous la trace enregistrée par Strava... avec des "zigouineries" autour de certains points où le GPS se montrait imprécis pour nous indiquer l'emplacement exact. Heureusement, nous avions à notre disposition tout un fichier avec la photo de chaque environnement de cache... Ce qui nous a conduits très souvent près de l'arbre au pied duquel se cachait la boîte. (Merci à Gipsy 53😉)
Pour dresser un rapide bilan: nous en sommes à 27 caches trouvées sur 53 (la Mayenne?)... Il nous en reste donc encore 26... sachant que la partie Est du bois est nettement plus tourmentée du point de vue relief.
Mes pauvres guiboles vont encore être mises à contribution.
Mais quand on aime...
Et si je remontais sur mon VTT?
Est-ce l'effet Covid lié à l'été peu clément que nous avons vécu?
Je ne saurais répondre. Mais il est vrai que j'ai "boudé" mon VTT à électrons durant un certain temps.
Sauf qu'en ce samedi d'octobre, le soleil a dû me persuader qu'il fallait réagir.
C'est pourquoi j'ai décidé de partir afin d'effectuer un parcours qui me plaît bien.
Ascension de la côte du Mont Rochard, longue descente vers Sainte Gemmes le Robert, où le radar me crédite de 39 km/h! Epoustouflant...
Puis j'accède à la voie verte qui me conduira vers Gué de Selle...
Autour de ce plan d'eau habituellement fréquenté, je pensais rencontrer davantage de monde...
Qu'importe! Une pause boisson et je repars...
Nouvel arrêt face au manoir de la Grande Coudrière.
Arrivé à Chellé... je pose pied à terre, afin de photographier les ruines, toujours aussi mystérieuses.
Remontée en selle ...
Avant de parvenir au Montaigu, je quitte le goudron pour prendre un chemin creux... envahi par les bogues de châtaignes.
Ascension assez longue qui va me conduire au sommet de la butte... Vive l'assistance électrique!
Au loin, j'aperçois le plan d'eau du Gué de Selle, petit point brillant au milieu de la verdure..
Dans la descente, quelques fougères jaunissantes m'incitent à réaliser un autre cliché... en contrejour.
Après avoir viré à gauche au carrefour, je m'engouffre dans le tunnel végétal.
Et il m'arrive parfois de rouler plusieurs dizaines de mètres sur un composé de feuilles, de châtaignes... et de branches mortes que je ne peux distinguer, cachées qu'elles sont sous ce que les arbres on pu déposer au sol. Si bien que j'ai parfois l'impression de rouler sur des billes.
Je traverse le carrefour des Pommiers... Le chemin est là encore envahi de châtaignes.
Jusqu'au moment où, m'apprêtant à doubler 3 personnes âgées, l'une d'elles m'apostrophe: "Bonjour monsieur, vous n'auriez pas un sac en plastique avec vous?
- Ben non, je suis désolé... je pourrais éventuellement vous prêter mon casque pour y déposer votre abondante cueillette... mais je crains quand même d'en avoir besoin!"
Un peu plus loin, un couple; le monsieur avec un grand seau blanc au bout de chaque bras...
Drelin, drelin... Aucune réaction. C'est lorsque je suis à quelque centimètres de lui qu'il s'exclame tout à coup:
"Heulâaa... J'avais rin entendu. J'tais en train de r'garder les gars là bas au fond... Y sont en train d'ensileu..."
(Dommage que je ne puisse vous transcrire le savoureux accent du patois mayennais!)
Traversée du chemin de la Basse Beucherie... La Haute Beucherie, la Beslière. Tout ce tronçon se fait en descente et à vitesse réduite afin de profiter au maximum...
Retour à Bais, où j'effectue mon traditionnel tour du plan d'eau.
Et au moment de déboucher au carrefour de la mairie... j'aperçois mon ami Michel... sur un vélo de course... sans moteur. Je n'ai aucune difficulté pour le rattraper. Mais il m'avoue être "rincé"... Il vient d'effectuer 40 km... avec le vent de face dans la partie retour vers Bais.
Moi, avec mes 33 km au compteur... J'ai sans doute fait appel très (trop?) souvent à l'assistance. Mais nous ne jouons pas dans la même cour. Nous n'avons ni le même âge, ni le même passé sportif... complètement inexistant en ce qui me concerne.
Bref... j'ai pris énormément de plaisir au cours de cette sortie.
Et le compte-rendu que je vous propose devrait satisfaire toutes celles et tous ceux qui me demandaient de bien vouloir me remettre à écrire et proposer des photos.
Voilà, c'est fait!!
Géocaching autour d'Erquy
Le Club d'Aéromodélisme de Bais auquel j'appartiens avait programmé une "sortie vol de pente en bord de mer" pour le samedi 25 septembre 2021.
Mais, dans la mesure où mon "vieux" complice Félix possède un pied à terre tout près d'Erquy, il avait proposé qu'on partage sa demeure en arrivant dès le mercredi après-midi.
Ce qui nous permit d'effectuer un vol dans la soirée en nous rendant au cap.
,
Et le lendemain? Ben un vent anémique et mal orienté! Ce qui nous amena à changer d'activité, dans la mesure où nous sommes également adeptes du géocaching.
Il faut reconnaître que le coin est très fertile, et qu'à chaque fois que nous nous y rendons, nous découvrons de nouvelles caches.
Parmi les différentes sorties effectuées, il en est quelques-unes qui m'ont laissé de très bons souvenirs. Je citerai par exemple "l'adventure" de Plévenon, ratée en juillet faute de réseau 4G.
Ou bien celle intitulée "La vie en rose d'Erquy" offrant de bien jolis panoramas.
Nous avons également poussé nos investigations de l'autre côté du Val André, le long du GR34... montées et descentes garanties!
Une série nous a particulièrement plu: "le chemin des mille visages" près de Lamballe... Un artiste local utilisant chaque tronc disponible afin d'y exécuter une sculpture. GC9A5NN
Je crois quand même que le "must" a été réalisé le samedi après-midi.
Direction "Les Sables d'Or" où après deux caches relativement faciles, nous décidons d'attaquer "Les Sables d'Or vue d'en haut" (GC8YKTK), puis "Le quai Barrier". (GC903FD)
Il faut dire que cette dernière se trouve tout en bas, près de la carrière de granit rose. Et si la descente est "technique", que dire de la remontée? Très physique!!! S'apparentant presque à de l'escalade. Mon équipier m'a largué, m'attendant sagement tout là-haut avec un large sourire!!!
Puis nous avons traversé la route afin d'entamer la série "suspendue". GC94NJ9
C'était apparemment un cheminement en sous-bois et plat! Pas pour me déplaire. Mais, le poseur précisait qu'il fallait tout d'abord aller à un point précis afin d'y récupérer un outil indispensable. Et nous y avons découvert? Une "guignette"!
Un long morceau de bois au bout duquel se trouve une fourche en V.
Nous avons dès lors compris que les boîtes allaient se trouver en hauteur, et que l'outil s'avérait indispensable, dans la mesure où il est impossible d'escalader les pins! (Ce qui m'a valu cette réplique de la part de mon cousin Pascal: "Un fourché pour les caches hautes, ça évite de déchirer un jean 😜
Hein? Bernard, souvenir d'une rencontre fortuite sur la corniche de Pail!)
Et comme ces fichues boîtes ne se trouvaient pas au bord du chemin, il nous a fallu adopter le mode "brousse" pour nous frayer un passage au milieu des branches et des fougères!
Arrive le dimanche matin, où le vent semble cette fois plus propice au modélisme... mais je crois que mon équipier avait dans l'idée de parcourir le Cap à la recherche des nouvelles caches...
Là encore, la moisson a été plutôt bonne, et les jambes mises une nouvelle fois à rude épreuve par les montées successives.
De retour au parking... nous avons découvert toute une bande de modélistes venus de la région parisienne. Et nous? Ben devant l'affluence, nous avons jugé plus sage de laisser nos modèles dans le coffre!
Bilan de cette sortie: 10 minutes de vol, le palier 2.500 caches dépassé avec 2.537 découvertes (soit 62 au cours de ce séjour...)
Quelques "dégustations locales" ayant agrémenté notre escapade!
Et de nombreux kilomètres parcourus à pied...
Qui après ça pourrait prétendre que le géocaching n'est pas un sport?😀
Argiope frelon... suite
Je vous ai déjà parlé de ces drôles d'araignées qui veulent se faire passer pour des guêpes ou des frelons.
L'une d'elles a élu domicile dans mon talus. Je l'observe assez souvent... Et je trouve...
Motard(e)s au Montaigu
Samedi 18 septembre 2021.
La météo étant propice, j'en profite pour filer au Montaigu faire évoluer quelques modèles.
Puis, je remonte en voiture pour me rendre au parking.
Là... je n'e crois pas mes yeux!
Des motos bien alignées... comme à la parade. Au nombre de 74 m'a-t-on dit!
Hé! Je ne peux m'empêcher de prendre quelques clichés, n'est-ce pas?
Et puis j'aborde un des participants à ce rassemblement, qui m'explique.
C'est la raison pour laquelle je m'en vais me poster dans un endroit que je juge propice afin de capturer encore quelques images.
Composé d'environ 25 véhicules, un premier groupe prend la route...
Je change d'emplacement... et un petit quart d'heure plus tard...
Je verrai ainsi défiler 74 "bécanes"!
Pour en savoir davantage, suivre ce lien
Fête, soirée, repas Balade moto et repas solidaire samedi 18 septembre 2021 - Pontmain - HelloAsso
BALADE MOTO et REPAS SOLIDAIRE - Samedi 18 Septembre 2021 Cette manifestation est organisée au profit de l'association RUBAN ROSE (cancerdusein.org) et CAP ECO SOLIDAIRE et les bénéfices serviro...
https://www.helloasso.com/associations/les-may-trekkeuses/evenements/balade-moto-solidaire-2021
Souvenirs en rapport avec la ville de Mèze
J'ai adressé un courriel à la Mairie, et en retour, j'ai reçu une réponse du service patrimoine. Avec quelques détails que j'ai pu apprécier. (Merci à Guy Bastide)
Et puis sur ma lancée, j'ai éprouvé le besoin de me remémorer encore quelques autres souvenirs.
La montée et la descente de l'esplanade, au soir, à la fraîche.
Le dimanche matin où mon oncle achetait son journal, le traditionnel billet de la loterie nationale (ce qui lui permit un jour de dégoter un gros lot), esplanade où, entre hommes, nous dégustions notre "apéro" à la terrasse du "Commerce". Pour moi, c'était une limonade ou une grenadine!
Et puis la nuit tombée, le spectacle du long cordon lumineux d'un train qui cheminait de l'autre côté de l'étang, sur le lido en face du port... et dont nous pouvions entendre le grondement sur les rails, lorsque le vent était "marin".
Le port des barques. Puis les parcs (huîtres et moules) Et sur l'horizon, le mont Saint-Clair de Sète
C'était l'époque où de nombreux chats maigrichons zonaient dans les rues étroites de la vieille ville... se chamaillant pour une tête de poisson...
Je dégustais les délicieuses odeurs qui embaumaient les rues avant les repas.
Contraste avec la tinette... moins agréable du point de vue olfactif!
J'adorais le port, avec ses "pointus" et les moteurs rétifs qu'il fallait démarrer à la manivelle.
Ou encore les magasins des pinardiers sur le quai, où stationnaient des wagons prêts à convoyer la production locale. Et cette agréable odeur de fleur de vin.
"Magasins" actuellement transformés en restaurants!
Ah... lorsque j'évoque Mèze, ce sont encore mille souvenirs toujours très présents dans ma mémoire!
Tels que les palabres en "patois" lorsque les "anciens" échangeaient à haute voix en occitan! On pouvait même penser qu'ils s'engueulaient!
Et puis la langue espagnole, très présente...
Lorsque la télé est arrivée, je me suis amusé de voir certaines personnes s'asseoir dans la rue afin de bénéficier des programmes de la premier chaîne... au travers des fenêtres grillagées qui protégeaient des moustiques omniprésents! Tout ça en quadriphonie, voire plus!
Et puis est arrivée la deuxième chaîne, bousculant les habitudes en raison d'une cacophonie indescriptible.
Chacun s'est alors isolé chez soi... et les rassemblements sur l'esplanade ont connu un immense déclin!
Mais il est resté le boeuf, le chevalet, les joutes languedociennes, le tambourin, la "plagette"😉...
Puisque j'ai démarré mon "papier" avec l'étude(?) des noms de lieux mézois... moi qui habite en Mayenne, avec pour chef-lieu Laval, je suis curieux de savoir quelle est l'origine du chemin de Laval justement!
Si vous avez des pistes! Ou d'autres souvenirs à partager...
J'ai reçu:
Chemin de Laval: Cadastré déjà en 1812, ce lieu- dit jadis en friche est une dépression au milieu de la plaine littorale traversée par un ruisseau où l’on faisait autrefois rouir le chanvre- Toponyme très répandu sous la forme LAVAL…L’écriture la plus judicieuse serait celle ou l’article VAL est détachée du substantif. Le VAL correspond à la situation géographique….Aujourd’hui, lieu urbanisé.
Vous en souhaitant bonne réception
Guy BASTIDE
Mini planeur Lidl... Maxi plaisir Bernard
Dans un billet précédent, j'ai eu l'occasion de vous présenter ce jouet destiné aux enfants. Commercialisé chez Lidl pour la somme astronomique de 7.99€
https://bernardino.over-blog.net/2020/06/planeur-lidl.html
La première version a été équipée en planeur pur.
Pour la seconde... j'ai décidé de lui greffer un moteur destiné aux petits quadricoptères: DongXingWei D1806 2280KV ou RacerstarBR 1806.
Ce "gadget" ne pèse que 20 grammes, mais son accouplement avec mon premier Lidl s'est avéré être un pur bonheur, à tel point que mon planeur N°1 a vu lui aussi un moteur arriver dans son nez.
Il faut tout de même que je vous précise un détail: soucieux de limiter la traînée aérodynamique engendrée par une hélice qui tourne en roue libre (surtout si on n'a pas programmé le frein sur le contrôleur!), j'ai voulu optimiser... en adoptant un système avec des pales repliables. Sauf que la Graupner grise 6x3 s'est détachée en vol, et que je n'ai pu la retrouver.
Au début de mes essais, j'avais un accu LIPO 500mA en deux éléments. Mon modèle grimpait, certes... mais je trouvais que ça manquait de pêche. Et j'ai troqué le 2 contre un 3 éléments.
C'est à partir de ce moment que mes ennuis ont commencé! Car mes pales fabriquées avec une imprimante 3D ne résistaient pas au déséquilibre de la mise en rotation. J'ai ainsi éclaté plusieurs hélices en vol, avec parfois arrachement du moteur, lequel pendouillait au bout de ses trois fils. Le centrage n'étant pas modifié... je pouvais atterrir sans trop de problèmes.
Il m'a fallu repenser tout ça, et envisager des hélices "classiques"
La première à me tomber sous la main fut une GWS 50x43
C'était nettement mieux que mes foireuses repliables.
Puis en fouinant dans mes tiroirs, j'ai déniché une Graupner noire 55x43.
A vrai dire, c'est celle que je préfère, à la fois pour son rendement et son silence de fonctionnement.
Je me retrouve donc actuellement avec deux modèles très légèrement différents quant à la mise en oeuvre de l'incidence intégrale.
Et curieusement, c'est le plus "lourd" (326g contre 274g) qui me donne le max de satisfaction. (déco violette)
Il pénètre mieux, est moins sensible aux turbulences... en fait il se montre nettement plus joueur que l'autre. Avec une différence toutefois minime, convenons-en!
Mes petits zoizos décollent sur une pichenette... et moteur plein pot, ils montent à la verticale. Dix secondes de moteur suffisent... sinon on risque de ne plus voir la bestiole. On peut ensuite entamer le plané, qui n'a rien de ridicule... hein Stéphane?
On peut aussi entamer tout un tas de cabrioles, dont le tonneau qui passe les doigts dans le nez... enchaînement possible d'un série.
La boucle? Il ne faut pas la vouloir trop grande au plané parce qu'on ne peut guère emmagasiner d'énergie cinétique. Mais au moteur, elle peut s'avérer très ample.
Le vol dos? Avec le planeur pur, c'était possible, en poussant au manche de façon non négligeable. Bizarrement, depuis que j'ai installé les moteurs, le nez s'enfonce comme un malade, obligeant à remettre le moteur en marche, et là, on peut même sortir par une demi-boucle inverse! Le centrage ne semble pas avoir bougé pourtant...
L'atterrissage? Une formalité... Un rattrapage à la main peut suffire!
En conclusion, je dirai que ce petit planeur est étonnant! Possédant un rendement inexpliqué malgré son bord de fuite taillé à la serpe... il a séduit tellement de modélistes plus inventifs les uns que les autres, au point qu'un groupe Facebook lui est consacré. C'est vous dire.
Pour ma part, je guette l'arrivée de la version 2021 dans les Lidl près de chez moi.
Il paraît qu'elle est encore mieux que la précédente.
Sur ce, je vous quitte: mes deux zoizos piaffent d'impatience!
Article rédigé sur un ordinateur portable tournant sous Linux Mint 19
Circuit géocaching de Pierre Fontaine
Lorsque ce matin, je sors mon smartphone du mode avion, des alertes défilent, signifiant que de nouvelles caches viennent d'être publiées...
Et je me dis qu'il serait normal d'aller faire un tour du côté de Sainte Gemmes le Robert pour au moins deux raisons.
1- C'est tout près de chez moi.
2- Le circuit a été concocté par mon neveu Christophe, lui qui m'a initié à ce jeu.
Je me dois donc de ...
Je monte dans ma bagnole, pour ensuite, chaussé de grosses godasses et bien couvert, entamer le périple en commençant par cette n°1... à pied.
Sympa...
Sauf que la pluie va s'inviter bêtement, et qu'elle me fera interrompre ma promenade avant d'avoir tout déniché...
Un peu dépité, j'arrêterai ma quête après avoir engrangé 8 caches tout de même.
Il faudra donc que j'y retourne.
Et, dans la mesure où le ciel a daigné s'éclaircir durant le repas, j'y suis retourné l'après-midi... Mais cette fois, j'avais pris la précaution de mettre mon VTT électrique sur le porte vélo,
C'est ainsi que j'ai repris le chemin à partir de la n°1.
En repassant là où j'avais déjà marché le matin. C'est nettement moins usant pour mes vieilles guibolles! D'autant plus que parfois ça monte dur!!! Heureusement, les descentes dans le vallon sont sympathiques, mais il faut presque aussitôt entamer une autre grimpette!
Le challenge de l'après-midi consistait donc à découvrir 6 caches, plus la bonus!
Je les ai toutes trouvées, avec plus ou moins de difficulté.
Au final, j'ai réalisé toutes les caches en FTF...(premier à trouver... First To Find)
Un exploit pour un type comme moi qui ne court pourtant pas systématiquement après ce genre de challenge.
Pour conclure, je peux affirmer que le travail effectué est digne de GRV53. (c'est le pseudo de mon neveu Christophe)
Caches variées, parfois vicieuses.
Logbooks impeccables.
Du boulot de pro.
Merci à mon neveu de m'avoir initié à ce jeu, et gros MERCI à lui pour la réalisation de ce circuit très vallonné que je vous encourage vivement à réaliser.